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lettre de Patrick Le Hyaric
Le 28/07/2017
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Commentaires textes : Écrire
Lettre de cuba
Le 27/07/2017
Les nouveautés depuis le 20 juillet 2017
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Commentaires textes : Écrire
Les communistes bisontin
Le 24/07/2017
22 juillet 2017
Christophe Lime l'assure : les élus communistes seront actifs dès la rentrée. « Sur le plan national, nous demandons à toutes les communes de voter des motions et d'agir lors du prochain salon des maires, en novembre. » (Photo Franck HAKMOUN)
« Impossible », rétorquent les élus communistes de la ville de Besançon, Christophe Lime, Elsa Maillot et Thibaut Bize. « L'austérité imposée par le précédent gouvernement a déjà coûté 25 millions d'euros à Besançon dans un contexte où la ville investit 32 millions chaque année pour ses projets. Cette fois-ci, le président Macron demande 13 milliards d'économies supplémentaires au niveau national. Pour Besançon, selon nos estimations, cela correspondra à une perte de 2 millions chaque année pendant cinq ans », affirme Christophe Lime.
« Et cela va empirer »
Pour les élus communistes, cela ne sera pas jouable sans des sacrifices. « Tous les adjoints ont considéré qu'il n'était pas possible de raboter davantage sauf à fermer des services ou des structures, sauf à augmenter les impôts... Pour compenser ces nouvelles pertes, il faudrait une hausse annuelle de 3 à 4 % de la taxe d'habitation ou plutôt de la taxe foncière puisqu'Emmanuel Macron veut exonérer 80 % de la population française de la taxe d'habitation. » À propos, cette exonération est-elle une bonne mesure ? « Franchement non, actuellement 42 % des Bisontins payent totalement la taxe d'habitation, 58 % sont dégrevés partiellement et 18 % totalement », affirme Thibaut Bize. « On aurait préféré rediscuter les valeurs locatives. »
Alors bien sûr, certains émettent des pistes pour dire que ces économies sont possibles. « On parle de mutualisation des moyens des communes aux communautés de communes. Mais ce n'est pas vrai. Les mutualisations débouchent toujours sur un nivellement par le haut des services car les maires ne veulent pas perdre leur niveau de services. Par ailleurs, les mutualisations entraînent souvent des besoins d'embauche car, au niveau communal, de nombreuses actions se font bénévolement. »
Elsa Maillot acquiesce. « Certains font passer le message qu'il y a trop d'élus. Mais les gens savent-ils que les deux tiers des élus locaux ne sont pas rémunérés ? Les gens savent-ils que 73 % des investissements en France sont supportés par les communes, avec généralement des emplois locaux à la clé. »
Pour les élus communistes, les collectivités devront faire des choix. « Faudra-t-il fermer un équipement comme la Rodia, arrêter de subventionner un club sportif de haut niveau ? »
Christophe Lime et les siens sont alarmistes. « Et cela va empirer. On en a peu parlé mais au 1er janvier 2018, les collectivités intercommunales auront en charge la gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations. Jusqu'à présent, la GEMAPI était une compétence de l'État. Il s'en débarrasse sans compensations. Cela signifiera une nouvelle charge. »
Eric DAVIATTE
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lettre de Patrick Le Hyaric
Le 22/07/2017
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Commentaires textes : Écrire
Lettre de cuba
Le 20/07/2017
Les nouveautés depuis le 13 juillet 2017
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La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChers amis, Le BLOCUS toujours et encore le BLOCUS… Nous le constatons avec amertume et aussi colère, cette mesure injuste, inhumaine qui frappe depuis quasiment 60 ans l’Ile de Cuba, par la volonté hégémonique des États-Unis est toujours en vigueur, malgré la réprobation du monde entier. Mardi dernier, à l’ONU, Cuba a une nouvelle fois dénoncé le blocus économique, commercial et financier, qui constitue le principal obstacle au développement de son économie et cause des privations importantes au peuple cubain. Dans cette réunion du Conseil économique et social, qui traitait de l’Agenda 2030 de développement durable, la conseillère cubaine Ileydis Valiente a insisté sur le fait que le blocus mettait en cause la réalisation des objectifs de cet agenda, et qu’en dépit des circonstances Cuba restait attachée à la matérialisation de la plateforme des 17 objectifs de développement approuvés en septembre 2015. Elle a affirmé que les sanctions unilatérales des États-Unis n’ont pas freiné la solidarité de l’Ile avec d’autres pays. Il est indispensable, a-t-elle dit de changer de modèle de développement et d’abandonner la culture des privilèges pour la culture de l’égalité. Elle a appelé à mettre en œuvre des ressources nouvelles pour accomplir les objectifs de cet agenda. Sans ces ressources financières, la réalisation sera une utopie et moins de la moitié du cout des dépenses militaires annuelles mondiales seraient suffisantes pour les financer. Madame Valiente a rappelé un discours prononcé à l’Assemblée Générale des Nations Unies, le 12 octobre 1979 par Fidel Castro qui appelé à l’élimination de l’inégalité abyssale entre les pays développés et les pays en voie de développement. Fidel Castro appelé à un nouvel ordre mondial fondé sur la justice, l’équité et la Paix. 38 années se sont passées depuis ces réflexions prophétiques et la situation dans le monde continue d’être alarmante... Comme à l’habitude, les médias de notre pays, ce qui est sans doute le cas dans les autres pays de mêmes orientations politiques, ne nous ont pas dit un mot de la dernière session de l’Assemblée nationale cubaine qui vient de se réunir à la mi-juillet. C’est plus facile pour eux, de parler d’autoritarisme, de manque de démocratie, d’absence de débats. Pourtant, pendant trois importantes journées de travail, tout d’abord en commissions et ensuite en séance plénière les députés de l’Assemblée Nationale se sont réunis pour procéder à l’examen des principales questions touchant à la vie nationale. La presse, la radio, la télévision, les réseaux sociaux, ont largement rendu compte de l’ensemble de ces travaux et des décisions prises. Très en rapport avec le plan de lutte contre le changement climatique, plan connu sous le nom de « Tarea Vida » (La tâche vie) l’assemblée a adopté la loi sur les « eaux terrestres » en élaboration depuis 2013 qui aura une grande incidence dans la gestion intégrale et durable de l’eau. Le Président Raul Castro est intervenu en clôture de cette importante session. Il a relevé les aspects positifs de la situation : croissance de 1,1 % du PIB, avancées dans les programmes d’investissements prioritaires, maintien des services sociaux gratuits, l’éducation, la santé publique, le déficit budgétaire a été inférieur aux prévisions. Il a aussi mis en garde « contre les superficialités, l’excès d’enthousiasme, le désir d’avancer plus vite que ce dont nous sommes capables ». L’élargissement du travail indépendant et l’expérience des coopératives non agricoles sont considérés comme des formes de propriété qui participent à l’économie nationale. Des décisions ont été prises afin d’éradiquer les phénomènes négatifs détectés et d’assurer le développement ultérieur de ces formes de gestion dans le cadre légal. « Nous n’allons pas revenir en arrière ni nous arrêter, mais nous n’allons pas non plus tolérer des stigmates ou des préjugés envers le secteur non étatique ». « N’oublions pas que le rythme et la profondeur des changements que nous nous devons d’introduire dans notre modèle dépendent de notre capacité à bien faire les choses et corriger opportunément toute déviation. Cela ne sera possible qu’en assurant une préparation préalable adéquate - que nous ne faisons pas – la formation et la maîtrise des dispositions établies à chaque niveau. » Le Président a aussi parlé d’actes délictueux, d’erreurs qui dit-il « sont nos erreurs et au moment de définir les responsabilités d’un point de vus hiérarchiques, ce sont mes erreurs en premier lieu, parce que je fais partie de cette décision. C’est la réalité ». Concernant les questions internationales et les décisions du Président Donald Trump, Raul Castro a notamment déclaré : « Nous réitérons aujourd’hui la condamnation formulée par le Gouvernement révolutionnaire aux mesures visant à durcir le blocus, en réaffirmant que toute stratégie ayant pour but de détruire la Révolution, que ce soit à travers la coercition et les pressions, ou en recourant à des méthodes subtiles, est voué à l’échec. » Dans le même temps il a déclaré : « Cuba et les États-Unis peuvent coopérer et coexister, tout en respectant leurs différences et en œuvrant à la promotion de tout ce qui sera bénéfique pour nos deux pays et nos deux peuples. Mais il ne faut pas s’attendre à ce qu’en échange, Cuba fasse des concessions sur des questions inhérentes à sa souveraineté et à son indépendance. Une politique sage, non agressive, d’un pays souverain, indépendant ami de la France avec qui nous sommes fiers de coopérer. Roger Grévoul |
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