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Congres pcf discution base commune N°&"

Le 19/10/2018


CONGRES PCF  discution  sur  base commune  voté  N°13
solidarité avec les communistes et les forces progressistes, sans inscrire la lutte pour la paix dans l’exigence d’une autre société.
4.1 - De profonds changements du monde Ce début de XXIe siècle est une époque de bouleversements démographiques, écologiques, technologiques, économiques, géopolitiques. Ainsi par exemple le PIB de la Chine est désormais comparable à celui des États-Unis ; l’Afrique pourrait devenir le continent le plus peuplé d’ici la fin du siècle ; en France, un salarié sur deux travaille dans une multinationale. On assiste à la généralisation et à l’exacerbation des fléaux du système mais aussi à l’apparition de nouveautés radicales et de potentielles transformations d’ensemble : • le salariat se généralise dans tous les pays et l’humanité se concentre dans les villes, mais avec un chômage massif, une envolée de la précarisation, la mise en concurrence des salariés du monde entier, et l’explosion de nouveaux problèmes écologiques et sanitaires ; • alors que se poursuit l’industrialisation du monde, le début de la révolution informationnelle s’accompagne d’une domination des entreprises réelles par des capitaux financiers de plus en plus monopolistiques et spéculatifs ; • le défi climatique mondial, le recul drastique de la biodiversité, les déforestations, l’artificialisation des sols, les maladies liées à l’environnement montent, mais monte aussi une conscience mondiale de ces défis, les potentiels technologiques et  les alternatives pratiques pour y faire face ; • face au cancer financier qui se généralise, la responsabilité des banques, des multinationales, des paradis fiscaux et des organisations mondiales (FMI…) fait l’objet d’une prise de conscience mondiale ; • partout s’affirme une volonté d’émancipation des individus, hommes et femmes, mais qui peut aussi être dévoyée en un individualisme destructeur des solidarités traditionnelles ; • la nouvelle situation mondiale porte à la fois des possibilités nouvelles de communication et de partage, une ouverture croissante aux autres nations et à la diversité des cultures, et la mise en cause des protections étatiques traditionnelles, la régression des droits sociaux acquis, l’exacerbation des dominations supranationales ; • des intégrismes et des conservatismes opposés, occidentaliste, suprémaciste blanc, « islamiste », se développent en même temps que montent des mouvements d’émancipation multiformes. Après la chute du mur de Berlin et l’échec de l’expérience soviétique, avoir cru qu’il suffisait d’affirmer l’histoire propre du communisme français pour se dégager des conséquences de cet échec était une erreur : un bilan communiste de ce qu’a représenté l’Union soviétique est indispensable pour sortir de la diabolisation construite contre nous par les porte-voix du capital et poursuivre avec ténacité le développement de notre projet original autogestionnaire vers un communisme de notre temps.
4.2 - Affrontement généralisé ou coopération et paix ? Loin de la « fin de l’histoire », les concurrences inter-impérialistes et les dominations ont été relancées : hyper-marchandisation du monde ; financiarisation massive débouchant sur la domination technologique et commerciale des multinationales ; unilatéralisme américain et renforcement de l’OTAN alors que le monde devenait déjà plus multipolaire. La crise de 2007-2008, qui a frappé les seuls pays capitalistes développés, a fragilisé l’image du capitalisme et la position d’hégémonie mondiale des États-Unis. Face à cela, l’impérialisme américain utilise de façon de plus en plus agressive le

 

CONGRES PCF discution base commune N°12

Le 19/10/2018


CONGRES PCF  discution  sur  base commune  voté  N°12
un plan d’urgence contre le réchauffement climatique exige des mesures rapides telles que la gratuité des transports en commun et de s’attaquer au pouvoir de la finance et des actionnaires pour relancer le ferroviaire, fret et voyageurs, avec des dépenses d’infrastructures et pour les entreprises publiques, à l’inverse du démantèlement de la SNCF programmé par Macron. C’est désormais une bataille idéologique structurante, pour donner à voir la nouvelle société que nous voulons construire. Des pouvoirs et droits nouveaux La conquête d’une égalité réelle pour toutes et tous, émancipée des origines assignées, des discriminations liées à l’âge, au genre, à l’orientation sexuelle, à la catégorie sociale, à l’apparence physique, au handicap, doit être instaurée et affirmée en donnant les mêmes droits à chacune et à chacun, dans une égale dignité de participation et d’intervention. La politique des boucs émissaires, des relégations territoriales, de l’incitation au racisme et de la stigmatisation masque les vrais problèmes et les entretient. Cela appelle tout à la fois un effort culturel, un effort démocratique, une justice réaffirmée, une autre police et un nouvel âge des services publics. La démocratie participative et d’intervention doit devenir un principe actif, un impératif des politiques publiques, avec de réels moyens d’intervention directe des citoyennes et des citoyens. Elle suppose la création de nouveaux pouvoirs, un essor considérable des libertés et la conquête d’une égalité effective, en faisant en sorte que chacun dispose des moyens nécessaires à son accomplissement. Le rôle des salarié·e·s dans l’entreprise et des populations concernées doit prédominer, au lieu du monopole du capital et de ses représentants. Cet enjeu est au cœur de la lutte de classes d’aujourd’hui. Il s’agit de transformer les gestions d’entreprises pour leur faire assumer un but d’efficacité sociale, territoriale et écologique. Il faut aussi de nouvelles institutions permettant l’intervention populaire à tous les niveaux (des collectivités territoriales à l’État) pour une nouvelle République allant de pair avec une nouvelle construction européenne. Cela implique de permettre à toutes et tous de comprendre le monde pour le transformer, de s’approprier des savoirs complexes et de construire une culture commune de haut niveau grâce à des services publics de l’éducation, de la formation et de la culture renforcés et profondément transformés. Des moyens financiers Émanciper société et économie des marchés financiers L’argent et la monnaie sont l’instrument majeur de la domination du capital sur l’économie et la société. Un projet communiste doit promouvoir par la lutte un tout autre système de financement. Les marchés financiers, les grands actionnaires et le grand patronat imposent une logique de financement et de gestion qui soumet les entreprises à la domination du capital. Pour imposer une tout autre logique, nous voulons prendre le pouvoir sur l’utilisation de l’argent des entreprises (profits), de l’État (fond publics), des banques (crédit), des assurances (épargne). Au lieu de servir les profits, le coût du capital, l’évasion fiscale, cet argent doit financer les investissements efficaces, l’emploi, la formation, la recherche, l’écologie, l’égalité femmes-hommes, etc. Il doit aussi financer les services publics dans les territoires au lieu de laisser la dette publique sous la coupe des marchés financiers. Cet axe de transformation concerne tous les niveaux d’intervention : régional, national, européen et mondial. 4. Un nouvel internationalisme  pour relever le défi de  la mondialisation capitaliste Les communistes français ne peuvent penser leur rôle dans la société sans penser les profonds bouleversements vécus par la planète, sans travailler aux liens de
 

 

CONGRES PCF discution base commune N°11

Le 18/10/2018


CONGRES PCF  discution  sur  base commune  voté  N°11
médiates vers ce projet ont déjà fait l’objet d’une proposition de loi des députés communistes. La culture et l’émancipation humaine sont au cœur de ce projet. Plus celui-ci va se développer, plus il va appeler à une nouvelle culture, à un dépassement des anciennes cloisons, plus il va nécessiter la participation de chacune et chacun aux activités culturelles et créatrices. Une nouvelle expansion des services et du secteur publics Les services publics doivent être une pierre angulaire de la construction d’une nouvelle citoyenneté et de la promotion de biens communs dans tous les domaines. Il s’agit de contester la domination de l’Union européenne par le marché et la concurrence aveugle, pour promouvoir un système de coopération où les services publics rénovés et de nouvelles entreprises publiques joueraient un rôle décisif d’entraînement. Il est indispensable de promouvoir des entreprises publiques dans les secteurs de la production et des services, visant la réponse efficace aux besoins populaires et la sécurisation de l’emploi et de la formation. Cela implique une transformation profonde des gestions avec de nouveaux critères, une barrière efficace à l’entrée des capitaux privés, des financements émancipés des marchés financiers, des pouvoirs d’intervention des salariés et de concertation avec les usagers, des coopérations très nombreuses et intimes en France, en Europe, dans le monde. Une refonte écologique et culturelle de la production et de la consommation Le capitalisme exploite l’humain et les ressources naturelles pour son profit égoïste. La nature devrait être un bien commun de l’humanité tout entière au lieu d’être marchandisée, voire parfois privatisée. Il est le principal responsable de la crise écologique, provocant pollutions, réfugiés climatiques, famines, difficulté d’accès à l’eau, guerres… Le sort de l’humanité et de la planète sont indissociables : comment protéger les écosystèmes, la biodiversité quand l’humain est en souffrance ? Notre vision communiste, originale, juge complémentaires développement humain et écologie, sans les opposer. Pour nous, l’enjeu écologique renforce nos combats. Bien loin de les décentrer, il les élargit. Il confirme qu’il faut vraiment changer le mode de production et de consommation, qu’il faut une véritable révolution. Il faut une révolution dans les rapports sociaux de production, jusqu’aux techniques de production, une révolution de la répartition et de la consommation, et une révolution des pouvoirs et de la culture. Services publics et entreprises sont au cœur de l’enjeu écologique : service public de l’écologie, mais aussi de la santé ou de la recherche ou du financement, mais aussi entreprises productives, avec de nouveaux critères de gestion (donc de production et de localisation), banques (avec de nouveaux critères d’investissement et de financement). Nous pouvons faire converger des forces du « dedans » et du « dehors » de l’entreprise, à partir du double enjeu social et écologique qui se rejoignent contre la domination du capital, les critères de rentabilité financière, l’austérité et le système de pouvoirs. De nouvelles conquêtes sociales et écologiques doivent être gagnées par des batailles concrètes sur tous les sujets. Par exemple : • la bataille pour des relocalisations industrielles, le développement de l’emploi, converge avec celle des circuits courts, pour réduire pollutions et réchauffement climatique ; elle suppose une nouvelle politique industrielle et de services ; • un plan pour développer un nouveau mix énergétique remplaçant les énergies carbonées et associant développement des énergies renouvelables avec la maîtrise publique, sociale et démocratique d’une filière nucléaire sécurisée et renouvelée : s’inscrivant dans une transition énergétique, écologique et non malthusienne, ce plan nécessiterait un grand effort de recherche, d’embauches, de formation, d’investissement et d’innovation sociale ; il serait élaboré avec tous les acteurs sociaux et citoyens ;

 

lettre de cuba

Le 18/10/2018


Les nouveautés depuis le 11 octobre 2018

 


La lettre électronique Hebdo de Cubacoopération

Chers amis et chères amies,
Je remercie mon ami Roger Grevoul, notre président fondateur, de m’avoir confié la tâche importante de codiriger avec lui le site de notre association, proposition approuvée par notre dernier conseil d’administration. J’ai donc la charge de rédiger l’éditorial de cette lettre hebdomadaire, ainsi que les deux prochains, alors qu’il se trouve à Cuba, en mission, pour faire avancer nos projets de coopération entre la France et Cuba. Nous attendons de bonnes nouvelles pour ces projets et merci encore Roger de ta confiance !

Il y a un peu plus d’une semaine, le 10 octobre, les cubains célébraient un anniversaire que peu connaissent. Et en s’exclamant « la Patria es la Demajagua ! », la Patrie c’est la Demajagua, honorant ainsi les 150 ans de cet événement fondateur de ce qu’ils considèrent comme le premier acte révolutionnaire de leur histoire.
Qu’est ce que la Demajagua ? C’est le nom de la finca, la propriété, dans l’est de l’ile, où Carlos Manuel de Cespedes, fut le premier à libérer les esclaves, le 10 octobre 1868, en engageant la grande guerre d’indépendance contre les colonisateurs espagnols. Et cette rébellion fut un succès au point que les rebelles, proclamèrent la république en 1869, et Carlos Manuel de Cespedes devint le président de la république. Il mourut au combat en 1874.
Aujourd’hui la Demajagua qui avait été détruite a été reconstruite avec la fameuse cloche dans un trou du mur donnant vers la mer, près de laquelle il lança la révolte. Ceux qui firent sonner la cloche de la Demajagua, il y a 150 ans sont donc considérés à Cuba comme les initiateurs de la révolution du peuple cubain, pour se libérer de ses entraves.
Cet anniversaire montre que la population cubaine a une longue histoire révolutionnaire.
Ainsi l’année qui vient, en 2019, les cubains fêterons le 60e anniversaire de la révolution qui le 1er janvier 1959 vint à bout de la dictature de Batista avec à sa tête Fidel Castro.
Mais les cubains se considèrent toujours en révolution. Pourquoi les cubains utilisent encore le terme de révolution cubaine en temps de paix pour désigner le projet social qu’ils défendent ?
Une des fausses idées prônées par les détracteurs du socialisme cubain est que cette île s’est arrêtée dans le temps. C’est un peu oublier ce qu’était ce pays avec une agriculture basée sur le latifundium, une économie détériorée et minée par la corruption, des industries dans des mains étrangères, l’analphabétisme, la faim, la misère.
Et pourtant aujourd’hui Cuba est devenu une bannière des droits de l’homme, la santé, l’éducation, le sport, la culture sont des trésors précieux et incomparables de la société cubaine, des réalisations qui sont ignorées par certains pays développés.
Et c’est bien parce que le peuple cubain n’est pas resté les bras croisés qu’il a pu résister aux épreuves, pour adapter son projet social, et défendre les valeurs qui placent l’être humain au cœur de son développement.
Et ils l’ont fait malgré le terrible blocus imposé par les Etats-Unis.
Le nouveau président, Miguel Diaz Canel vient de déclarer lors d’une interview : « La levée du blocus ne dépend pas de nous, mais plutôt du gouvernement des États-Unis. Par conséquent, nous ne pouvons en aucun cas subordonner nos envies de réalisations, notre soif de justice sociale et de prospérité à ce qu’un gouvernement étranger peut exercer comme politique. »
Autrement dit, pour les cubains, ils considèrent qu’ils ne peuvent s’émanciper que par eux-mêmes et par leurs efforts.
La nouvelle page qu’ils sont en train de construire avec le renouvellement de la constitution, auquel l’ensemble de la population cubaine est appelée à participer, montre bien que la révolution n’est pas finie, et ne relève pas du passé à Cuba.
A la fin du mois d’octobre, une nouvelle foi, Cuba va présenter à l’ONU une résolution pour demander la fin du blocus. Comme chaque année elle sera certainement adoptée par l’immense majorité des pays, et seuls deux pays, les Etats-Unis et Israël ne la votent pas, ils s’étaient juste abstenus à la fin du mandat de Obama.
Nous y reviendrons, comme nous reviendrons sur ce que notre association prépare pour fêter en 2019, en coordination avec l’ambassade de Cuba en France, le 60e anniversaire de la révolution de 1959.
Comme chaque semaine vous trouverez de nombreux articles qui traitent de la réalité cubaine, à la fois sur l’actualité et sur la culture et l’histoire de Cuba.

Bonne lecture.

Michel Humbert,

 

BASE commune de discution au congres du pcf voté et majoritaire

Le 17/10/2018


CONGRES PCF  discution  sur  base commune  voté  N°10
Il s’agit de dépasser l’enfermement de chacune et chacun dans les aliénations d’un travail, d’une consommation et d’une vie sociale dominées par une production au service de la marchandisation et de l’accumulation ; et, en dépassant la soumission des activités à l’accumulation capitaliste, de faire avancer une efficacité sociale pour le droit au bonheur de chacune et chacun. Cela signifie une révolution des rapports sociaux de production : • une appropriation sociale des moyens de production, d’échange et de financement, de la gestion des entreprises ; • l’avancée d’une sécurité d’emploi ou de formation, avec des activités de développement des capacités de chacune et chacun, dépassant le salariat capitaliste, vers une société sans classe. Cela suppose une révolution politique qui, à chaque étape, arrache toujours plus au capital la maîtrise des leviers de pouvoir, notamment ceux de l’État Cela signifie une transformation ininterrompue des institutions, avec des pouvoirs d’intervention directe, décentralisés, de tous les acteurs sociaux, des citoyennes et des citoyens. Cela permettrait de pousser la démocratie jusqu’au développement de l’autogestion économique et politique. Dans cette nouvelle civilisation, chacune et chacun aurait tous les moyens effectifs de contribuer à son propre bonheur. Forte de nouvelles valeurs, cette civilisation permettrait l’épanouissement et la créativité de chaque individu et de toutes et tous, ensemble. L’humanité pourrait mettre un terme à toutes les dominations sociales et à toutes les formes de discrimination, pour une société d’égalité dans la différence. Elle deviendrait capable de transmettre la Terre aux générations futures, en respectant son intégrité, sa diversité, sa beauté.
3.3 - Porter un projet communiste Travail, emploi, salaires (marché du travail), services publics, biens communs et développement humain, rôle de l’entreprise et de la production, pouvoirs, institutions politiques, finance et mondialisation : tels sont les chantiers du communisme que nous devons investir immédiatement. Un projet communiste doit comporter des axes de transformation sur tous ces chantiers. Sans constituer un programme, ceux-ci doivent être cohérents pour une transformation effective. Sa configuration doit se modifier au rythme de l’expérience acquise par les luttes pratiques, comme au rythme de l’avancée des connaissances. Il s’agit, au total, d’avancer en pratique en rassemblant largement, malgré les conflits inévitables, les contradictions, les compromis et les incertitudes dans une construction qui puisse changer réellement la société. Des objectifs sociaux transformateurs L’emploi au cœur de la transformation sociale : notre proposition de sécurité d’emploi et de formation Le chômage, la précarité et les « jobs de merde » ne sont pas des fatalités. Prenant appui sur l’aspiration partagée à une formation et à une mobilité choisie, à un travail utile et qui ait du sens, comme sur la nécessité pour la société d’élever le niveau de formation et de qualification pour répondre aux besoins de souplesse et d’adaptabilité de la production moderne, nous voulons avancer vers une sécurité d’emploi et de formation permettant à chacune et chacun de conjuguer mobilité choisie et sécurité accrue de ses revenus et de ses droits. Ce système pleinement réalisé permettrait de supprimer le chômage, de révolutionner le contenu du travail, de dépasser l’opposition travail-hors travail, tout en répondant au besoin de souplesse, de progrès et d’adaptabilité de la production moderne. Il ouvre la voie à une nouvelle organisation des temps de la vie, donnant à toutes et tous plus de temps pour se former, plus de temps à consacrer à sa famille, plus de temps pour la vie sociale. Progresser dans sa construction est inséparable de la défense et de la promotion d’une protection sociale efficace parce que financée à partir des richesses créées dans les entreprises. Des éléments essentiels d’avancées im

 

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