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INFORMATIONS ET SITE INTERESSANT
Le 17/11/2018
Ceci est de la libre expression utilisant un carnet d'adresses à caractère personnel, sans lien avec une activité professionnelle ou commerciale, et n'est donc pas concerné par le RGPD (article 18 du Règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016), n'hésitez pas à dire stop ou encore ! Jean-Jacques Rey site Internet : http://www.jj-pat-rey.com
Sans aucune vanité, juste par sincérité, voilà pour vous représenter l'ampleur de l'entreprise menée à bien : j'ai mis 3 ans à rassembler et établir les données, puis 3 mois à réaliser les pages Web afférentes (à cadence soutenue, 7/7 jours, 10-12 heures par jour)...: 686 pages au total, exigeant forte concentration et vigilance.
Je n'attends rien en retour. Évidemment, cette envie de faire "pour la gloire" peut surprendre quelques mentalités ; mais n'en déplaise aux obsédés du profit, aux dinosaures de la vénalité et autres arriérés, (etc.) il y a autre chose dans la vie que le "tout marchandise"...et Internet n'a pas été inventé pour être un outil commercial. Cela m'a fait plaisir et beaucoup d'intérêt de le faire, j'en retire toute la satisfaction de la besogne accomplie, au mieux que je pouvais (rien n'est parfait) ; et ; je l'avais décidé. Dans les temps qui viennent, beaucoup de gens à travers le monde apprécieront ce service rendu à titre universel.
Cependant, je dois reconnaître que je n'aurai pas pu aller "aussi vite" si je j'avais pas eu une paix royale ici à Rennes, métropole de Bretagne en France, où on ne m'a pas ennuyé pour des clopinettes si on n'a rien fait spécialement pour moi. Ce qui n'a pas été le cas ailleurs ; tant le rôle de créateur culturel par les moyens des nouvelles technologies du numérique, était ignoré ou négligé voire méprisé naguère, surtout quand on ne se vendait pas aux divers pouvoirs : on parle de fracture sociale, hé bien ! parlons en !
Ainsi mon "dernier rempart" : la Mère de la Vie sur terre a eu raison de me faire revenir vers Elle par ici ; alors que j'étais parti pour un coup de billard à trois bandes : France - Suisse - Amérique latine. Les loups à Sarko. se sont cassés les dents dessus, démontrant qu'il n'est pas sain de vouloir trop manger, trop facilement ! ... :o)
Il y a des principes qui vont bien au-delà de la volonté de contrôle social et de la bureaucratie, n'est-ce pas ! les salauds doivent rendre des comptes, tôt ou tard, c'est bien connu.
Mais là n'est pas le sujet de ce message aujourd'hui si j'aurai encore quelques petites choses à dire et à faire plus tard...
Par la trame de l'économie mondiale, en particuliers des productions concernant les biens et les services aussi bien que les cultures vivrières, on peut bien saisir les réalités qui déterminent dans notre monde contemporain la puissance des états, et partant de là, conditionnent les relations internationales et les moyens de chaque société humaine aux quatre coins du globe.
Il n'y a a pas plus d'une quarantaine de pays qui comptent vraiment dans l'économie mondiale, le reste est voué à des rôles d'utilité et au mieux à celui de fournisseurs de matières premières : (qui profitent peu d'ailleurs aux populations locales)...
En vérité, diverses formes d'impérialisme et de volonté d'hégémonie s'entrechoquent, mais tout ramène à l'affrontement de deux blocs de puissances, l'un sous la houlette de la Chine, l'autre des États-Unis (d'Amérique). Si la Chine est devenue la première puissance commerciale (exportatrice), les États-Unis reste la première puissance économique tout court de notre monde : pour de multiples raisons et pas seulement industrielles (hors considérations militaires). Mais tous les deux sont des géants aux pieds d'argile...
Il y aurait bien une troisième puissance qui pourrait faire contrepoids et arbitrer en faveur de plus d'harmonie et de bons sens : l' Europe ; mais elle n'arrête pas de se tirer des balles dans les pieds, phagocytée par des lobbies, poussant à des politiques stupides, inspirées par des traités encore plus stupides...
Quant aux puissances dites émergentes : Afrique du Sud, Brésil, Inde, Russie, Turquie (...) elles sont encore trop modestes en ressources industrielles et services pour peser vraiment dans le commerce international.
Finalement, Il y a un véritable danger de conflagration à cause des deux géants qui se regardent en chien de faïence, l'un refusant de perdre le leadership mondial (et avec un certain dirigeant, cela prend des allures ubuesques), l'autre développant des visées expansionnistes, notamment en Extrême Orient et les mers qui le bordent. Regardez bien par là...où la poudrière menace d'exploser ; car le reste n'est que détournement d'attention de la ligne de front principal : l'océan Pacifique ; même si des dizaines de milliers de gens perdent la vie au fil des ans, en particulier au Proche et Moyen-Orient qui sont des théâtres d'opérations secondaires.
Ce que je trouve le plus cocasse, pour conclure, c'est comment les Chinois (leur régime dictatorial) ont réussi a détourner en leur faveur les mécanismes du capitalisme contre ses principaux instigateurs. Cela, pour un retour de politesse, c'en est un ! Si tout le monde se met à faire pareil, la superbe et les prétentions de quelques uns vont un prendre un sérieux coup.
Aux prochaines nouvelles et commentaires et bonne découverte à celles et ceux qui me lisent, qui auront le temps et la curiosité.
Amicales salutations,
Jean-Jacques REY, second prénom : Patrice (parce que figurez-vous, j'ai un sacré paquet d'homonymes qui se découvrent sur Net !) :-))
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UNE DECLATION COMMUNE
Le 16/11/2018
Déclaration commune à l'occasion du "blocage" du 17 novembre - Besançon
Agir contre le Chômage ! (AC !), Fédération Syndicale Unitaire (FSU), Union Syndicale Solidaires,
A Gauche CitoyensEnsemble !, Europe Ecologie Les Verts (EELV),
Génération.s, Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Parti Communiste Français (PCF),
Besançon, le 15 novembre 2018
Une colère légitime
Depuis quelques semaines, un mouvement de protestation contre l'augmentation des taxes sur les carburants a émergé, avec la perspective d'une journée de mobilisation le 17 novembre. Ce mouvement exprime un rejet profond de la politique menée par Macron et son gouvernement.
Même si nous condamnons à la fois la tentative de récupération politique menée par la droite et l’extrême droite ainsi que leurs réponses démagogiques, cette colère est, pour nous, légitime car elle renvoie aux questions primordiales de mobilité, de pouvoir d’achat et d’écologie.
Sur ces sujets, nos organisations ont des choses à dire :
- L’argument écologique qui justifierait l’augmentation des taxes sur le pétrole ne tient pas. Moins de 1 % de ces taxes est consacré à l’écologie et à la lutte contre le dérèglement climatique. On ne peut pas compter seulement sur la hausse des prix pour changer les comportements et les modes de vies.
- Il serait plus conséquent de valoriser la proximité et la relocalisation et d’arrêter de fermer les services publics : écoles, hôpitaux, tribunaux, poste, services fiscaux, gares, ligne de chemin de fer... Cela éviterait à la population de faire des kilomètres en voiture face à la désertification des zones péri-urbaines et rurales.
- En matière de transport et d'écologie, il serait aussi plus utile de favoriser le ferroutage pour diminuer le nombre de poids lourds sur les routes et ainsi d’éviter de brûler du diesel. Macron, écologiste de façade, fait l'inverse : promotion des bus Macron et fermeture des petites gares. Il serait également plus judicieux de mettre en place la gratuité dans les transports en commun. Si des taxes doivent exister, qu’elles s’appliquent d’abord au kérosène des avions et au fioul lourd des bateaux de croisière et autres porte-conteneurs. Faisons payer aussi le pétrolier Total qui reverse 0 impôts malgré ses 10 milliards de profit.
- Si le prix du carburant est trop cher, c'est aussi la vie qui l'est : faire ses courses, payer son loyer, se soigner, pratiquer des loisirs ... De conséquentes augmentations de salaires sont donc un préalable indispensable. Il faut remettre de la justice sociale au cœur de la lutte contre le changement climatique et éviter que ceux qui sont les moins responsables de ce changement en subissent les conséquences les plus graves.
Nos organisations suivront donc avec intérêt le développement des initiatives prises le 17 novembre et s’inscriront dans toutes celles qui favoriseront l’unité et la lutte déterminée de la population contre la politique anti-pauvres et anti-écologiques de Macron et son gouvernement.
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Lettre de cuba
Le 15/11/2018

Les nouveautés depuis le 8 novembre 2018
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La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChers amis, Plus que jamais, présents pour la coopération avec Cuba et pour en finir avec le blocus ! Samedi dernier avait lieu, à Ivry-sur-Seine, dans ses locaux l’assemblée générale ordinaire de notre association. Annuelle, traditionnelle, car statutaire, mais toujours exceptionnelle pour son contenu et ses répercussions dans notre activité. Bilans des actions, des finances, mais aussi perspectives pour l’année 2019 et les suivantes. De quoi occuper les participants, 117 présents ou représentés. Constatation : une association en parfaite santé ! De nombreux projets réalisés ou en cours à La Havane, à Cienfuegos et à Santiago de Cuba. En lien direct avec les besoins exprimés par les populations locales et leurs représentants. Un esprit de coopération, d’échange, d’enrichissement commun. Et cela porté par les militants de l’association fière de ses 16 comités (6 sont en projet !) En 2019, les projets en cours vont se poursuivre, rejoints par de nouveaux toujours dans les secteurs prioritaires pour nos amis cubains, et cette année sera ponctuée par des évènements marquants : célébration le 16 février du 60e anniversaire de la révolution cubaine ; en avril délégation de 80 participants au 200e anniversaire de la ville de Cienfuegos ; en mai, initiative pour l’édition en français du livre d’Eusebio Leal « Para no olvidar » (pour ne pas oublier) ; en septembre présence de notre stand relooké au Forum de la coopération, consacré au 500e anniversaire de La Havane ; et en novembre réalisation de nos initiatives pour cet anniversaire avec notamment le Colloque International sur « Victor Hugo, Visionnaire de Paix » et de multiples actions tant de coopération concrète que d’activités culturelles… Et compte tenu de la poursuite et l’intensification de la politique anti-cubaine du gouvernement Trump, lancement d’une campagne nationale contre le blocus. De tout cela, nous aurons l’occasion et le devoir de vous en informer avec plus de précisions … A charge pour mener à bien ces importants chantiers le nouveau conseil d’administration, renforcé de quelques nouveaux membres. Un Président, Victor Fernandez, reconduit dans ses fonctions, reconnu pour son dynamisme, son engagement, sa créativité … Avant de lever le « mojito » de l’amitié et d’apprécier le repas convivial, nous avons pu entendre et ensuite échanger sur la situation dans l’Île avec notre ami l’Ambassadeur de la République de Cuba, Elio Rodriguez Perdomo. Merci à lui pour son exposé et ses réponses claires. À Cuba, le débat populaire sur le Projet de Constitution commencé le 13 août se termine ! Impression résultat : 110.000 réunions, 7.300.000 participants, près de 1.500.000 interventions, 560.000 modifications. La commission chargée d’étudier les modifications les ajouts proposés doit maintenant les analyser pour rédiger une nouvelle version. Celle-ci sera débattue et mise aux voix une nouvelle fois à l’Assemblée Nationale pendant sa session d’hiver. Le texte définitif fera l’objet d’un référendum le 24 février 2019. Signalons que les débats les plus importants ont concerné les structures de l’État, la nouvelle définition du mariage, la reconnaissance de la propriété privée, l’élargissement des droits civiques et le renforcement du Pouvoir Populaire à la base. Un tel exercice grandeur nature de démocratie participative, mais qui n’a fait l’objet de quasiment aucun commentaire de nos médias… Que dire de la formidable tournée européenne et asiatique du Président Miguel Diaz Canel qui vient de s’achever au Laos avec une visite de transit en Grande Bretagne ! Un sans-faute. Nous vous en parlerons la semaine prochaine. DERNIERE MINUTE !
Roger Grévoul |
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LE 17 je ne bloc pas je participe
Le 14/11/2018
LE 17 je participe je suis en colère contre la CSG, la degradation du service public contre les pesticides et les taxes sur l'essence mais je ne bloc pas et je revendique une sIxieme république plus humaine plus écologique je partage solidairement
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aujourd'hui greve unitaire a l'education nationale
Le 12/11/2018
"Si l'école faisait son travail, j'aurais du travail ! " Slogan du Medef
Moi, Albert Jacquard, ministre de l'Éducation, je décrète :
Lundi, 22 Mars, 1999
L'Humanité
Par Albert Jacquard
Préambule : L'Éducation nationale ne doit pas préparer les jeunes dont l'économie ou la société ont besoin. La finalité de l'éducation est de provoquer une métamorphose chez un être pour qu'il sorte de lui-même, surmonte sa peur de l'étranger, et rencontre le monde où il vit à travers le savoir. Moi, ministre de l'Éducation nationale, je n'ai qu'une obsession : que tous ceux qui me sont confiés apprennent à regarder les autres et leur environnement, à écouter, discuter, échanger, s'exprimer, s'émerveiller. À la société de s'arranger avec ceux qui sortent de l'école, aux entreprises d'organiser les évaluations et la formation de leur personnel à l'entrée des fonctions. Il faut que les rôles cessent d'être inversés : l'éducation nationale ne produira plus de chair à profit.
Article premier : Il faut supprimer tout esprit de compétition à l'école. Le moteur de notre société occidentale est la compétition, et c'est un moteur suicidaire. Il ne faut plus apprendre pour et à être le premier.
Article deuxième : L'évaluation notée est abandonnée. Apprécier une copie, ou pire encore, une intelligence avec un nombre, c'est unidimentionnaliser les capacités des élèves. Elle sera remplacée par l'émulation. Ce principe, plus sain, permettra la comparaison pour progresser, et non pour dépasser les camarades de classe. Mettre des mots à la place des notes sera plus approprié.
Article troisième : Les examens restent dans leur principe, sachant que seuls les examens ratés par l'élève sont valables. Ils sont utiles aux professeurs pour évaluer la compréhension des élèves. Mais les diplômes ou les concours comme le baccalauréat sont une perte de temps et sont abolis. Sur tous les frontons des lycées figurera l'inscription : " Que personne ne rentre ici s'il veut préparer des examens. "
Article quatrième : Les grandes écoles (Polytechnique, l'ENA...) sont remises en question dans leur mode de recrutement. La sélection, corollaire nécessaire de la concurrence, et qui régissait l'entrée dans ces établissements, ne produisait que des personnalités conformistes, incapables de créativité et d'imagination. Pour entrer à l'ENA, des jeunes de vingt-cinq ans devaient plaire à des vieux de cinquante ans. Ce n'était pas bon signe.
Article cinquième : Les enseignants n'ont plus le droit de se renseigner sur l'âge de leurs élèves. Les dates de naissances doivent être rayées de tous les documents scolaires, sauf pour le médecin de l'école. Il n'est plus question de dire qu'un enfant est en retard ou en avance, car c'est un instrument de sélection. Chacun doit avancer sur le chemin du savoir à son rythme, et sans culpabilisation ou fierté par rapport aux camarades de classe. Par contre, un professeur a le devoir de demander à l'élève ce qu'il sait faire pour adapter son enseignement, éventuellement programmer un redoublement. Le redoublement est d'une réelle utilité s'il n'a pas de connotation de jugement.
Article sixième : Chaque professeur sera assisté d'un professeur de philosophie. Il faut en effet doubler l'accumulation des connaissances d'une approche par les concepts. Il faut en particulier passer par l'histoire des sciences, resituer les connaissances par rapport aux erreurs historiques d'interprétation des savoirs. Il faut que les élèves aient conscience des enjeux politiques qui se cachent derrière le progrès scientifique. On pourra rester quelques semaines sur un même concept, plutôt que de saupoudrer du savoir dans chaque cours.
Article septième : Le travail des professeurs par disciplines est annulé au profit du travail en équipe. La progression du travail des classes ne doit pas être perturbée par des impératifs de programme.
Article huitième : Chaque personne disposera dans sa vie, vers la fin de la trentaine, de quatre années sabbatiques afin de faire le point, se réorienter, apprendre d'autres choses. Chacun a le droit de vouloir changer de métier ou de vocation, parce qu'il n'est pas évident de se déterminer définitivement à dix-huit ans.
Article neuvième : le ministère de l'Économie ne dictera plus ses besoins au ministère de l'Éducation. Dorénavant, le ministre de l'Économie donnera tous les moyens nécessaires à l'Éducation nationale pour réussir sa vocation.
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