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au lendemain des regionales 2015

Le 07/12/2015

COMBATTRE  LES  LEPEN   UNE  PRIORITE~


~Déclaration de Pierre Laurent, Secrétaire national du Parti communiste français.
Les premières estimations connues à cette heure des résultats du premier tour des élections régionales confirment le grave état d'alerte social et démocratique du pays.

Dans notre pays, la France, où des millions et des millions de personnes souffrent durement du chômage, de la précarité, du pouvoir de la finance sur nos vies et sur notre travail, où l'angoisse du lendemain ronge la vie de tant de nos concitoyens, où les attentats du 13 novembre ont ajouté la peur à toute cette insécurité sociale, la menace est réelle de voir la droite et l'extrême-droite diriger dimanche prochain la très grande majorité, et peut-être la totalité, des 13 nouvelles régions. Ce serait une catastrophe que la très grande majorité de notre peuple paierait cher.

C'est une situation d'extrême danger pour notre pays car le Front national renforce, après les élections européennes, sa place de premier parti politique. Le racisme déclaré de son programme libéral-populiste constitue une mise en cause explicite des valeurs d'égalité, de liberté et de fraternité de notre République.

Dans ce contexte, plus de 50 % des électrices et des électeurs ont une nouvelle fois choisi de s'abstenir, marquant leur défiance massive et désormais structurelle à l'égard du fonctionnement de plus en plus défaillant de notre démocratie. La colère contre tous les manquements à la parole donnée, aux engagements pris aussitôt abandonnés dans les actes, continue de grandir.

Les résultats portent évidemment la marque de la situation exceptionnelle dans laquelle se sont déroulés ces élections. Les enjeux des élections régionales ont été sciemment marginalisés. Depuis les attentats du 13 novembre, la peur qu'ils ont suscitée et l'inquiétude provoquée par l'état d'urgence ont été largement instrumentalisés et ont compliqué encore le scrutin.

Pourquoi en sommes nous là ? Parce que depuis des années les attaques des pouvoirs de l'argent contre le monde du travail, les déréglementations de la mondialisations capitaliste, les politiques ultralibérales européennes ont démantelé les solidarités. Parce que la pensée unique dominante a matraqué toutes les tentatives d'ouvrir un nouveau chemin de transformation sociale.

 

La responsabilité des gouvernements successifs qui ont maintenu depuis dix ans, contre l'avis d'une majorité du pays, le cap de politiques d'austérité de plus en plus dures, appliquées avec des méthodes de plus en plus autoritaires, est immense. L'impasse politique, économique, sociale dans laquelle ils se sont acharnés à enfoncer le pays a nourri un rejet que plus rien ne peut arrêter.

La montée du Front national s'est d'autant plus nourri de ce rejet que la droite des Républicains et de l'UDI et les dirigeants socialistes se sont dépensé sans compter pour installer le Front national et et, en faire leur principal « concurrent », un repoussoir pour sauvegarder leur hégémonie. Ils ont eux même banalisé ses idées, espérant ainsi étouffer tout espoir de transformation sociale et favoriser leurs projets de recomposition politique. Le résultat est le désastre politique auquel nous assistons. Jamais les communistes ne s'y résigneront. Et nombreux avec eux sont les démocrates, les électeurs de toutes les familles de gauche à ne pas accepter ce scénario mortifère. Leur rassemblement dans l'action sera plus que jamais nécessaire.

Les listes sur lesquelles les communistes étaient engagés avec le Front de gauche et des forces citoyennes et écologistes ont travaillé à ouvrir un autre chemin, contre l'austérité, pour la solidarité et le progrès humain partagé. Ce soir, le score obtenu par les listes est un point d'appui pour les batailles à venir et pour battre la droite et le Front national au second tour. Ces scores sont certes encore très insuffisants. Nos ambitions demeurent pour l'avenir. Mais ce soir, sans le respect de ces listes et de leurs électeurs, rien n'est possible à gauche.

Ce soir, une chose est certaine. Le grand défi de la nouvelle période politique qui s'ouvre sera celui de la construction d'un nouveau projet de gauche solidaire et fraternel pour notre pays et pour notre République. Ce projet doit être un projet de solidarité, de prospérité partagée et de paix et non un projet de guerre, de concurrence et d'égoïsmes réciproques. Dans les semaines et les mois à venir, les communistes prendront à gauche, avec toutes les forces citoyennes, sociales et politiques disponibles, toutes les initiatives nécessaires à la construction politique de ce nouveau pacte d'avenir pour la France, pour la conduite duquel les dirigeants actuels du pays sont totalement défaillants.

Pour le second tour, le PCF veut faire respecter la volonté des électeurs qui ont accordé leur confiance aux listes citoyennes et du Front de gauche au premier tour. Pour que ces électeurs soient représentés par des élus auxquels ils font confiance, pour que les régions aux compétences élargies et utiles au quotidien, comptent des élus à gauche déterminés à poursuivre les combats contre l'austérité et par la promotion de politiques publiques de solidarité, pour battre la droite et écarter le danger extrême du Front national, le PCF appelle à construire des listes de second tour qui rassemblent les différentes listes de gauche du premier tour. Dans ces listes, personne ne se rallie à personne. L'addition de ces listes est la seule manière d'empêcher la victoire totale de la droite et de l'extrême droite. Dans les assemblées régionales, les élus communistes agiront librement sur la base de leurs engagements devant les électeurs au premier tour pour faire avancer tout ce qui aidera notre peuple à mieux vivre.

La France ne pourra en rester là… Notre peuple est en demande de changement, de rassemblement et de sens pour se sortir de l'impasse actuelle. Il est urgent de mettre l'humain au cœur de toutes les questions sociales et non la finance.

 


dimanche 6 décembre – 20 heures.

 

au lendemain des regionales 2015

Le 07/12/2015

Mon filjournée du 27 11 2015 

COMBATTRE  LES  LEPEN   UNE  PRIORITE~


~Déclaration de Pierre Laurent, Secrétaire national du Parti communiste français.
Les premières estimations connues à cette heure des résultats du premier tour des élections régionales confirment le grave état d'alerte social et démocratique du pays.

Dans notre pays, la France, où des millions et des millions de personnes souffrent durement du chômage, de la précarité, du pouvoir de la finance sur nos vies et sur notre travail, où l'angoisse du lendemain ronge la vie de tant de nos concitoyens, où les attentats du 13 novembre ont ajouté la peur à toute cette insécurité sociale, la menace est réelle de voir la droite et l'extrême-droite diriger dimanche prochain la très grande majorité, et peut-être la totalité, des 13 nouvelles régions. Ce serait une catastrophe que la très grande majorité de notre peuple paierait cher.

C'est une situation d'extrême danger pour notre pays car le Front national renforce, après les élections européennes, sa place de premier parti politique. Le racisme déclaré de son programme libéral-populiste constitue une mise en cause explicite des valeurs d'égalité, de liberté et de fraternité de notre République.

Dans ce contexte, plus de 50 % des électrices et des électeurs ont une nouvelle fois choisi de s'abstenir, marquant leur défiance massive et désormais structurelle à l'égard du fonctionnement de plus en plus défaillant de notre démocratie. La colère contre tous les manquements à la parole donnée, aux engagements pris aussitôt abandonnés dans les actes, continue de grandir.

Les résultats portent évidemment la marque de la situation exceptionnelle dans laquelle se sont déroulés ces élections. Les enjeux des élections régionales ont été sciemment marginalisés. Depuis les attentats du 13 novembre, la peur qu'ils ont suscitée et l'inquiétude provoquée par l'état d'urgence ont été largement instrumentalisés et ont compliqué encore le scrutin.

Pourquoi en sommes nous là ? Parce que depuis des années les attaques des pouvoirs de l'argent contre le monde du travail, les déréglementations de la mondialisations capitaliste, les politiques ultralibérales européennes ont démantelé les solidarités. Parce que la pensée unique dominante a matraqué toutes les tentatives d'ouvrir un nouveau chemin de transformation sociale.

 

La responsabilité des gouvernements successifs qui ont maintenu depuis dix ans, contre l'avis d'une majorité du pays, le cap de politiques d'austérité de plus en plus dures, appliquées avec des méthodes de plus en plus autoritaires, est immense. L'impasse politique, économique, sociale dans laquelle ils se sont acharnés à enfoncer le pays a nourri un rejet que plus rien ne peut arrêter.

La montée du Front national s'est d'autant plus nourri de ce rejet que la droite des Républicains et de l'UDI et les dirigeants socialistes se sont dépensé sans compter pour installer le Front national et et, en faire leur principal « concurrent », un repoussoir pour sauvegarder leur hégémonie. Ils ont eux même banalisé ses idées, espérant ainsi étouffer tout espoir de transformation sociale et favoriser leurs projets de recomposition politique. Le résultat est le désastre politique auquel nous assistons. Jamais les communistes ne s'y résigneront. Et nombreux avec eux sont les démocrates, les électeurs de toutes les familles de gauche à ne pas accepter ce scénario mortifère. Leur rassemblement dans l'action sera plus que jamais nécessaire.

Les listes sur lesquelles les communistes étaient engagés avec le Front de gauche et des forces citoyennes et écologistes ont travaillé à ouvrir un autre chemin, contre l'austérité, pour la solidarité et le progrès humain partagé. Ce soir, le score obtenu par les listes est un point d'appui pour les batailles à venir et pour battre la droite et le Front national au second tour. Ces scores sont certes encore très insuffisants. Nos ambitions demeurent pour l'avenir. Mais ce soir, sans le respect de ces listes et de leurs électeurs, rien n'est possible à gauche.

Ce soir, une chose est certaine. Le grand défi de la nouvelle période politique qui s'ouvre sera celui de la construction d'un nouveau projet de gauche solidaire et fraternel pour notre pays et pour notre République. Ce projet doit être un projet de solidarité, de prospérité partagée et de paix et non un projet de guerre, de concurrence et d'égoïsmes réciproques. Dans les semaines et les mois à venir, les communistes prendront à gauche, avec toutes les forces citoyennes, sociales et politiques disponibles, toutes les initiatives nécessaires à la construction politique de ce nouveau pacte d'avenir pour la France, pour la conduite duquel les dirigeants actuels du pays sont totalement défaillants.

Pour le second tour, le PCF veut faire respecter la volonté des électeurs qui ont accordé leur confiance aux listes citoyennes et du Front de gauche au premier tour. Pour que ces électeurs soient représentés par des élus auxquels ils font confiance, pour que les régions aux compétences élargies et utiles au quotidien, comptent des élus à gauche déterminés à poursuivre les combats contre l'austérité et par la promotion de politiques publiques de solidarité, pour battre la droite et écarter le danger extrême du Front national, le PCF appelle à construire des listes de second tour qui rassemblent les différentes listes de gauche du premier tour. Dans ces listes, personne ne se rallie à personne. L'addition de ces listes est la seule manière d'empêcher la victoire totale de la droite et de l'extrême droite. Dans les assemblées régionales, les élus communistes agiront librement sur la base de leurs engagements devant les électeurs au premier tour pour faire avancer tout ce qui aidera notre peuple à mieux vivre.

La France ne pourra en rester là… Notre peuple est en demande de changement, de rassemblement et de sens pour se sortir de l'impasse actuelle. Il est urgent de mettre l'humain au cœur de toutes les questions sociales et non la finance.

 


dimanche 6 décembre – 20 heures.

 

congres de versaille "chasseigne"

Le 18/11/2015

~~https://www.youtube.com/watch?v=2_lbWdNhTho&feature=player_embeddedI

 

elle nous manque

Le 16/11/2015

en 1947 ELLE  DIFFUSE  L4HUMA

en 1947
en 1947 

~~
Mathilde FILLOZ nous a quittés

 

C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris la disparition de la doyenne de notre association et de l’ANACR du Vaucluse, notre camarade et amie  Mathilde Filloz, décédée le 30 mai dernier dans sa 102ème année. Nous avions dans nos colonnes souvent publié ses poèmes. Elle s’adonnait à sa passion, l’écriture. De très nombreux prix ont couronné ses œuvres. Après le décès de son mari, notre camarade Joseph Filloz, elle termine en 2002 son livre « Quelle horreur la guerre » sur la Résistance de 1940 à 1945.

 
 
 Mathilde Hérat est née à Scey-sur-Saône (Haute-Saône) le 1er juillet 1912. Son père André est porté disparu lors de la Première Guerre mondiale le 6 août 1914. Pupille de la Nation,  Mathilde nous fait partager ses souvenirs dans des entretiens réalisés par une association culturelle de Franche-Comté en 2011 : « J’ai grandi dans une famille très modeste, dans une ambiance triste où des années après la guerre, comme dans toutes les familles de disparus, on attendait encore le retour de l’absent ». Sa mère Antonia Hérat, veuve, a élevé ses deux enfants avec un courage et une abnégation admirables. « Elle faisait de la confection pour nous vêtir et nous nourrir dignement. Premiers orphelins du village, nous avons été adoptés par les habitants. Ceux qui m’ont le plus aidée sont deux enseignants : Madame et Monsieur Charrière, instituteurs de l’école primaire publique. Ils m’ont enseigné les valeurs de la République, l’histoire de mon pays, la morale, la musique, le théâtre, la culture française ».
 
 
 
 
Après son brevet élémentaire et le certificat supérieur, elle se présente au  concours à l’Ecole normale, voulant être institutrice. Sa mère tombe malade et Mathilde entre dans la vie active. « Je suis devenue auxiliaire des PTT, titularisée en 1930 à Montbozon et en 1932, mutée à  Vesoul où j’ai rencontré mon futur mari. J’ai alors demandé l’autorisation de me marier avec Joseph Filloz qui sortait de l’Ecole normale des arts et métiers de Châlons-sur-Marne (en 1933). Oui, à l’époque, les femmes des administrations publiques devaient demander l’autorisation de mariage à leur hiérarchie […] Pas les hommes ! ».

Mathilde adhère à la CGT Unitaire et au PCF en 1932. Lorsqu’arrive la Seconde Guerre mondiale, en 1939, Joseph est muté à Besançon et  Mathilde à Clerval, ville où ils établissent leur résidence familiale. Tous deux vont entrer dans la Résistance.

Mathilde, par ses fonctions de receveuse des postes, est une alliée précieuse pour Joseph qui effectue des actions importantes dans la lutte armée et les sabotages. Elle écoute les communications téléphoniques allemandes et en fait part à des groupes de résistants, elle collecte des fonds pour venir en aide à ceux qui sont sans ressources. À l’intérieur du bureau de Clerval, elle a la possibilité de saboter discrètement les installations au risque de se faire prendre en défaut. Cela  permet de retarder souvent le départ de la chasse antiaérienne allemande lors des bombardements alliés. Mathilde raconte aussi qu’avec son brassard PTT qui lui attribuait la fonction de « porteur de télégrammes » elle a franchi les barrages allemands et alerté les maquisards d’un danger. Avec Joseph, elle rejoint en 1941 le Front National de lutte pour la Libération et l’Indépendance de la France.

Elle milite au Parti communiste de 1947 à 1952 (elle est conseillère municipale de Besançon) et à l’Union des Femmes Françaises. Elle est également secrétaire de syndicat du Doubs des agents de la Fédération postale CGT. Ses engagements lui valent de nombreuses sanctions et des mutations d’office qui furent amnistiées en 1981. Mathilde termine sa carrière de postière comme contrôleur principal à Orange. Jusqu’à son dernier souffle, elle mène des combats pour la défense des idéaux et des valeurs de la Résistance. Dans notre Bulletin du 2ème trimestre 2012, elle signe un éditorial (un cri que de nombreux comités départementaux ANACR reprirent) sous le titre « Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur Bollène » lorsque la municipalité d’extrême-droite de cette ville interdit le « Chant des Partisans » lors de la commémoration de l’anniversaire de l’Appel du 18 juin. En 2013, Mathilde nous adresse par Internet (oui elle maîtrisait parfaitement l’ordinateur) un article sur le 27 mai 1943 et la création du CNR que nous publions.

Je connais Mathilde depuis près de quinze ans grâce à ses lettres d’adhérente à « Libération Nationale PTT ». Ma première rencontre remonte à 2009 chez elle à Orange. Ce sont des souvenirs inoubliables, d’abord des discussions sur la littérature, la poésie, les arts et bien sûr la situation politique de notre pays. De nombreux prix de poésie ornaient sa salle de séjour. Un piano trônait dans un coin de la pièce et Mathilde se mit à jouer, quel plaisir.

Elle fit partie de l’équipe qui créa en 1971 dans sa forme contemporaine, les « Chorégies d’Orange », festival d’Opéra et de musique classique. Le 15 juillet 2012, nous lui avons fêté son anniversaire, elle venait d’avoir 100 ans, au nom de « Libération Nationale PTT –ANACR ».

Mathilde est partie, elle nous manque déjà.                                                                     Charles SANCET

 

DECLARATION DU PCF 13 NOVEMBRE 2015

Le 15/11/2015

on recherche prevenez la  police soyez  tres  prudent
on recherche prevenez la police soyez tres prudent 

~~Déclaration de Pierre Laurent, secrétaire national du
 Parti communiste français 

 

Face aux attentats, rassemblons-nous pour la liberté, l'égalité, la fraternité, et la paix

Notre pays vient de vivre l'un des pires événements de son histoire. Les attaques terroristes simultanées de la nuit dernière à Paris et à Saint-Denis, revendiquées par Daesh, faisant à cette heure 127 morts et 200 blessés, sont effroyables. La France est en deuil.

Au lendemain de ce carnage, nos premières pensées se tournent vers les victimes, leurs familles, leurs proches, les témoins et tous ceux dont la vie a été menacée. Pour tous, la douleur est immense. Chacun en France s'en sent profondément meurtri.

Nous saluons l'action des forces de l'ordre, des secours, des urgentistes et personnels de santé et des agents territoriaux dont la mobilisation a été exemplaire ainsi que la solidarité des habitants qui s'est immédiatement manifestée.

Moins d'un an après les attentats de janvier dernier, la République est frappée en son cœur.

Alors que l’État d'urgence vient d'être décrété par le gouvernement, le renforcement des moyens de police et de justice est un impératif. L’État doit trouver durablement les moyens adaptés pour garantir la sécurité de toutes et de tous.

J'appelle notre peuple à ne pas céder à la peur, à se rassembler pour la liberté, l'égalité et la fraternité, et pour la paix. Nous devons refuser les amalgames et les stigmatisations. Ensemble, nous devons rejeter fermement la haine et les racismes.

La France est touchée par la guerre et la déstabilisation qui minent le Proche et le Moyen-Orient. La lutte contre le terrorisme appelle une mobilisation redoublée et des solutions internationales.

Elle ne pourra triompher que dans la mobilisation pour un projet de société solidaire qui place au cœur de tous ses choix l'émancipation humaine, les valeurs de la République et la paix.

Le PCF, ses représentants et ses élus, seront de toutes les initiatives qui, dans les prochains jours, permettront à nos concitoyens de se rassembler pour faire face à cette épreuve et ouvrir un chemin d'espoir pour notre peuple.

Dans ce moment tragique, le PCF a interrompu toute activité de campagne électorale.

Paris, le 14 novembre 2015

Pierre Laurent,

Secrétaire national du Parti Communiste français

 

 

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