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lettre de patrick le hyaric
Le 22/01/2017
Commentaires textes : Écrire
lettre cuba
Le 19/01/2017
Les nouveautés depuis le 12 janvier 2017
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La lettre électronique Hebdo de Cubacoopération
Cher(e) ami(e)s,
Un événement positif aura marqué les derniers jours de la Présidence de Barak Obama. Il s’agit de la fin des avantages jusqu’ici accordés aux exilés cubains par la législation des États-Unis. Désormais, ils seront soumis au même régime que les autres migrants. Ce nouvel accord migratoire, dont se sont félicitées les autorités à La Havane, a été négocié pendant plus d’une année. Un déclencheur de crise migratoire est ainsi éliminé, a expliqué satisfaite, Josefina Vidal, directrice générale de la section des États-Unis au Ministère cubain des Relations Extérieures. Elle a ajouté que « les États-Unis ont mis en place une migration sure, ordonnée et légale depuis Cuba. Le trafic de personnes est ainsi découragé ». La loi jusqu’ici en vigueur dite « pieds mouillés pieds secs » permettrait aux clandestins cubains d’être accueillis à bras ouverts en Floride, s’ils touchaient le sol américain. Elle a couté la vie a de très nombreux hommes, femmes et enfants qui tentaient l’aventure dans des embarcations de fortune. D’autre part Cuba et les États-Unis ont signé le 16 janvier à La Havane, un accord de coopération en matière de lutte contre le terrorisme, le trafic de drogue, la traite de personnes et la cybercriminalité, des secteurs importants pour leur sécurité nationale. En deux ans, les deux pays ont signé une dizaine d’accords de coopération dans divers domaines comme la santé, la recherche médicale, l’agriculture, l’environnement et l’aviation civile. Raul Castro a reçu le Président de la Chambre de Commerce des États-Unis et le Premier Vice-Président cubain Miguel Diaz-Canel a eu une rencontre avec les leaders religieux des églises protestantes des USA. À l’opposé, on comprend d’autant moins, les décisions que vient de prendre, en vertu du blocus qui s’applique toujours avec autant de rigueur, la Direction du Trésor des États-Unis d’imposer des amendes d’une part à l’organisation non commerciale « Alliance pour une politique responsable envers Cuba et à la Banque canadienne TORONTO DOMIMON. Cette politique de blocus suscite chaque jour de nouvelles réprobations. Plusieurs congressistes républicains et démocrates ont présenté une nouvelle proposition de loi pour sa levée. Le Président de l’association « Engage Cuba », déplore que ce soit le seul pays au monde, où le gouvernement US interdit à ses ressortissants de s’y rendre pour faire du tourisme. 70 organisations d’agriculteurs nord-américains ont demandé à Donald Trump de ne pas revenir sur les progrès des relations entre les deux pays. Quand cette Lettre vous parviendra, le nouveau Président prendra ses fonctions et nous ignorons qu’elles seront ses intentions en la matière. Il reste que nous poursuivrons notre action d’une part pour qu’il soit mis fin à ce blocus, inhumain, illégal, quasi unanimement condamné, et d’autre part pour le développement de relations de coopération entre nos deux pays. Quelques nouvelles brèves :
À la lecture des statistiques de visites des articles publiés sur notre site, nous constatons avec plaisir que celui rédigé par notre ami Michel Porcheron sur l’enlèvement de Fangio, a été plébiscité. Il le méritait. Et cette semaine vous pourrez découvrir avec intérêt celui concernant les enfants de Tchernobyl traduit par Chantal Costerousse. Il sera complété dans les prochains jours par une suite traduite également par Juanita Sanchez. Merci à elles. Bonne lecture, A votre écoute, Bien cordialement, . Roger Grévoul |
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lettre de patrick le hyaric
Le 16/01/2017
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mais ou sont les vrai journamiste
Le 16/01/2017
![]() "Décidément le pluralisme des idées, l’authentique confrontation politique quitte l’esprit des chaines de radio et de télévision. Les pôles publics de France Télévisions et Radio France, que je défends par ailleurs, donnent le mauvais exemple. L’Humanité comme nos confrères de La Croix ou de Politis ou encore du Monde Diplomatique et bien d’autres qui font entendre un autre son de cloche sont quasiment interdit de micro. Certes, on ne trouvera nulle part un décret d’interdiction. Non ! C’est devenu une presque banalité, une normalité.
Voici que France 2 lance en prévision de l’élection présidententielle une nouvelle émission baptisée « Le club de la presse ». La première a eu lieu dimanche dernier, après le journal télévisé. Elle ressemblait, une fois de plus, à la discussion du café du commerce avec des journalistes aussi neutres que M. Duhamel, M. Brunet et deux autres confrères de Challenges et du Journal du Dimanche. Je ne leur reproche pas d’avoir des opinions et de les exprimer. Précisément parce que je suis pour la confrontation d’opinions. Ce que je conteste, ce sont les visages différents pour des opinions quasi similaires ! On y a sondé, avec l’air savant, le cerveau caché des candidats, les tactiques obliques, les phrases devenues petites au fur et à mesure qu’on les découpe, les jugements sentencieux toujours aussi éloignés de la vie de la multitude qui travaille et qui souffre.
Dans leur bouche, chaque électeur devient un sujet au service de tactiques biscornues. On explique par exemple que si on ne choisit pas M. Valls à la primaire, on aura Macron car les élus socialistes ne voteront pas pour un autre candidat de leur parti. Bref, vous avez le choix entre un libéral et un… libéral. Tous sont hantés par la crainte que les candidats socialistes n’assument pas chacun un virage à droite. Tous reprochent même à M. Valls de ne pas tenir la ligne libérale qu’il mettait en œuvre lorsqu’il était premier ministre. Certes, la mue de l’ancien premier ministre pose légitimement question, mais pas en ces termes ! S’il parle aujourd’hui à gauche après avoir dit qu’elle n’existait plus, c’est que le peuple de gauche existe et compte en France. Au-delà, une immense majorité de citoyens n’a supporté ni le 49.3, ni le projet de déchéance de nationalité, ni la loi de précarisation du travail, ni les cadeaux permanents aux grandes entreprises sans contreparties pour l’emploi, tandis que continuaient à progresser le chômage, la précarité, la pauvreté, l’affaiblissement des services publics et l’alignement permanent sur la doxa bruxelloise. Voici un élément de débat qu’il serait intéressant de décrypter. Ces porte-voix ne le souhaitent pas, trop occupés à démontrer que l’avenir passe par la mise en œuvre de toutes ces solutions du passé vers encore plus de libéralisme, alors qu’elles ont toutes échoué partout. Peu leur importe si les conséquences des choix qu’ils défendent enferment beaucoup trop d’électeurs en colère vers le vote d’extrême-droite."
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YOYO MAURIVARD EN 2012
Le 14/01/2017
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yoyo MAURIVARD |
A BIENTOT J'ESPERE
UN CHANGEMENT EN 2017
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