blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

vertu1

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

parti communiste , CGT   LSR

parti communiste , CGT LSR

Blog dans la catégorie :
Politique

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

vertu1

LETTRE Patrick le Hyarix

Le 22/06/2020

 
 
Bonjour à chacune et chacun,

Les informations présentées par le gouvernement sur la santé comme sur la situation économique restent floues et contradictoires. La campagne du second tour des élections municipales est effacée ou présentée comme une simple affaire de carambouille politique. Un jour, le pouvoir annonce un déconfinement en toute sécurité, un autre on découvre près de 80 nouveaux « clusters ». Toujours très active en Asie et en Amérique, l’épidémie reprendrait à Berlin, Pékin ou encore en Inde. A ce jour, il reste difficile de se faire une idée précise de la situation sur le continent africain.

La catastrophe économique pointe à l’horizon alors que les plans de suppressions d’emploi s’accumulent. Et puis il y a cet incroyable chiffre balancé par M. Macron, lors de son allocution télévisée de dimanche dernier, selon lequel il avait fait décaisser 500 milliards d’euros. Soyons clairs : tout ceci ne sert qu’à préparer les citoyens à un violent plan d’austérité et de chômage.

Revenons sur ces fameux 500 milliards. D’abord comment peut il d’un côté annoncé un décaissement si important tout en disant que le déficit augmenterait de 222 milliards ? En vérité, il mélange les choux, les carottes et le foin, et en le faisant exprès !

327 milliards représentent non pas des dépenses mais de possibles garanties publiques sur des prêts de trésorerie décaissable par des banques, auxquelles il faut ajouter 8 milliards d’assurances-crédit, et 5 milliards de crédits-export. A ce jour il n’a été accordé qu’une centaine de milliards de crédit de trésorerie et des spécialistes indiquent que les 150 milliards d’euros ne seront pas dépassés. On est bien loin des 500 milliards. Aujourd’hui les dépenses concernent :
 
  • 31 milliards de chômage partiel dont seul deux tiers sont à la charge directe de l’Etat, le reste est payé par l’Unedic, le fond de solidarité des TPE.
 
  • 8 milliards concernent des dépenses de santé exceptionnelles et 900 millions d’aide aux plus précaires.
 
A cet ensemble il faudra ajouter 20 milliards d’euros visant le renforcement des participations financières de l’Etat dans des entreprises en difficulté et 1 milliard de prêt du Fonds de développement économique et social (FDES) ainsi que 56 milliards de reports de cotisations sociales et d’impôt. Ces sommes sont amenées à revenir dans les caisses de l’Etat. Le projet de loi de finances rectificative table sur 136 milliards d’euros au total. Mais le président de la République veut apeurer et faire pression sur les consciences pour obtenir le « travailler davantage » qu’il a introduit dans cette même allocution. Voilà pourquoi les officines et la presse gouvernementale sont revenues ces derniers jours sur la « nécessité » d’en finir avec la semaine de 35 heures de travail et le retour de la contre-réforme retraites. On évoque même la suppression de congés payés ! Bref plusieurs ballons d’essai sont testés pour un renforcement de l’exploitation du travail tout en s’appuyant sur l’armée de réserve des privés d’emploi.

D’autant plus que celle-ci verra ses rangs grossir puisque toutes les analyses anticipent une très forte hausse du chômage dans les mois à venir (250 000 emplois seraient menacés).

C’est une nouvelle phase qui est donc en train de se mettre en place. On voit qu’à peine décrété, le déconfinement prend à juste titre les allures d‘une fronde sociale et politique d’ampleur. Les mouvements contre les discriminations, le racisme, et les violences policières rencontrent les luttes pour la justice et la dignité. La bourgeoisie et le capital ont peur de la levée de ce puissant vent de révolte qui souffle. La réaction oppose à la colère sociale et politique des contre-feux relayés par des sphères médiatiques qu’il est utile d’analyser pour mesurer la force de leur mépris. Ces derniers jours, nous avons pu assister à d’hallucinantes émissions dans lesquelles il n’y avait presque plus de contradicteurs pour défendre les enseignants ou condamner les violences policières.

Une infirmière qui aura passé trois mois confinée dans son hôpital pour soigner les patients atteints du Covid, sacrifiant ses jours et ses nuits pour pallier à l’incompétence des pouvoirs publics et ayant elle-même contracté la maladie, a pu être gravement molestée par les forces d’un ordre décidément injuste, et trainée dans la boue par ces mêmes médias qui l’accusaient d’avoir osé se dresser face à ceux qui envoyaient sur elle et ses collègues des gaz lacrymogènes.

C’est à ce moment-là qu’un Manuel Valls décide de sortir du bois en donnant une interview au magazine de droite extrême Valeurs Actuelles. Il y expose une théorie selon laquelle la « lutte des races aurait remplacé la luttes des classes ». Quel service rendu aux détenteurs de capitaux qui souhaitent qu’il rejoigne le gouvernement ! Il sait de quoi il parle puisqu’il s’est lui-même acharné à mener une lutte pour le compte du capital et à souffler sur les braises identitaires. Pendant ce temps, la cheffe de l’extrême droite parade. Le jour même de sa nouvelle condamnation pour détournement de fonds publics, elle supplante le ministre de l’intérieur, se délectant des violences à Dijon, avant d’opérer, à l’occasion du 18 juin, un hold-up sur la mémoire du général De Gaulle. Et les caméras installées à Dijon et l’île de Sein étaient étrangement absentes du tribunal qui la condamne.

Dans ce cadre général et sur fond de crise économique aggravée, Emmanuel Macron met déjà toutes ses forces dans la bataille présidentielle. Il s’allie aux partis de la droite aux municipales. Il enfile les habits du « parti de l’ordre » en laissant se perpétuer les violences policières. Il se fait le gardien d’une mémoire républicaine hémiplégique. Il aurait, il y a quelques semaines, envisagé le coup suprême : démissionner parce que disait-il « il n’y a personne en face » pour convoquer des présidentielles en vue donc de continuer d’occuper son fauteuil plus longtemps. Puis, il change de tactique en tentant de modifier à sa guise le calendrier électoral. Organiser la présidentielle avant les régionales lui éviterait une sanction moyennant un accord avec des fractions de la droite de telle sorte que cette dernière conserve la présidence des régions. Ceci est en ligne avec la stratégie municipale du parti macroniste. Dans le même mouvement il va retenter de revenir sur la réforme constitutionnelle et de l’Etat. Tout ceci doit être fermement combattu. Mais il cherche d’autres hypothèses : par exemple l’organisation d’un référendum ou on ne pourrait répondre que « oui » à des enjeux écologiques.

En arrière-fond, c’est un carnage social qui se prépare. Des secteurs industriels clefs empochent les deniers publics tout en annonçant des plans de réduction d’emplois. Le tissu des petites entreprises est délaissé. La jeunesse s’apprête à payer un lourd tribut à la crise qui vient et va faire les frais d’un chômage en expansion, prélude à un nouveau remodelage social.

On ne peut, dans un contexte si dangereux, laisser enserrer le peuple dans un mortifère débat « droite contre droite » sous l’œil goguenard des puissances de l’argent. Tout ceci est camouflé par une illusoire « grandeur nationale » pour accentuer encore l’exploitation dans le cadre d’une nouvelle guerre économique. Les forces progressistes, dans leur diversité, doivent se parler, co-élaborer des propositions neuves adaptées à la nouvelle donne économique, sociale, politique, culturelle. C’est un nouveau chemin qu’il conviendrait d’ouvrir avec les forces sociales et populaires : celui portant pour chacune et chacun le projet d’une sécurité de vie émancipatrice, d’un nouvel universalisme, au cœur d’une nature vivante et préservée. Un tel projet placerait en son cœur – en les liant – les grands enjeux de qualité alimentaire, de sécurité sanitaire, d’éducation et de culture, de métamorphoses de nos capacités industrielles et de service. Ils incluraient un projet européen de développement numérique servant les enjeux en matière d’éducation, d’information, de culture, de transports (ou plutôt de mobilités) ainsi qu’un importante métamorphose environnementale dans la conception des villes, des logements, des mobilités, etc. Tout ceci nécessiterait une nouvelle façon de produire et de consommer, respectueuse à la fois des êtres humains et de leur environnement. Toute personne devrait pouvoir devenir – sur son lieu de travail comme dans la cité – coauteur, coacteur, codécideur en permanence. Bref c’est une toute autre direction que doit gagner un nouveau rapport de force contre l’air nauséabond qui monte.
 
Les élections municipales se rapprochent. Les citoyens y auront l’occasion de faire entendre dans les urnes leurs demandes de changement vers le progressisme avec les listes où se trouvent les communistes et en reconduisant leurs municipalités d’union animée par des maires communistes. C’est le sens de mon éditorial de la semaine dans L’Humanité-Dimanche « des débouchés pour la révolte ». 

 

 

pierre laurent conseil national pcf

Le 19/06/2020

logo PCF Envoyé par Pierre Laurent    
   

Cette lettre du Conseil national rend compte des travaux de notre direction réunie le 12 juin. Il s’agissait de sa première réunion après plusieurs semaines d’interruption et de confinement. C’est donc un moment de la vie démocratique de notre parti qui a repris ses droits, même si les conditions de débat restaient encore difficiles et exceptionnelles, une partie des membres du CN suivant les travaux en visioconférence.

Cette participation à distance d’un grand nombre de camarades ne nous permet pas, exceptionnellement, de faire figurer dans cette lettre le résumé des interventions prononcées.

Le Conseil national a, dès l’ouverture de sa session, eu une pensée pour toutes les victimes de la pandémie, dont de nombreux·ses camarades. Si nous avons évoqué les noms de personnalités qui ont marqué l’histoire de notre parti, c’est à elles et eux toutes et tous que nous pensons. Tu trouveras dans la lettre le texte de l’hommage qui leur a été rendu.

Notre Conseil national a ensuite adopté un texte de propositions et de mesures immédiates et structurelles, esquissant un projet de relance et démocratique pour notre pays, après les fractures que la pandémie du Coronavirus a révélées. Ce texte est d’ores et déjà disponible pour l’action et le contact avec nos concitoyen·ne·s, pour rendre possibles les rassemblements et les ruptures politiques dont notre pays a besoin. Un appel à la mobilisation des communistes l’accompagne, pour favoriser la participation et la tenue du maximum d’initiatives, à commencer par les manifestations antiracistes, les manifestations pour la santé et celles contre les licenciements déjà en cours.

Cette session du CN a bien sûr été également l’occasion de faire le point sur la mobilisation en vue du deuxième tour des élections municipales, le dimanche 28 juin.

L’introduction de Pierre Lacaze sur le sujet est disponible dans cette lettre.

Mais d’ores et déjà, à quelques jours de cette échéance importante, je t’invite à la mobilisation pour garder ou gagner le maximum de maires ou d’élu-e-s communistes, dans ta commune si tu es concerné-e- ou en aidant les camarades des communes à proximité.

Je te souhaite une bonne lecture, bon courage pour affronter ensemble les tâches qui sont devant nous.


Pierre Laurent
Président du Conseil national 

 

LETTRE Patrick le Hyarix

Le 18/06/2020

L’urgence d’un plan pour que vive la presse

 
 
 

Alors qu’un véritable carnage s’abat sur les titres nationaux et régionaux, un autre chemin doit être étudié pour soutenir les journaux, comprenant des mesures comme une réduction fiscale pour toute personne qui souscrit un abonnement.

Pourquoi l’ampleur des difficultés de la presse est à ce point sous-estimée, voire niée ? Durant les trois mois qui viennent de s’écouler, journalistes comme ouvriers d’imprimeries, transporteurs comme marchands de journaux ont tenu bon, livrant chaque jour une information diversifiée aux lectrices et lecteurs sur la crise sanitaire, ses effets, les moyens de la conjurer et ce qu’elle dit de nos sociétés. C’est cette presse qui a permis bien souvent de prendre du recul, d’alimenter des réflexions nouvelles, et d’inciter à repenser nos manières de vivre, de produire, de consommer, de faire société ensemble.

Un enjeu considérable

Durant cette période difficile, une réelle soif de lire les journaux a été constatée. Pourtant, ce moment a été celui où les journaux ne sont pas parvenus convenablement aux abonnés, où une partie des maisons de presse a dû rester fermée tandis que le système de distribution était chamboulé par le redressement judiciaire de la messagerie Presstalis et la liquidation des centres régionaux de répartition des journaux vers les magasins de vente. Cette situation prive de publications les lecteurs de la quasi-totalité de la façade est du pays. La réinvention d’un système de distribution des quotidiens et des magazines solide et pérenne, associant La Poste, Geodis, la Caisse des dépôts, reste donc un enjeu considérable. Au-delà, personne ne peut fermer les yeux sur le véritable carnage qui s’abat sur la presse nationale et régionale d’information générale et politique.

Une démocratie en danger

Les pertes financières liées à la situation de Presstalis, le recul des abonnements papier, l’effondrement des recettes publicitaires et de celles résultant des événements organisés par les entreprises de presse sont en train de provoquer un nouveau tsunami risquant d’emporter avec lui des pans entiers de notre démocratie.

Croyons-nous que le formatage des journaux télévisés du soir et le média-business de l’information en continu permettront aux citoyens de l’être pleinement, dans un moment si complexe qui appelle confrontations des points de vue, diversité des angles d’analyse, pluralité des opinions et des expériences ? On pourrait démontrer à quel point le système médiatique global se configure au service d’une pensée unique. Seul change le visage de celles et ceux qui la véhicule. Et, dans la presse écrite elle-même, les concentrations-restructurations se poursuivent dangereusement. Il y a quelques jours, c’est le groupe belge Rossel, qui détient déjà dans l’Hexagone neuf quotidiens et une quinzaine de magazines, qui s’est emparé de Paris Normandie, après que M. Niel, qui avait déjà repris Nice-Matin, a fait tomber France-Antilles dans son escarcelle. Au même moment, le groupe Paris Turf connaît de redoutables difficultés, tandis qu’un groupe solide comme le Parisien s’engage dans une importante restructuration, tout comme l’Équipe…

Au lieu de se pencher sur la gravité de la situation pour le pluralisme, la démocratie, la culture et le lien social que permet la presse écrite, des spécialistes en libéralisme économique conseillant le pouvoir commencent à avancer des solutions nuisibles qui visent avant tout à satisfaire les groupes industriels et financiers propriétaires de journaux, en rien soucieux d’une information écrite de qualité et encore moins de l’exercice de la citoyenneté. Ils ne pensent qu’au développement du télétravail pour économiser sur les charges locatives, à sortir des journalistes du salariat, des employés et cadres des conventions collectives de la presse, à restructurer des imprimeries et à réduire le nombre d’éditions pour la presse régionale, etc.

Participez: Signez la pétition adressée à M. Riester, Ministre de la Culture et de la Communication, et à M. Darmanin, Ministre de l’Action et des Comptes publics

Nécessités à mettre en œuvre

Un autre chemin devrait être étudié dans le cadre d’assises nationales pour le pluralisme de la presse, dont le ministère de la Culture et de la Communication devrait prendre l’initiative. Le « plan filière » déposé par les syndicats de l’Alliance pourrait être la base de la discussion. Au-delà, je me permets d’insister sur plusieurs nécessités qu’il conviendrait de mettre en œuvre.

– Bâtir un système solide et pérenne de distribution associant La Poste, Geodis, la Caisse des dépôts et Orange pour inventer un kiosque numérique pour la presse.

– Restituer au développement de la presse les crédits du fonds stratégique de la presse aujourd’hui utilisés pour soutenir Presstalis.

– Accélérer l’application de la directive européenne et la loi nationale sur les droits voisins faisant payer par les géants du numérique les articles et œuvres qu’ils pillent.

– Appliquer à la presse d’information générale et politique une TVA nulle, comme cela se fait déjà au Royaume-Uni.

– Augmenter l’aide publique aux quotidiens d’information générale et politique à faibles ressources publicitaires.

– Relancer un projet commun État-régions-éditeurs pour installer des bouquets de presse dans chaque lycée de France.

– Une aide aux abonnés devrait être mise en place dès le mois de septembre permettant à tout citoyen souscrivant un abonnement au titre de l’information générale et politique de bénéficier d’une réduction d’impôt ou d’un crédit d’impôt. Cette mesure faciliterait l’accès de multiples familles à la lecture régulière de journaux.

Le pouvoir, qui se targue volontiers de soutenir plusieurs secteurs d’activité, ne peut ignorer ou mépriser celui qui sert la vie démocratique, le pluralisme et l’exercice de la citoyenneté.

Patrick Le Hyarick, directeur de l’Humanité

Pétition pour de meilleures conditions d’accès à l’abonnement aux journaux

Cliquez ici pour accéder à la pétition en format PDF téléchargeable

PÉTITION

 

lettre de cuba

Le 18/06/2020

Les nouveautés depuis le 11 juin 2020

 


La lettre électronique Hebdo de Cubacoopération

Chères Amies, Chers Amis,

Comme un certain nombre de pays, Cuba se prépare à la reprise après l’épidémie de Covid-19.

Cette reprise va être progressive, en plusieurs phases, car les priorités du gouvernement cubain restent la protection et la santé de la population.

Les autorités constatent que l’épidémie est contrôlée dans le pays, avec moins d’admissions que de sorties dans le système de santé, et la baisse des cas positifs chaque jour.

Dans presque toutes les municipalités et provinces il n’y a plus de cas depuis près d’un mois. Elles sont donc en mesure de revenir à la normale.

La première phase de retour à la normale va donc démarrer ce jeudi 18 juin, dans tout le pays, sauf dans les provinces de La Havane et Matanzas où il reste des foyers. Avec 7 nouveaux cas à La Havane le 17 juin.

Il n’y plus eu de décès par Covid-19 depuis 11 jours à Cuba.

Ces résultats encourageants sont le fruit d’une amélioration des protocoles du traitement médical, des expériences internationales et de la contribution de l’industrie biotechnologique et pharmaceutique cubaine, et aussi de la discipline de la population pour respecter les consignes de protection.

Le Président de Cuba, Miguel Diaz-Canel a précisé : « que cela confirme, une fois de plus, que le résultat obtenu par le pays est que nous ne nous sommes jamais trouvés dans des situations qui se sont produites dans d’autres pays du monde, où les systèmes de santé se sont effondrés  ».

Le premier ministre, Manuel Marrero Cruz, a présenté aux membres du conseil des ministres les mesures contenues dans le plan. Des protocoles sanitaires sont maintenus comme le distancement physique et le port obligatoire du masque dans toutes les activités dans une première phase, et à partir de la deuxième dans les lieux publics où il existe une concentration de personnes.

En cette période approchant des vacances, le tourisme d’abord local va reprendre, puis ensuite le tourisme international, secteur important de l’économie cubaine.

Un test PCR sera appliqué à chaque visiteur, avec prise de température et une surveillance épidémiologique et clinique sera assurée dans les hôtels par une équipe de spécialistes. Les lieux ouverts progressivement aux touristes internationaux seront les cayos (ilots) situés au nord et au sud de l’archipel cubain.

De même l’école reprendra en septembre pour achever l’année scolaire, et en novembre débutera la nouvelle année.

En matière de commerce extérieur, les facultés d’importations sont assouplies et la réactivation des importations et des investissements étrangers est encouragée dès la phase initiale du redressement post-Covid-19.

Ce point est évidemment essentiel pour relancer l’économie cubaine.

Notre association, réfléchit à la manière de réactiver nos projets de coopération entre la France et Cuba, et aux moyens de trouver de nouveaux partenaires qui contribueront ainsi à l’aide que nous pouvons apporter à la grande île.

Je vous laisse découvrir, comme chaque semaine, les nombreux articles de notre site qui relatent la réalité cubaine et je vous en souhaite une bonne lecture.

Continuez de prendre soin de vous et de vos proches.

Michel Humbert

 

Minibluff the card game

Hotels