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Subject: Re: yoyo pour l'histoire complete
From: ROGER JOURNOT <roger.journot.ccppo@free.fr>
In-Reply-To: <1588235108.12560.1475856769542.JavaMail.www@wwinf1c10>
Date: Mon, 18 Dec 2017 08:52:12 +0100
Cc: Joseph ADAMI <joseph.adami@orange.fr>,
Pcf Doubs <pcf.doubs@gmail.com>
Message-Id: <1B6D997A-B15E-4A07-81AB-2072B1B8605F@free.fr>
References: <164C9BB0-8AAE-4543-A3F2-1C38EDBBA9B5@free.fr> <1588235108.12560.1475856769542.JavaMail.www@wwinf1c10>
To: Roger MOREL <roger.morel13@wanadoo.fr>
X-Mailer: Apple Mail (2.3124)
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Bonjour,
Fini janvier, le CCPPO rappeler le luttes du début des années cinquante
YOYO VOULAIS DANS UN AVENIR PROCHE PARLER DES LUTTES A RHODIA AVANT 1967
A mon licenciment le premier avril 1963 comme delegué cgt d'entreprise, le directeur general de rhodia besançon m'avais convocqué de nuit dans son bureau et m'avais annoncé deux nouvelles une bonne et une mauvaise
la bonne nouvelle vous avez obtenu la quatriemme semaine de congé et la deuxieme nouvelle moind bonne "j'ai un choix a faire c'est vous ou moi" et le lendemain premier avril je recevais ma lettre de licenciment , en copie l'article de lanz oui yoyo aurais apprecier de rappeler lors de son hommage le rappel du grand militant jean dupre ancien deporté et moi j'associe guyon vrtnirt dit la guepe , boisson , gargam,farine , botagissi,laurent albert,chatelain, cottin jorand, trouba
la résistance à l'usine Rhodiaceta
(De notre correspondant à Besançon Pierre Lanz)
Besançon, où les ouvriers des petites usines
ne gagnent souvent que 2 F de l'heure, les
travailleurs de la Rhodiaceta semblent des
privilégiés. Depuis son installation en 1955 à la
place des vieilles usines de rayonne, l'usine, en
constant développement, exerce une forte attraction
sur la main-d'oeuvre ; elle emploie actuellement
plus de 2.000 personnes ; c'est la première
entreprise de la ville et ses feuilles de paye font
rêver : l'O.S. touche environ 700 F par mois et le
manoeuvre y dépasse toujours 500 F. Et pourtant,
ce sont ces nantis qui ont fait une heure de grève le
6 mars pour réclamer une quatrième semaine de
congés payés.
Resserrée entre la montagne et le Doubs, la
grande usine neuve, brillamment éclairée la nuit, a
belle apparence. Tout change lorsqu'on s'approche :
la puanteur des polyesters qui permettent la
fabrication des fils de Tergal (le lissage se fait
ailleurs) rend l'atmosphère irrespirable ; et la
société a cru bon de loger des ouvriers d'entretien
tout près de l'usine ; ainsi, toute la famille peut
vivre dans l'« ambiance ». Au début, lors de
l'adaptation de la main-d'oeuvre, les cadences
étaient relativement basses ; il fallait deux ouvrières
pour un poste ; aujourd'hui, dans un atelier
d'étirage, il y a un ouvrier pour deux métiers. La
main-d'oeuvre, venue de petites usines, de
fromageries ou d'entreprises paternalistes était peu
revendicative : 40 % des ouvriers habitent la
campagne environnante. Ainsi la direction a-t-elle
pu imposer une stricte discipline (trois jours de
mise à pied pour avoir fumé dans les w.-c). Pour
devenir chef d'équipe à la Rhodiaceta il faut
montrer patte blanche, d'où la disparition des
partis politiques de certains ouvriers qui voulaient
« monter ». Les syndicats ne peuvent se réunir à
l'intérieur de l'usine.
Les conditions de travail sont épuisantes. La
Rhodia est la seule entreprise de Besançon à
pratiquer les 3/8. avec changement d'horaire tous
les trois jours, afin, dit-on, de diminuer
l'absentéisme pour l'équipe de 4 heures du matin. Il
est donc impossible de se réadapter en si peu de
temps au nouveau rythme du sommeil. Peu
importe, puisque cela ne dure pas longtemps... Mais
au bout de la semaine, le temps de sommeil a été
très, fortement diminué. Les jeunes sont
profondément victimes de ce déséquilibre ; ils
tentent souvent de mener une vie « normale », de ne
pas sacrifier trop leur vie familiale, et se refusent à
prendre conscience de leurs besoins de sommeil.
L'horaire hebdomadaire est de 42 heures (44 et 48
pour les ouvriers de jour, une minorité) avec 48
heures de repos consécutif tous les neuf jours : mais
ce repos commence à 4 heures du matin et cela ne
fait qu'une nuit normale avant de reprendre à 4
heures la nuit suivante.
Dans la filature, l'atmosphère de l'atelier où
travaillent 10 % des ouvriers varie entre 36 et 42°,
avec une forte humidité ; pendant les grands froids,
l'air n'y était pas renouvelé : cela puait encore plus.
« Au début, disent les ouvriers, on apprécie les
horaires incommodes, mais relativement restreints,
les 48 heures de repos. Mais, au bout de deux ans,
on ne tient pas le coup, à cause de la fatigue, de la
chaleur, de la discipline, des cadences. » La
direction ménage d'ailleurs la santé des ouvriers :
un ouvrier est renvoyé chez lui s'il paraît trop
fatigué le matin pour le service de 4 heures ; mais
cette sollicitude ne va pas jusqu'à lui payer son
salaire ce jour-là...
C'est pourquoi les ouvriers ont suivi à 90 %
l'ordre de grève lancé par la C.G.T. (qui est
d'ailleurs minoritaire à la Rhodia de Besançon : au
comité d'entreprise, pour le collège ouvrier, elle a
trois sièges, la C.F.T.C. en a 4 et F.O. n'est pas
représenté). A la réunion de Lyon des textiles
artificiels, la C.G.T. et la C.F.T.C. avaient décidé
une semaine d'action pouvant aller jusqu'à la
grève. La C.F.T.C. de Besançon reproche à la
C.G.T. de mal choisir son moment pour faire grève,
d'entraîner les ouvriers dans des mouvements
inopportuns, de réclamer trop de choses à la fois ;
la C.G.T. répond que la C.F.T.C. ne veut
entreprendre une grève que lorsque le patron est
tout près de céder. Sans prendre parti dans ce
débat, remarquons que cette polémique locale
reflète toutes les difficultés de la tactique syndicale
aujourd'hui. La C.F.T.C. considère que la C.G.T.
entreprend trop d'actions, trop dispersées, alors
qu'elle est favorable à des grèves moins
nombreuses, mais plus longues, sur des objectifs
précis ; d'où sa position au début du conflit minier.
Mais l'unité des ouvriers s'est faite dans le
mouvement. Une nouvelle semaine d'action est
prévue du 15 au 22 mars.
DERNIERE MINUTE. — Nous apprenons que la
Rhodiaceta a décidé d'accorder la quatrième semaine
sans contrepartie mais en dehors de la période légale
des congés.
> Message du 06/10/16 09:15
> De : "ROGER JOURNOT" <roger.journot.ccppo@free.fr>
> A : "Nicole Brenez" <nicole.brenez@wanadoo.fr>, "Amor Nekhili" <amornekhili@gmail.com>, "Louisette Faréniaux" <louisettefareniaux@yahoo.fr>, "benoit.roche@irts-fc.fr Roche" <benoit.roche@irts-fC.fr>, "Dominique MAUGARS" <dommaugars@wanadoo.fr>, "Roger MOREL" <roger.morel13@wanadoo.fr>, "Thibaut Respingue" <trespingue@gmail.com>, "Mimi Mimi" <minouchka25@hotmail.com>, mifailevic@free.fr, "arnal" <claude.arnal1@free.fr>
> Copie à :
> Objet : article sur yoyo (en entier) bonne journée
>
>
comme delegué cgt a
Georges Maurivard, « militant syndical, culturel et politique »
Mardi 4 octobre 2016 / Daniel Bordür
Deux mois après le décès du président des Amis de la Maison du peuple, un hommage lui a été rendu à la mairie de Besançon. Il fut l'un des animateur de la grande grève de la Rhodia en 1967 qui préfigura le mouvement de Mai 68, se battit pour que son comité d'entreprise fasse de l'éducation populaire, cofonda le groupe Medvedkine, fut adjoint au maire...
Offrir l'articleGeorges Maurivard pendant la gr!ve de la Rhodia en 1967. (Photo Bernard Faille)
« Camarades. Ici, depuis 10 jours, se rencontrent des hommes. Il ne faut pas qu’une partie d’entre nous se réjouisse du fait que depuis les premières heures de la lutte, les militants et les dirigeants du Parti Communiste soient présents et qu’une autre partie d’entre nous soit fière de la présence constante à nos côtés de prêtres de l’Action Catholique Ouvrière et de militants de la JOC. Il faut que chacun d’entre nous, que nous tous, ensemble, nous nous réjouissions du fait qu’ici, à Rhodiacéta, se dessine le visage de l’avenir : celui qui croit au ciel, celui qui n’y croit pas. Ils sont là tous les deux. Des dizaines et des dizaines de milliers dans tout le pays, et ça doit être ça notre fierté : cette unité réalisée.
Camarades. La lutte n’a pas que des côtés exaltants ; il y a des problèmes de famille, de fric, il y a la fatigue, l’énervement. On voudrait être sûr de la victoire, la tenir déjà. Il y a des sacrifices qu’il faut consentir et d’autres à venir. Mais il y a surtout que nous n’avons pas le droit de tromper ceux qui nous soutiennent…La lutte continue et elle continuera selon l’orientation que vous allez décider de lui donner ».
Parmi les présents, Jacques Vingler (assis) et Jean-Fousseret (au fond) écoutent Michel Pagani.
Ces mots que Georges Maurivard prononça devant 1500 grévistes de la Rohdiaceta un jour de l'hiver 1967, Michel Pagani les a lus mardi 4 octobre, la voix tremblante d'émotion, dans une salle de la mairie de Besançon où se pressaient bien plus de cent personnes venues rendre hommage à celui qui fut un infatigable « militant syndical, culturel et politique ». Disparu le 4 août dernier à 76 ans, fils d'un résistant mort en déportation en 1944, il aura été un sacré personnage. Par la forte carrure, le sourire, la voix forte, mais aussi des choix assumés, plaçant l'humain au-dessus des systèmes.
Responsable de la fameuse commission culturelle du comité d'entreprise de la Rodhia à 25 ans, il est de ceux qui obtiennent l'ouverture de la bibliothèque de l'usine la nuit afin que les ouvriers puissent y prendre et ramener des livres comme ceux travaillant de jour. Il avait été élu délégué CFDT l'année précédente, celle de la déconfessionnalisation de la CFTC où il s'était syndiqué dès son embauche. Un engagement naturel pour le jeune homme né en 1940 à Franois dans une famille catholique dont la mère était du Haut-Doubs. L'année suivante, il rejoint le CCPPO, une association culturelle et d'éducation populaire qui fait connaître de grandes œuvres aux salariés par le biais des comités d'entreprises et des syndicats.
« Quand il a quitté notre CFDT, ça a été un vrai déchirement... »
François Jeannin le copain de foot des 15 ans, Henri Traforetti l'ami du groupe Medvedkine, Roger Journot le prolongateur du CCPPO...
Il quittera la CFDT pour la CGT à l'occasion de la grande grève de 1967, un mouvement qui annonce Mai 68. Le film de Chris Marker et Mario Marret, A Bientôt j'espère, dont le titre reprend une de ses phrases, décrit assez bien l'effervescence qui anime le monde ouvrier et plus particulièrement la jeunesse, son désir de liberté et de vie digne.
François Jeannin, ancien responsable CFDT des cheminots, également originaire de Franois, a joué au foot avec lui, fréquenté les mêmes cinémas, lorsqu'ils étaient adolescents. « Quand il a quitté notre CFDT, ça a été un vrai déchirement... Il voulait s'engager politiquement, ce que permettait la CGT. La CFDT pratiquait le non cumul des mandats politiques et syndicaux », dit Jeannin, soulagé que « ces choix n'aient pas nui à la nature profonde de nos relations humaines ».
Dans la foulée du film de 67, Georges Maurivard fait partie des premiers membres du groupe Medvedkine. Des ouvriers veulent faire des films sur leur condition et sont aidés, techniquement, par des cinéastes professionnels parmi lesquels un certain Jean-Luc Godard. L'expérience bisontine fera des émules à Sochaux. Il en reste une quinzaine de films, plutôt loin du réalisme socialiste, confinant parfois au surréalisme, témoignant au plus près de ce que fut la société au tournant des années 1960 et 1970.
Georges Maurivard.
Georges Maurivard adhère au PCF peu après avoir rejoint la CGT. Suppléant aux législatives de 1973, il figure sur la première liste d'union de la gauche (PS-PCF-PSU) en 1977 et devient adjoint aux sports de Robert Schwint. Quand, peu après, les communistes refusent de voter le budget, sur consigne de la direction nationale, ce qui entraîne le retrait de leur délégation, Maurivard commence à se sentir en désaccord avec la ligne Marchais, le secrétaire général de l'époque. Mais les débats internes au PCF sortent peu à l'extérieur. Et c'est « sur la pointe des pieds », comme dit Michel Pagani, que Georges Maurivard quitte le parti en 1983. Quatre ans plus tard, la fédération du Doubs du PCF sera placée hors du parti par la direction pour avoir refusé de voter le rapport d'orientation du congrès...
« L'homme orchestre, l'homme du combat de classe, l'homme d'esprit... »
A la fête du Travailleur bisontin, la fête du PCF, aujourd'hui abandonnée. (photo Bernard Faille)
Cet épisode accéléra la chute électorale du PCF. Nombreux sont les protagonistes des deux camps — ceux qui sont restés, ceux qui sont partis, les « ex-virés » — à s'être retrouvés pour l'hommage à Georges Maurivard, lui donnant une dimension émotionnelle assez particulière, comme si des frères ennemis commençaient à effacer une part de la gène qui les a longtemps empêchés de se parler, de reparler de cette crise politique qui secoua le pays en voyant un parti majeur se saborder.
Jacques Bauquier, militant CGT et adhérent du PCF, se souvient avoir fait la connaissance de celui que ses amis appelaient Yoyo lors du dernier conflit de la Rhodia, en 1982 : « J'étais jeune militant, il était impressionnant par sa prestance, son engagement. Il avait ça dans la peau. Ce qu'il pensait, il le disait, c'était un meneur d'hommes... » Son prédécesseur au secrétariat de l'union locale, Henri Traforetti, a côtoyé Maurivard à l'usine des Prés de Vaux et au groupe Medvedkine. Il retient devant l'assemblée « l'homme orchestre, l'homme du combat de classe, l'homme d'esprit aimant l'art, la lecture, la musique, la confrontation des idées, l'homme un peu provocateur, malicieux, entier et parfois excessif... » Il nous lâche : « ce qu'il faut voir, c'est la capacité de travail, ce qu'il accomplissait en 24 heures... On bossait 24 heures sur 24 le politique, le syndical et le culturel. On marnait ensemble, comme en famille, entre copains... »
C'est sans doute cela, cette fraternité à l'œuvre, que Georges Maurivard aimait par dessus tout. Elle lui a donné la lucidité de quitter le parti avant qu'il ne s'effondre tout en agissant pour ses convictions. Et assumer après André Vagneron, en 2004, la présidence de l'association des Amis de la maison du peuple qui entend notamment perpétuer la mémoire des luttes ouvrières. Elle lui consacrera son prochain bulletin.
Pendant la cérémonie.
L'AGENDA
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Festival Jazz en Revermont06 oct - Revermont
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L'Histoire de l'avenue Fontaine-Argent06 oct - Besançon & agglo
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Festival du bitume et des plumes07 oct - Besançon & agglo
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3ou4 : électro-acoustique à La Grange08 oct - Jura
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"Tout s'accélère" : le film et un débat10 oct - Haut-Doubs
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