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MANIF A LURE CONTRE LA FERMETURE DE LA PRISON

Le 21/11/2014

~
Aux adhérents et sympathisants des Amis de l’Emancipation Sociale
 
Appel à manifestation
Devant la sous-préfecture à Lure, le 22 novembre 2014 à 14h
Pour le maintien de la prison à Lure et contre la casse des services publics
 
Nous relayons l’appel lancé par le Collectif de défense de la maison d’arrêt et le comité de vigilance pour le maintien des services publics. Extraits de la proposition de motion : « La Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, a annoncé il y a quelques semaines la fermeture de la Maison d’Arrêt de Lure. Au cours des dernières années (2012-2013), des investissements importants ont été engagés pour sécuriser et moderniser ce site qui répond désormais aux normes européennes en vigueur. A ce stade, les arguments techniques avancés sur la nature géologique d’un sous-sol jugé trop instable ne sont pas essentiels. Cela conduirait à conclure qu’aucun aménagement (nouvelle construction ou rénovation) n’est possible dans ce secteur du centre-ville de Lure au cours des décennies à venir. Cela fait 20 ans que la ville de Lure et son bassin de vie subissent la disparition de trop nombreux services publics (maternité, service de cardiologie, urgences de nuit, commissariat, 1er régiment de Dragons, tribunal d’instance, services au public de la Sous-Préfecture, services ferroviaires). Par ailleurs, des menaces récurrentes pèsent sur d’autres services publics de l’Etat (disparition totale de la Sous-Préfecture, ligne 4 SNCF, etc.) »
 
Le Conseil d’administration des AES réuni le mercredi 19 novembre tient à faire savoir les raisons de sa solidarité avec les organisations précitées :
1 – la fermeture de la prison de Lure, déjà programmée en 2002, est le symbole de la politique d’austérité dans laquelle nous sommes emprisonnés : cadeaux de 47 milliards au patronat contre 50 milliards de réduction des dépenses publiques qui accélèrent la casse des services publics ; endettement du budget de l’Etat après le renflouement des banques, suite à la crise de 2007-2008 (plus de 2 000 milliards d’euros), pressions à la baisse du salaire réel (chômage, retraites, concurrence entre salariés) et poursuite des délocalisations et externalisations qui provoquent la désindustrialisation du pays et renforcent la précarisation des salariés (casse du code du travail)
2 – la fermeture de la prison à Lure, de petite taille, de « proximité », alors même qu’elle avait été rénovée récemment, est le symbole de l’indignité dans laquelle se trouvent ceux qui subissent des peines d’incarcération : 36% des prisons connaissent un taux de remplissage de 150%, 1 046 détenus dorment sur un matelas par terre. On comptait 37 000 détenus en 1980, ils étaient 68 839 en avril 2014. La loi du 5 juin 1875 qui prône l’encellulement individuel (11 m2) est bafouée. Les détenus vulnérables (malades, handicapés, petites peines) cohabitent avec les grands délinquants. Depuis la loi Guigou de 2000, les moratoires se succèdent pour laisser pourrir cette situation indigne.
3- La prison est le symbole de cette République inégalitaire et de souffrance sociale : 35% des détenus sont des chômeurs, 13% sont illettrés, 12% des indigents, 54% sont des petits délinquants souvent très jeunes, 33% sont des salariés et des apprentis. Les grands délinquants, les caciques du grand banditisme, les voleurs en costumes 3 pièces, ceux qui volent l’Etat, sont une infime minorité dans les prisons.
Les alternatives à l’emprisonnement, sous forme de peines en milieu ouvert permettant la réinsertion des petits délinquants, sont insuffisantes. En effet, les services pénitentiaires de probation et d’insertion manquent cruellement de moyens d’encadrement…
 
Défendre à Lure, cette prison de proximité,
c’est aussi condamner cette politique pénale répressive et indigne.
C’est protester contre les politiques d’austérité qu’imposent, dans la continuité des directives de Bruxelles, les gouvernements successifs de Sarko à Hollande-Valls.

 

NON AU RACKETTE DES AUTOROUTE

Le 20/11/2014

STOP AU  RACKET  DES  AUTOROUTES


 usagers des autoroutes ne sont pas là pour satisfaire aux appétits financiers du
CAC 40 ! En 2005, les concessions d'autoroutes ont été totalement privatisées par
un gouvernement de droite pour financer, déjà, le remboursement de la dette
publique. Ce sont les groupes Eiffage, Vinci et consorts, qui ont racheté ces
concessions.
Depuis, les péages n'ont eu de cesse d'augmenter. Sur 100 euros de péages versés,
ce sont entre 20 et 24 euros qui vont directement dans les poches des actionnaires.
Et le gouvernement voudrait encore que les concessions soient prolongées !
La cour des comptes et l'autorité de la concurrence n'ont de cesse
de déplorer ce choix. Les parlementaires communistes et du front
de gauche également, et depuis de nombreuses années. Ils ont
déposé à l'Assemblée nationale et au Sénat une proposition de loi
demandant la renationalisation des concessions d'autoroutes.
Le gouvernement est pour l'instant défavorable à cette proposition
de loi. Lors de la discussion de cette proposition de loi au sénat le
19 juin dernier, et alors que les sénateurs socialistes, écologistes,
radicaux de gauche et communistes étaient majoritaires au sénat,
cette proposition de loi n'a pas été votée. Manquaient les voix des
sénateurs socialistes et radicaux de gauche. Pourquoi ce refus ?
Au nom de l'austérité, bien sûr, et de la dette.
Certes, il faudrait dans un premier temps financer ce rachat. Cet
investissement selon plusieurs études serait vite rentabilisé. Mais
après ? Vaut-il mieux que l'argent des péages aille dans les
poches des actionnaires ou serve à financer la transition
écologique, pour améliorer les transports pour tous ? Pour nous,
c'est clair l'urgence écologique et sociale impose notre choix. Si le
gouvernement est capable de donner 50 milliard pour satisfaire les
exigences du Medef, il doit être capable d'investir pour les
autoroutes.
On nous dit maintenant qu'il faut taxer ces sociétés d'autoroutes,
mais ce n'est pas la solution. La solution, c'est que les autoroutes
dont la construction a été financée en grande partie par les
contribuables revienne à l’État et donc au peuple.
Une telle solution permettrait également de faire baisser des
péages honteusement élevés. Tellement élevés qu'ils ont permis
depuis la privatisation de réaliser 15 milliards de dividendes pour
ces sociétés. Alors que l'on demande tous les sacrifices aux
ménages, pour récupérer trois sous, il est temps que la finance
paye son tribut, elle en a les moyens !
LES CHIFFRES
>> Sur 100 euros de péages
versés, ce sont entre 20 et 24
euros qui vont directement
dans les poches des
actionnaires.
>> 15 milliard de dividendes
versés par les sociétés
concessionnaires à leurs
actionnaires entre 2006 et
2013, soit l'équivalent du prix
de vente en 2005.
>> Le manque à gagner pour
les comptes publics est estimé
à 37 milliards d'euros d'ici à
2032 (date de fin des
concessions).
PROPOSITION DE LOI
A télécharger sur
http://www.senat.fr/leg/ppl11-059.pdf
Les parlementaires communistes et Front de gauche
à l'Assemblée nationale et au Sénat.

 

MAIS QUELLE FORCE A INSTALLE CES STATUE

Le 10/11/2014

~L'île de Pâques n'a jamais révélé le mystère de ses
"géants de pierres".

Mais si la légende de cette "force paranormale" qui déplace la pierre était une réalité ?


C’est sans doute un des plus grands mystères au monde : l'île de Pâques, petite île isolée au milieu de l’Océan Pacifique, à près de 4000 km du Chili et de l’île de Tahiti.

Il s'agit d'une île volcanique minuscule, l’un des endroits les plus isolés sur Terre. Elle a une forme triangulaire, une superficie de seulement 162 km⊃2; et à peine 3000 habitants.

Elle pourrait être juste un petit caillou dans l'immensité de l'océan, sauf qu’elle abrite… l’un des mystères les plus tenaces de notre civilisation !

 

L'île aux Géants de pierre


La langue officielle est aujourd’hui l’espagnol, car l’île appartient au Chili. Mais c’est surtout le "rapanui", le dialecte polynésien parlé par les autochtones, qui offre les premières clés pour percer ses secrets.

Dans la langue autochtone, l'île porte le nom "Rapa Nui", mais aussi "Le Nombril du Monde" (Te pito o te henua) ou encore "Les Yeux qui Regardent le Ciel" (Mata-ki-Te-rangi) – référence directe à ces énormes statues aux yeux dirigés vers le ciel.

En effet, plusieurs centaines de statues gigantesques en pierre vous accueillent lorsque vous arrivez sur cette île. Avec leurs grands yeux et leur taille impressionnante, elles fascinent les voyageurs.

Elles semblent se moquer des chercheurs qui essaient depuis des années de découvrir leur origine.

Jusqu'à présent, personne n’a pu expliquer dans quel but ces statues ont été construites, ni par qui...

 
Ces statues portent le nom de "Moaï". Elles étonnent par leur taille et par leur étrange expressivité. Posées sur des socles massifs, elles sont visibles de loin.

Les "Moaï" mesurent entre 3 et 10 mètres de haut et pèsent entre 20 et 80 tonnes. Leurs étranges regards tournés vers le haut semblent fixer des points précis dans le ciel.

Et surtout, elles semblent être arrivées… de nulle part.

 

Depuis la découverte de l'île, le mystère ne fait que grandir…


L’île a été découverte par des explorateurs hollandais en 1722, le jour de Pâques (ce qui explique le nom qu’elle porte aujourd’hui).

Au 18ème siècle, les navigateurs hollandais représentaient l’une des sociétés les plus avancées de l’époque. Lorsqu'ils ont mis les pieds sur cette île, ils ont découvert une population qui était restée coupée du monde pendant… 1000 ans.

Bien évidemment, la surprise a été de taille, des deux côtés.

Les Hollandais pensaient que cette île n'abritait qu'une peuplade primitive. Mais c'était loin d'être le cas. En plus, les explorateurs se sont vite heurtés au mystère inexpliqué de ces centaines de statues de pierre géantes.

Comment une population "primitive", sans outils et sans connaissances technologiques aurait-elle pu ériger et transporter ces géants de plusieurs dizaines de tonnes ?

A 4000 km de toute côte, coupés du monde pendant des siècles, les insulaires ont accompli un exploit incroyable.

Il faut dire que l'île possédait uniquement de la végétation basse, et pas un seul arbre, rien qui puisse servir à fabriquer des leviers pour transporter des blocs de pierres aussi énormes. La tâche semble impossible en effet.

Comment tous ces vestiges sont-ils arrivés là ?

Et quelle est leur signification ?


Qui aurait bien pu construire ces statues
sans disposer des bons outils ?


Il y a en tout presque 900 Moaï sur l'ile, disposés le long de la côte. La plupart sont tournés vers l'intérieur de l'île, sauf à un seul endroit, où ils regardent vers l'océan, comme pour accueillir des visiteurs arrivant par une "porte secrète".

Ce qui est étrange, c'est que pour arriver aux extrémités de l'île, les statues ont été déplacées sur plusieurs kilomètres, depuis un endroit qui porte le nom de "Rano Raraku".

Il s'agit de la carrière où ces statues ont été fabriquées.

On peut y voir encore à peu près 300 statues, à tous les stades de fabrication, probablement la preuve que le travail autour de ces statues a été interrompu brusquement…

Quant au processus de fabrication en lui-même, il est très difficile à imaginer. Armés de simples outils en pierre, le travail des sculpteurs devait sûrement prendre des dizaines d'années…

Sans parler de l'impossibilité de transporter ces colosses à mains nues sur des dizaines de kilomètres, pour arriver sur les côtes où ils sont aujourd’hui !

Imaginez : comment – il y a plus de 1000 ans - les insulaires auraient-ils pu descendre les statues de la carrière et les faire traverser l’île, sans disposer de route, ni d'outils ? Avec les outils rudimentaires de l’époque, et sans aucun arbre sur l’île qui serve de levier, c’est un exploit impossible.

Difficile aussi d'imaginer que les statues ont été transportées par bateau : les falaises très abruptes représentaient des obstacles infranchissables.

En 1960, un archéologue américain a fait l'expérience de déplacer des statues au moyen de rondins d'eucalyptus tirés par des bœufs.

Le travail s'annonçait colossal, mais néanmoins possible. L’expérience aurait donc pu être concluante, sauf que… à l'époque de la construction des statues, il n'y avait ni eucalyptus, ni bétail sur l'île de Pâques.

Quoi qu'il en soit, nous ne pouvons pas nier l’évidence : les statues sont bel et bien là. Elles ont parcouru chacune une distance de plus de 16 kilomètres, alors que certaines atteignent un poids de 100 tonnes !

Chose étrange, dans la carrière de Rano Raraku, il y a plusieurs statues qui sont achevées et semblent attendre qu’on les achemine vers l’endroit où les autres sont alignées, sur la côte.

Pourquoi sont-elles restées là et qu’est-ce qui les a empêchées de rejoindre leurs " sœurs " ? Nous ne le saurons peut-être jamais.

 

Le "Mana", une force surnaturelle qui pourrait
expliquer le mystère ?


La seule explication dont nous disposons aujourd'hui au sujet de ces géants de pierre nous vient d'une légende locale…

Selon elle, les statues auraient marché toutes seules, en position verticale.

Elles auraient été "animées" par une force surnaturelle, une force colossale appelée le "mana".

"Mana" est un terme qui pourrait être traduit par "pouvoir" en polynésien. Il s'agirait d'un pouvoir spirituel, irrationnel, mais capable d'agir également sur le monde matériel.

C’est grâce à lui que les sculpteurs insulaires auraient pu faire bouger leurs "Moaï".

Personne ne sait comment cela aurait pu se passer. Mais l’une des hypothèses c’est que le "mana" était une force de concentration mentale.

A l'époque de la construction des Moaï, certains initiés vivant sur l'île auraient possédé ce type de don surnaturel. C'est en réunissant leurs énergies (leurs "manas") qu'ils auraient réussi à déplacer ces masses colossales de plusieurs tonnes.

Le "mana" fait en quelque sorte partie de l'héritage mystérieux de l'île, une aptitude paranormale que la population vivant ici il y a des milliers d'années aurait maîtrisé.

Aujourd'hui encore, certains habitants de l'île tentent de retrouver ce pouvoir perdu de leurs ancêtres… Ils se réunissent dans des grottes pour effectuer des rituels anciens, ou bien ils organisent de longues séances de méditation collective. Ils sont persuadés qu'ils possèdent encore une part de ce pouvoir extraordinaire qui permet de déplacer des objets à distance, quel que soit leur poids, et par la seule force de la pensée.

Qu'il s'agisse d'une force surnaturelle ou non, le fait est que les Moaï n'ont pas encore révélé leurs secrets. L'île de Pâques reste un des endroits les plus mystérieux au monde.

Mais il est loin d'être le seul. Prochainement, je vous parlerai d'autres mystères qui sont tout aussi intrigants.

A très bientôt.

Votre amie,

 

TEXTE RESOLUTION ONU ETAT PALESTINIEN

Le 06/11/2014

~~PROPOSITION DE RÉSOLUTION

Article unique

 L’Assemblée nationale, Vu l’article 34-1 de la Constitution Vu l’article 136 du règlement Affirme sa volonté de concourir à l’effort international de paix au Proche-Orient. Constatant la volonté des peuples israélien et palestinien à vivre en paix et en sécurité. Constatant l’échec des tentatives de relance du processus de paix engagées depuis 1991 entre Israéliens et Palestiniens par la communauté internationale. Constatant les menaces pesant sur la solution des deux Etats, et notamment la poursuite illégale de la colonisation dans les territoires palestiniens qui mine la viabilité d’un futur Etat palestinien souverain, malgré les capacités institutionnelles dont s’est dotée l’Autorité palestinienne et la reconnaissance que lui a accordée l’Assemblée générale des Nations-Unies. Constatant la montée des tensions à Jérusalem et en Cisjordanie qui menace d’engendrer un nouveau cycle de violence néfaste pour l’ensemble des populations de la région. Souligne que le

statu quo

 est intenable et dangereux car il nourrit les frustrations et la défiance croissante entre les deux parties. Souligne l’impératif d’une reprise rapide des négociations entre les parties selon des paramètres clairs et un calendrier déterminé, et l’urgente nécessité d’aboutir à un règlement définitif du conflit permettant l’établissement d’un Etat démocratique et souverain de Palestine, vivant en paix et en sécurité avec Israël, sur la base des lignes de 1967, avec Jérusalem pour capitale de ces deux Etats. Souligne que la solution des deux Etats, promue avec constance par la France et l’Union européenne, suppose la reconnaissance de l’État de Palestine. Invite le Gouvernement français à faire de la reconnaissance de l’État de Palestine un instrument pour obtenir un règlement définitif du conflit.

 

HOLLANDE DEUX ANS PAS UNE PROMESSE TENU

Le 05/11/2014

MAIS  OU  NOUS  MEME    hOLLANDE

~- Communiqué de presse -


En 2012, François Hollande a été élu président pour 5 ans. Il avait promis de rompre avec Sarkozy en défendant une république exemplaire. Il s’était engagé à combattre la finance qui ruine l’économie française, à renégocier le traité européen qui nous prive de notre liberté, à ne pas toucher à la retraite à 60 ans pour nous permettre de vivre dignement nos dernières années.

2 ans et demi plus tard, les promesses électorales ont été une nouvelle fois bafouées. François Hollande n’a fait qu’aggraver le chômage et la pauvreté. A l’automne, les député-e-s s’apprêtent à approuver un budget de l’État qui transfère massivement l’argent public vers la finance. En consacrant l’argent de nos impôts au paiement prioritaire de la dette, le Gouvernement sacrifie les biens publics et déprime l’économie. On connaît d’avance le résultat : cela ne mène qu’à l’augmentation du chômage. Se sachant illégitime pour mener cette politique, François Hollande s’abrite derrière la 5e République qui lui permet ces coups de force.

Car la Constitution de la 5e République donne pratiquement tous les pouvoirs au Président de la République. Une fois élu, celui-ci reste en place jusqu’à l’élection suivante, même quand il fait l’inverse de ce qu’il avait promis ! C’est l’impunité la plus totale puisque le président n’est responsable devant personne et ne peut pas être destitué. Cette habitude d’impunité politique rejaillit d’ailleurs en cascade sur les autres élu-e-s qui ont pris l’habitude de gouverner contre le peuple ou à grande distance de celui-ci. C’est cette impunité qui explique également les comportements d’un Cahuzac qui cache son argent en Suisse, d’un Thevenoud qui ne déclare pas ses revenus, d’un Le Guen qui « oublie » de déclarer 700 000 euros de patrimoine au Parlement, ou d’un Balkany qui cache son patrimoine immobilier dans les Caraïbes. Rien n’est prévu pour destituer tous ces hommes politiques. Conçu pendant la Révolution française, le droit de révoquer les élu-e-s qui trahissaient leurs mandats et leurs électeurs existe aujourd’hui dans d’autres pays (Californie, Vénézuela...). Cela revient à réaffirmer que c’est au peuple qu’appartient le pouvoir politique, conformément au principe de souveraineté populaire. Il est temps de l’appliquer en France à toutes les échelles de la démocratie : du président de la République au conseiller municipal !


Ce samedi 8 novembre, de 10h à 18h, le Parti de Gauche du Doubs organise une votation citoyenne. Une urne sera donc installée place du 8 septembre à Besançon.
Les citoyen.ne.s seront invités à répondre à la question suivante :

Droit de révoquer les élu.e.s, pour ou contre ?

L'urne se déplacera ensuite dans tous les quartiers de Besançon les 9, 10 et 11 novembre.

 

Pour le Parti de Gauche du Doubs, Benoît MAILLARD-SALIN (06 04 51 91 02).

Événement Facebook : https://www.facebook.com/events/857500827623780/?ref_dashboard_filter=upcoming

 

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