plaque disparues a baume les dames place des fusillés

un souvenir  personnel  , nous  avions que 12  a 14  ans  nous  avons  visité et  derobé  des  armes et  obus   dans  les  forts  de  besançon fort  des  justices  et fort  des  monts boucon
que  nous  avions  deposés  dans  une  grotte  d'une  propriété proche qui   été   recuperé  par   un de  nos  ainé de  16 a  17  ans  souvient  toi , michel jean  janine joel comme  nous  etions  heureux  de  participer
avec  notre  chevre  qui  nous  suivait  par  le  passage  des  grottes  au fort  des  justice   

Mais visiblement  inefficace
> > > La Cour des Comptes avait déjà signalé ces manques de versements et les détournements entre ministères...........
> > > Faites circuler ce message, que la France entière le sache on nous prend pour des gogos ! Pour une fois qu'un haut dirigeant nous dit la vérité.
> > > Evelyne DUBIN est passée sur France Bleue mais pas sur une chaîne de télé nationale, pourquoi ?
> > > La sécu n'est pas en déficit mais en excédent....
> > > 50 secondes pour comprendre pourquoi.
> > > Depuis le temps qu'on bouche le trou de la sécu .....
> > > Il faut à Evelyne DUBIN, la signataire de ce document une bonne dose de courage pour avoir écrit ce texte en se nommant (voir la fin du texte).
> > > A TRANSFERER AUTANT DE FOIS QUE VOUS POUVEZ !
> > > L'ASSURANCE MALADIe
> > > 50 secondes de lecture à couper le souffle
> > > Savez-vous que :
> > > 1) Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu, n'est pas reversée: 7,8 milliards.
> > > 2) Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu, n'est pas reversée: 3,5 milliards.
> > > 3) Une partie des primes d'assurances automobiles, destinées à la Sécu, n'est pas reversée 1,6 milliard.
> > > 4) La taxe sur les industries polluantes, destinée à la Sécu, n'est pas reversée: 1,2 milliard.
> > > 5) La part de TVA, destinée à la Sécu, n'est pas reversée :2 milliards.
> > > 6) Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés : 2,1 milliards.
> > > 7) Retard de paiement par les entreprises : 1,9 milliard.
> > > En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de : 20,1 milliards d'Euros.
> > > Conclusion :
> > > Si les responsables de la Sécu et nos gouvernants faisaient leur boulot efficacement et honnêtement,
> > > si chacune des institutions reversait ce qu'elle doit chaque année, les prétendus 11 milliards de trou seraient aujourd'hui 9 milliards d'excédent !!!!
> > > Ces chiffres ne sont pas inventés
> > > vous pouvez les consulter sur le site de la Sécu ;
> > > ils sont issus du rapport des comptes de la Sécu.
> > > Si les pouvoirs publics, qui nous harcèlent au quotidien de messages publicitaires afin de consommer des fruits et légumes, étaient vraiment convaincus qu'il nous faut consommer 5 fruits et légumes par jour pour sauver notre santé et donc l'assurance maladie, ils supprimeraient la TVA sur ces produits

> > > VOUS AUSSI, SOYEZ RESPONSABLES !
> > > TRANSFEREZ CE MESSAGE

 A TOUS VOS CONTACTS !

A force de tourner, il s'affichera peut-être un jour sur l'écran d'ordinateur d'une tête pensante, d'un député, d'un ministre sensé passer son temps à gérer l'argent des contribuables et à le dépenser de manière responsable, sans créer de déficit.

 Alors, avec courage, il pourra (pourquoi pas ne pas rêver...) dénoncer au parlement ces débordements connus, aujourd'hui, de toutes et tous !!
 

~~Nathalie Vermorel et quelques-uns de ses chefs de file départementaux dont Jean-Christophe Jacottot (Doubs) et Alain Letailleur (Belfort) . Photo J.-P. Tx

 

Régionales - L’accord a été conclu entre le PCF, le MRC, Ensemble… et la moitié bourguignonne du Parti de Gauche La gauche a son « Alternative »

Nathalie Vermorel et quelques-uns de ses chefs de file départementaux dont Jean-Christophe Jacottot (Doubs) et Alain Letailleur (Belfort) . Photo J.-P. Tx

> Dijon. Il faut comprendre Nathalie Vermorel. Spontanément, elle l’a dit : la constitution de la liste « L’alternative à gauche » qu’elle conduit a été un « accouchement dans la douleur ». Alors, plutôt que de se le remémorer et de raconter forceps ou césarienne, la présidente du groupe PCF sortant à la Région Bourgogne préfère s’extasier devant la beauté du bébé et décrire l’avenir, forcément radieux, auquel l’enfant est promis. Problème, d’autres membres du cercle de famille ont envie, eux, de raconter les circonstances sportives de la naissance. S’ensuit hier à Dijon une présentation étrange, où la tête de liste se bute ou se mure dans le silence face à des questions qui l’agacent alors que ses alliés distillent volontiers les confidences.

> Le point d’achoppement entre le Parti communiste et ses partenaires, est connu, c’est la stratégie du second tour. Avoir un accord avec Marie-Guite Dufay, qui le souhaite pour sa part, ou s’ancrer dans la radicalité et refuser tout rapprochement ultérieur avec un PS vu comme un « social traître », quitte à favoriser l’adversaire UDI-LR François Sauvadet ? Officiellement, le sujet ne sera abordé qu’au soir du premier tour. En réalité, un coup d’œil sur la liste suffit pour se forger un avis : aucune tête de section départementale pour le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon et absence de ses représentants francs-comtois, incarnations pour la plupart de la « ligne dure ». Ce qui ne signifie pas que le PG soit absent, bien loin de là, mais il est bourguignon et accepte d’être plus conciliant pour « battre la droite ».

Citoyens non-encartés

> À la réunion de Dijon, c’est le cosecrétaire du PG 21, Bruno Diano, qui s’exprime donc en son nom. Certes, la « main tendue » de Nathalie Vermorel n’a pas été saisie par tous les siens. Il en prend acte, mais juge malgré tout que l’accord conclu avec les autres forces de gauche rassemblées est « bon ». Car plusieurs candidats représenteront son parti et la ligne programmatique décidée en commun, avec des citoyens engagés mais non-encartés, des militants syndicaux et divers responsables associatifs, lui sied. Après, en politique comme ailleurs, tout est affaire de « tempéraments individuels », comprend-on à demi-mot.

> Outre la chef de file du PCF qui s’alignera en Saône-et-Loire, seule femme investie aux côtés… de sept hommes, Jean-Christophe Jacottot, syndicaliste bisontin, mènera la bataille dans le Doubs. Patrick Viverge, qu’on a connu candidat à des élections à Dole sous diverses étiquettes de gauche au fil du temps, la dernière en date étant paraît-il Nouvelle Donne, sera au premier rang dans le Jura.

> En Haute-Saône, un département où Nathalie Vermorel s’est rendue voici peu mais dont elle refuse de commenter l’actualité d’un Parti communiste plus ou moins scindé en deux clans, c’est Gilles Lazar, conseiller municipal d’Héricourt, qui tirera la liste. Enfin, dans le Territoire de Belfort, ce rôle reviendra à Alain Letailleur, élu régional MRC sortant de Franche-Comté. Cela n’a rien d’étonnant. En 2004 déjà, après le choix contesté de Raymond Forni de privilégier l’axe PS-Verts, le PCF entraîné par Évelyne Ternant avait fait alliance avec Jean-Pierre Chevènement et son Mouvement républicain et citoyen. Durant le mandat qui s’achève, opposé à la réforme territoriale du gouvernement et à la baisse annoncée des dotations de l’État, Alain Letailleur avait démissionné de son poste de vice-président dans l’exécutif de Marie-Guite Dufay afin d’être « cohérent » avec ses convictions. « L’autonomie » électorale avec le PCF, le PG, Ensemble et « tout ce qui bouge » à gauche, dixit Nathalie Vermorel, la volonté « anti-austérité » de la liste et sa « défense des services publics » lui convenaient donc.

Les huit têtes de listes sont Nathalie Vermorel (Saône-et-Loire) ; Jérôme Petident (Côte-d’Or) ; François Meyroune (Yonne) ; Jimmy Derouault (Nièvre) ; Alain Letailleur (Territoire de Belfort) ; Jean-Christophe Jacottot (Doubs) ; Patrick Viverge (Jura) ; Gilles Lazar (Haute-Saône).

Jean-Pierre TENOUX

~~george seguy toujours jeune
 intevié george séguy
 Comment le Toulousain que vous êtes s’est-il retrouvé dans une maison de retraite en Eure-et-Loir ? Je séjourne ici parce qu’il s’agit d’un des établissements gérés par la SNCF, et que je suis un ancien cheminot. J’avais beaucoup entendu parler des Gloriettes mais je ne l’avais jamais visité. Il fallait que je répare cette insuffisance ! J’y suis très bien. J’y retrouve mes années de jeunesse.
« J’ai été déporté avec seize autres camarades. Il n’en est revenu qu’un : moi… »
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Comment le Toulousain que vous êtes s’est-il retrouvé dans une maison de retraite en Eure-et-Loir ? Je séjourne ici parce qu’il s’agit d’un des établissements gérés par la SNCF, et que je suis un ancien cheminot. J’avais beaucoup entendu parler des Gloriettes mais je ne l’avais jamais visité. Il fallait que je répare cette insuffisance ! J’y suis très bien. J’y retrouve mes années de jeunesse.
« J’ai été déporté avec seize autres camarades. Il n’en est revenu qu’un : moi… »
Votre jeunesse a pourtant été difficile. Vous avez été résistant, puis déporté pendant plus d’un an. Quels souvenirs conservez-vous de cette expérience ? J’ai été arrêté par la gestapo à Toulouse, en 1944, puis déporté à Mathausen (Autriche), avec seize autres camarades, où j’ai subi la brutalité des SS. Il n’en est revenu qu’un : moi… Je ne dirais que les autres ont disparu. Ils ont été assassinés, la moitié sous mes yeux. Ils étaient traités de telle façon qu’ils ne pouvaient survivre.
 Cette expérience a dû vous transformer. Je l’ai payé sur le plan physique. J’ai pardonné aux Allemands mais pas aux nazis, c’est impossible. Même si, paradoxalement, je leur suis redevable de ce que je suis devenu. Le nazisme a fait de moi l’homme que j’ai essayé d’être toute ma vie : un combattant de la liberté. Pas pour régler mes comptes, mais pour servir cette cause, y compris à travers mes activités syndicales.
 Quel était votre rôle dans la Résistance ? Je travaillais dans une imprimerie clandestine, au service de la Résistance. Nous étions dix-sept : tous les camarades arrêtés et déportés à Mathausen. À la sortie du camp, en 1945, on a prêté serment, avec tous les détenus qui avaient survécu, de poursuivre la lutte pour la liberté. Je suis resté fidèle à cette promesse et à cette cause que j’ai failli payer de ma vie.
 Vous avez été promu très jeune à des postes importants à la CGT. Imaginez le jeune de 18 ans que j’étais, qui survit à la déportation. À mon retour, tout le monde s’est précipité sur moi pour me témoigner sa confiance, puis me confier des responsabilités syndicales. C’est dans le syndicalisme que j’ai le mieux exprimé mon attachement à la liberté. J’ai commencé à Toulouse, puis je suis monté à Paris, où j’étais le plus jeune permanent de la CGT. Mais je n’ai jamais rien sollicité. Je ne regrette rien. J’en suis même plutôt fier. Quand je vois la société d’aujourd’hui, je suis souvent déçu.~


~Pourquoi ? Je trouve que les gens sont devenus trop individualistes. Aujourd’hui, mieux vaut être personnel que collectif. Ce n’est pas mon idée. Tant que je serai lucide, je resterai fixé sur la conception qui m’est chère : l’action collective.
 Vous avez toujours votre carte de la CGT. Oui, mais maintenant, je suis syndiqué en tant que retraité?!
 Comment expliquez-vous l’érosion du syndicalisme ? L’individualisme s’est emparé de trop de consciences. Ça nuit à la collectivité, y compris à ceux qui se sont emparés de cet esprit individualiste. Mais je ne suis pas pessimiste au point de croire que l’on est foutu. Le moment arrivera où la conscience de la collectivité reviendra. J’essaie d’œuvrer en ce sens. Voilà pourquoi je suis fier d’être ce que je suis. Quand je peux apporter ma contribution à ceux qui sont soumis à cet égoïsme, je constate que je n’ai pas tellement vieilli?!
 L’affaire Lepaon (*) n’a-t-elle pas jeté le discrédit sur l’action syndicale ? Quand j’entends les revenus des grands financiers, qui font la loi au plan international, je me dis que ce sont eux qui nuisent à la société.
 Le monde égoïste dont vous parlez est aussi anxiogène : crise, chômage, communautarisme… Tout cela vient de cet égoïsme qui tourne le dos à la liberté.
 C’était mieux, avant ? Les trente glorieuses ont joué un grand rôle, surtout dans la façon dont les classes ouvrières ont apporté leur contribution, après la guerre, à la mise en place du programme du Conseil national de la Résistance. Depuis 1958, c’est le déclin. Je regrette qu’on ait perdu la volonté de construction du pays qu’il y avait au lendemain de la Libération. Mais il n’est pas trop tard. On y reviendra, grâce aux générations futures. J’espère avant mes 150 ans?!

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