article de est ce jour le 15 juin 2013

le  conseil  régionale  de  franche  comté  mene  la  meme  politique  que  celle  de  chirac  giscard d'estein et  de  Sarkozy  ,  le  dementellement  de  l'education nationale ,   "la  suppression des  equipes  mobiles  d'entretien des  locaux ",
pendant  mon activié  a  l'education nationale j'etais  responsable  d'équipe  mobiles  a  pontarlier  , et aussi  responsable  cgt  , nous  coutions bien  moins  chere  que  les  entreprise  privées , et  nous  acceptions  aucun privilege  aux responsable  d'etablissement,
le  transfert  de  se  service  aux  privé va  de  nouveau  engendrer de  future  scandales et  une  aggravationde  l'entretien des  etablissements  scolaire deja  tres  en danger  par  la  supression de  nombreux  poste  d'gent  de  service  d'entretien,

 Non  la gauche  ne  doit  pas  faire  cette  politique  de destruction de  l'ecole ,  les reaction ne  vont  pas tarder,

chateau entree bournel

AU  chateau  de  bournel  ,golfclub  et  restaurant

ce  chateau  et  la  propriété  des  Demoustiers

le coassement des grenouilles et les hiris d'eau a l'etang de verne

le   28  JUILLET     fête  de  la  peche  a  la truite

repas  sur  place"uniquement  sur  reservation"


prix   8 euros   pour  les  personnes de  plus de   12 

ANS 

5 euros  pour les  moins  de   12  ANS   

Voici le texte d’accompagnement de l’invitation

Jean parenty

L'eau n'est pas une marchandise !

L'eau est l'égale de l'air et du soleil. 3 jours sans eau et nous sommes morts ! Pourtant elle est gérée pour près de 80 % par des entreprises privées avec la complicité d'élus locaux qui leur en confient la gestion, comme l'UMP en 1994 à Montbéliard, mais aussi le maire PS à Héricourt en 2010. Résultat ? Les multinationales s'engraissent sur notre facture d'eau ! A eux les profits, et aux usagers l'opacité, le manque de transparence sur la facture, les coûts exorbitants, l'insuffisance des investissements sur les réseaux.

En 2014, assez profité !

Reconduisons à la porte de nos villes ces multinationales, dont les holdings sont contrôlées par des financiers et des spéculateurs ! Ils sont assis sur une véritable rente de situation grâce à des contrats qui ont parfois duré plus de 40 ans ! 30 ans étaient prévu dans le contrat signé à Pays de Montbéliard Agglomération par l'ancienne direction UMP ! Ils s'en sont mis plein les poches pendants des décennies ! Coupons court à ces pratiques ! Mettons fin à ces contrats, à Héricourt, comme dans le pays de Montbéliard !

Associations, représentants d'usagers et militants locaux ont commencé le combat de démystification de ces contrats. En 2014, faisons des municipales un référendum à caractère révocatoire de ces contrats pour chasser les profiteurs et leurs complices de la gestion de l'eau.
 

L'eau, source de vie, pas de profits !

Seule la gestion de l'eau en régie publique associant les usagers permet de garantir une gestion écologique au prix.

Plutôt que d'attendre une hypothétique nationalisation, souvent inscrite dans les bonnes intentions, jamais appliquée dans les politiques gouvernementales, les élus locaux doivent faire le choix de créer une régie publique.

- Une facture en moyenne 20 % moins chère : seul le service public peut réaliser le service à prix coutant. Pas de dividendes à reverser, pas de frais de siège, pas d'impôts sur les sociétés à acquitter ! Ainsi l'eau coûte dans la régie Besançon 2,60 € / m3 contre 3,16 € à Montbéliard.

- Des usagers associés au fonctionnement du service : seuls les régies publiques (loi 1926) permettent aux usagers dans le cadre d'un conseil d'exploitation, d'être associés pour fixer les règles d'accès à l'eau (gratuité, différenciation des tarifs selon les usages...).

- Des investissements sur le réseau qui limitent les fuites : les volumes d'eau qui partent en fuites sont payés par l'usager, et accroissent donc le chiffre d'affaire des multinationales. On comprend pourquoi elles sont si peu enclines à investir. Nous nous retrouvons avec des tuyaux âgés de 250 ans alors que leur durée de vie est d'à peine 100 ans. Dans quel état seront les réseaux d'eau potable de nos enfants ? A Héricourt, Veolia n'a renouvelé aucune canalisation en 2011. Pourtant le réseau perd 131 330 m³/an : 20 % du volume mis en distribution ! Un manque à gagner de 371 664 € au prix de vente actuel du m³ d'eau !

- Des personnels mieux traités : les objectifs de rendement financier pour les actionnaires mettent les salariés sous pression. Faisons respecter leurs acquis et leurs compétences.

Plutôt que de continuer à engraisser la finance avec la facture d'eau, il est temps de créer des régies publiques. C'est possible dès 2014 ! Les élections municipales peuvent permettre de choisir des élus qui mettront tout en œuvre pour chasser les profiteurs et leurs complices

 

Par Mathilde Filloz Ccfilloz@aol.com 1995

Au cœur de nos cités, les revoilà ! Terreur ! Maîtres de nos destins, le pouvoir leur échoit

C’est l’Autriche jadis qui fut le territoire Ils rêvent en secret, d’un bouillon d’inculture.

Choisi par le nazisme pour entrer dans l’horreur. A tous les citoyens ils imposent leur choix

Monte la voix des morts du fond de notre histoire ! Pleuvent les interdits, ferments de dictature !

Le danger reparaît, toujours si douloureux. Du pays de Provence, de l’ art, divin berceau,

On dirait qu’en Europe, au sommet, les édiles Censurant l’écrivain, le poète et le livre,

S’éveillent en sursaut devant ce risque affreux ! Le bourgmestre absolu, lave notre cerveau,

Il est temps de stopper les mortelles idylles ! Et les auteurs maudits ne pourront point survivre !

Sous nos regards surpris le machiavel, dément, Ici nous connaissons, harcèlement moral,

Cynique est parvenu jusqu’aux charges publiques ; Handicapés proscrits, outrages et suicides,

Puis, au plus haut niveau, l’édile, librement, Sanctions, faciès et tout leur arsenal !

Va pouvoir, beaucoup mieux, tuer les Républiques Pour résister longtemps, il faut être lucides !

Au creux de nos terroirs, les chefs et leurs suppôts Certains craignent pour eux qu’ils deviennent martyrs

Président la Région, le Canton, la Commune. De la démocratie et les font intouchables.

Nous payons leurs campagnes avec nos lourds impôts. En couvrant la marmite, ils laissent subvertir Vautrés dans ces fauteuils, ils promettent la lune ! Ce ragoût nauséeux qui reste inapprochable

Au souffle du mistral, ils ont pris le pouvoir, Devant ces abandons l’élan s’est affaibli

S’envolent au pinacle, et s’installent en douce, Oubliant les valeurs de notre République

Utilisant la loi…Ce qu’on pouvait prévoir ! La conscience s’endort, supporte la chienlit

Un tiers plus un, c’est tout, et deux tiers qu’on détrousse ! Qui couvre de ses feux la gestion diabolique !

Cette majorité et ce tiers frelaté, Opéras de Verdi et valses du Prater,

Se nourrissent, bien sûr, du grave paupérisme, Vienne, Orange et Toulon, Vitrolles, Marignane

De l’avilissement de notre société. Vos sourds gémissements annoncent de concert

Ils placent leur famille usant du népotisme ! Des lendemains de sang que la raison condamne !

　

　

　

　

　

　

　

　

Mort de Clément Meric : Indignation de l’Anecr

jeudi 6 juin 2013

 

L’Anecr exprime son horreur, sa révolte et son indignation après la mort du jeune Clément MERIC, tombé hier sous les coups de militants d’extrême-droite à Paris.

Elle appelle les élu(e)s de la République à participer, ceints de leur écharpe, au rassemblement organisé ce soir à 18h30 Place Saint Michel à Paris.

Résistons à la haine fasciste ! Agissons pour mettre hors d’état de nuire ces groupuscules d’extrême droite qui doivent être dissous !

Regroupons-nous pour exprimer tout notre soutien à la famille de Clément !

Clément Méric, un étudiant de Sciences Po de 18 ans connu pour son
engagement anti-fasciste, a été tué hier à Paris, près de la Gare
Saint-Lazare, par un groupe de militants d’extrême droite.

Le Parti de Gauche appelle tous ceux qui sont bouleversés par ce crime
odieux et qui exigent la dissolution des groupes d’extrême droite
responsables de la mort de Clément, à se retrouver jeudi 6 juin à 18h00,
place du 8 septembre à Besançon.