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une raison de votez front de gauche aux europeennes

Le 23/05/2014

 

une  seul  solution la  nationalisation et  votez front  de  gauche  aux  europeennes 2014~



"Siemens, General Electric ? On nous tient en haleine pour savoir qui va dépecer Alstom, fleuron de l’industrie et de la technologie française. Bouygues la cède à qui paie afin de récupérer du cash pour d’autres opérations financières. Le gouvernement se résigne à accompagner le processus pour « limiter (momentanément ?) la casse sociale ».
Il faut se mettre en travers de cette route ! Il est temps de crier « aux voleurs ! » Il est temps que le pillage par les actionnaires cesse. Comment prétendre être un gouvernement de gauche si devant un tel démantèlement on se contente de commenter, et d’intervenir à la marge ?
L’entreprise a déjà été plus que largement payée à des actionnaires qui se sont engraissés aux dépens de tous. Alstom est le fruit du travail de ses salariéEs ; elle a aussi bénéficié de la formation de ces salariéEs — payée par les contribuables, de la bonne santé de ces salariéEs — payée par les assurés sociaux, du réseau routier, de transports en commun — payés par les contribuables, des infrastructures énergétiques animées par d’autres salariéEs, de la recherche, et de commandes publiques dans de nombreux domaines...
Autant dire que c’est la collectivité qui a fait Alstom et c’est à la collectivité que l’entreprise doit revenir et non pas aux multinationales prédatrices. Il faut pour cela avancer des idées neuves. Si l’Etat peut avoir un rôle à jouer, l’objectif n’est pas qu’il se substitue aux actionnaires, mais que soit mis fin à la propriété des actionnaires : que les salariéEs, en lien avec les éluEs de la nation, décident en fonction de l’intérêt général.
L’appropriation collective est notre réponse. Cette appropriation sociale est la condition d’une réorientation de la production qui combine justice sociale et conversion écologique, notamment dans les domaines des transports collectifs, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables.
Il est temps de (re)mettre les choses à l’endroit. Il est temps d’oser."
SIGNEZ LA PÉTITION ICI :
http://www.appel-alstom.fr/Alstom-appropriation-collective.html

--
Fédération du Doubs du PCF
59 rue des Fluttes Agasses
25000 Besançon
T: 03 81 88 78 83 / F: 03 81 53 37 48
Mail: pcf.doubs@gmail.com
Site : www.pcf-doubs.fr

 

roland gaucher amis de Dornier Luxiol doubs

Le 21/05/2014

 

je voterai front de gauche contre le fn contre les milices et les usurpateurs lepen

Biographie[modifier le code]

Roland Gaucher commence sa carrière à l'extrême gauche : il est successivement membre du groupuscule trotskyste Fédération des étudiants révolutionnaires, aux Jeunesses socialistes ouvrières (où il croise Robert Hersant et Alexandre Hébert1), puis du Parti socialiste ouvrier et paysan de Marceau Pivert.

Après avoir été en khâgne à Henri-IV, où il a pour condisciples Yves Jouffa et Jean-Louis Bory, il est mobilisé au 27e régiment d’infanterie en 1939. Fait prisonnier à Rennes en 1940, il s’évade du convoi qui l’emmenait en Allemagne.

Il retrouve la vie civile et devient, de mars 1942 à 1944, responsable des Jeunesses nationales populaires, mouvement de jeunesse du collaborationniste Rassemblement national populaire. Le 22 avril 1944, il demande au régime de Vichy de « dresser des listes d'otages et des poteaux d'exécution » à un rythme plus soutenu. Il est condamné fin 1944 et libéré en 19492.

Il est ensuite journaliste dans de nombreuses publications comme Est Ouest (de 1949 à 1959) ou l’Auto-Journal (de 1960 à 1965), puis au journal Minute (à partir de 1965), en qualité de grand reporter. Journaliste d'investigation, il se spécialise dans la dénonciation des organisations communistes, et travaille en particulier à l'Institut d’histoire sociale de Georges Albertini.

En octobre 1972, il est un des fondateurs du Front national. Il participe ensuite à la scission de celui-ci, qui conduit à la création du Parti des forces nouvelles (PFN) en 1974, où il collabore à la revue Initiative nationale. Il est membre du comité central constitutif du PFN en 1974, puis du bureau politique en 1976 mais le quitte en compagnie de François Brigneau en 1979 pour revenir au FN3.

En 1984, il fonde avec Michel Collinot National-Hebdo, l'hebdomadaire du Front national, dont il est le rédacteur en chef jusqu'en 1993. En 1991, il rachète Le Crapouillot avec Jean-François Galvaire, journal qu'il dirige jusqu'en 1994.

Il est conseiller régional (Picardie, 1986-1987 puis Franche-Comté 1992- 1998 ?), et député européen FN (16 avril 1986 - 24 juillet 19894). Il est également tête de liste FN dans le XIXe arrondissement de Paris en 1983 et en 1989.

Favorable à ce que le FN se préoccupe sérieusement des questions écologiques, il estime notamment que « Les problèmes de l'écologie sont des problèmes graves qui engagent l'humanité »5.

En 1993, il se met en retrait du FN à la fois en raison des révélations sur son passé, qui le rendent peu fréquentable, et de son agacement face à l'autocratie de Jean-Marie Le Pen, qu'il dénonce violemment dans La montée du FN6 (1997). Il se rapproche par la suite de l'Alliance populaire de Jean-François Touzé.

En 1997, dans la conclusion de son Histoire des nationalistes en France, il évoque le projet de création d'un pôle de droite « national, libéral et moral » comme une nécessité pour permettre à l'extrême droite d'accéder au pouvoir. Lors de ses dernières années, il est chroniqueur au site Vox NR7.
 Il meurt le 26 juillet 2007 à l'âge de 88 ans. Ses obsèques ont lieu le mercredi 8 août en l’église Notre-Dame de la Croix à Maisons-Laffitte (Yvelines).

 

aux europeennes je voterai front de gauche

Le 20/05/2014

de  l"ecu en passant par  l'euros  on arrive  au  POC

P=pouvoir   0=occulte     C = capitaliste

= resultante  austerité  pour  les  peuples
= risque  de  guerre
=  ecocide de  la  planete
=  plus  rien d'humain

battre  les  valets  du  grand  capital
 et  battre le  fn

la  seul  solution  voter   front  de  gauche 

le  25 mai 2014



 

 

le conflit nestlé

Le 19/05/2014

~Rétrospective sur le conflit « Nestlé »

Maison de la Région
61, La Canebière
13001 - Marseille
Samedi 31 Mai à 15h30

L’association de Défense des Salariés de Nestlé projette le film documentaire : "La stratégie des Anchois", Film documentaire long-métrage – Durée : 1h37. Auteurs : Hervé Grazzini et Bernard Boespflug.
Le long conflit social des ouvriers de Nestlé de l’usine de Saint-Menet à Marseille symbolise l’année 2005, année du référendum sur la constitution européenne. La désindustrialisation et les délocalisations étaient au cœur des angoisses de la société française. Pour ces ouvriers, la réponse à ces angoissantes interrogations fut l’action, à corps perdu. La prise de parole fut leur arme dans ce combat perdu d’avance.
Cette parole, qui circula entre les ouvriers, qui irrigua Marseille et sa région puis la France et l’Europe, fut si dense qu’entendue par le pouvoir politique et judiciaire elle finit par faire céder le géant de l’agroalimentaire. Une victoire au goût amer. Ce verbe haut et digne constitue la colonne vertébrale de La stratégie des anchois.
Cette histoire prend un relief particulier en pleine crise financière. Elle est une fidèle photographie des conséquences de l’économie virtuelle sur le réel. Cette nouvelle dimension ouvre d’autres champs de réflexion que nous introduisons dans le récit.
« Il y a des petits poissons, les anchois, qui ont de tout petits cerveaux. Mais ils ont compris, c’est leur stratégie et elle est bonne la stratégie des anchois, ils ont compris que c’est quand on reste en groupe et qu’on va tous dans le même sens qu’on arrive à se défendre contre les requins ».
 

 

anniversaire de la mort du deputé louis garnier

Le 16/05/2014

https://www.facebook.com/~
Cher-e camarade,

A l'occasion du 50ème anniversaire de la mort de Louis Garnier député communiste du Doubs, la section PCF du Pays de Montbéliard organise un dépôt de gerbe sur sa tombe le :

Lundi 19 Mai à 17h15 au cimetière d'Audincourt

Louis Garnier né le 11 août 1916 à Lons-le-Saunier (Jura), décédé le 19 mai 1964 à Menton (Alpes-Maritimes), Député du Doubs de 1956 à 1958

La vie politique de Louis Garnier commence en 1936 au Congrès constitutif des Jeunesses Socialistes du Doubs où il se présente un rapport sur l'historique du mouvement de la Jeunesse, puis vante la croissance des effectifs (20 septembre). L'année suivante, en tant que secrétaire, il présente le rapport moral mais n'est pas réélu. Devenu employé-électricien, il adhère ensuite au Parti communiste auquel il restera fidèle toute sa vie. Arrêté en 1941 pour menées communistes, il est enfermé à Clairvaux en mars 1943 puis déporté à Mauthausen : sa santé restera profondément atteinte par cette épreuve qui explique sa mort précoce en 1964 (à l'âge de 48 ans). Après la guerre, il devient secrétaire fédéral du PC du Doubs à partir de 1948, conseiller municipal d'Audincourt et conseiller général du Doubs.

Des quatre élections législatives auxquelles il est candidat, en 1951, 56, 58 et 62, seule la seconde est couronnée de succès : avec 14 % des voix et en dépit de deux apparentements, le PCF obtient l'élection de sa seule tête de liste qui totalise 21 914 voix sur 155 795 suffrages exprimés. En 1958 et 62, Louis Garnier affrontera sans succès le candidat gaulliste Georges Becker.

Entre 1956 et 1958, Louis Garnier est membre de la Commission des pensions et membre suppléant de la Commission des immunités parlementaires. Son travail de député connaît une double direction : le Doubs (proposition de loi tendant à rétablir le droit aux prestations familiales pour les ouvriers français travaillant en Suisse, proposition de résolution pour venir en aide aux sinistrés de la crue du Doubs, etc.) ; et bien sûr la question des pensions. Ainsi, il fait un rapport au nom de sa Commission sur la proposition de Mme Vaillant-Couturier tendant à inviter le gouvernement à étendre la liste des prisons et camps de « déportés » aux centres de Huy, Louvain, Wesermund, Kala, et d'une façon générale hors du territoire national. Au nom de cette même Commission, il dépose aussi un rapport favorable à une participation française à la création d'un mémorial au camp d'Auschwitz.

Au cours de la législature, Louis Garnier n'intervient qu'une seule fois à la tribune, au cours de la discussion du projet de loi de finances pour 1957, sur le chapitre des anciens combattants et victimes de la guerre. Comme membre du PCF, il vote la confiance à Guy Mollet (31 janvier 1956) et la refuse à M. Bourgès-Maunoury (12 juin 1957) ainsi qu'à Félix Gaillard (5 novembre 1957). Le 9 juillet 1957, il vote contre la ratification des traités instituant la CEE et l'Euratom ; il refuse aussi d'accorder les pouvoirs spéciaux en Algérie (12 novembre 1957). S'il s'abstient lors du vote sur la confiance au cabinet Pfimlin, le 13 mai 1958, il se déclare en faveur de la révision de certains articles de la constitution (27 mai) ; il s'oppose tant à la confiance au général de Gaulle (1er juin) qu'aux pleins pouvoirs qu'on veut lui accorder (2 juin).

Elu en avril 1958 conseiller général d'Audincourt, il renonce à ce mandat au bénéfice de Serge Paganelli, qui lui avait déjà succédé au secrétariat de la Fédération communiste. Louis Garnier était marié et père de trois enfants. Il est décédé à Menton, le 19 mai 1964.

 

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