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lettre de cuba

Le 05/03/2020

Les nouveautés depuis le 27 février 2020

 


La lettre électronique Hebdo de Cubacoopération

Chères Amies, Chers Amis,

On nous parle souvent des droits de l’homme, et il faudrait ajouter de la femme ce qui est un peu trop souvent omis par ailleurs.

C’est un thème qui permet de beaux discours, des condamnations aussi pour pointer les pays ne respectant pas les critères qui servent de références à ceux qui savent si bien être des donneurs de leçon.

Ainsi, Cuba est trop souvent critiqué pour être un pays qui ne respecterait pas les droits de l’homme.

Sur notre site, par de nombreux articles nous avons de multiples fois montré et démontré que Cuba n’a pas de leçon à recevoir sur ce thème des droits de l’homme, et aussi de la femme.

Et pourtant c’est ce motif qui sert, entre autre, de justification au blocus criminel qu’imposent les Etats-Unis à la grande île des Caraïbes.

Je voudrais, par un exemple lié à l’actualité, montrer que les donneurs de leçon feraient bien de balayer devant leur porte.

L’actualité c’est la santé.

Et notamment les moyens et dispositions que peut prendre un pays pour préserver celle de ses concitoyens, mais aussi la solidarité pour aider ceux qui dans le monde en ont besoin.

La santé est bien un sujet majeur des droits de l’homme.

Nous l’avons déjà dit ici, à Cuba la santé est gratuite et accessible à toute la population. Cuba est le pays du monde qui compte le plus de médecins par habitants, le double qu’en France. La prévention est un critère majeur de la médecine cubaine, reconnu comme inédit et primordial par les instances internationales.

La recherche médicale s’appuie sur des chercheurs et des laboratoires eux aussi reconnu comme en pointe, développant des médications originales, un médicament cubain ayant été testé par les chinois pour combattre l’épidémie du coronavirus.

Mais Cuba va plus loin, il faut bien le constater, que aucun autre pays du monde.

Cuba envoie des médecins dans tous les pays pauvres, pour apporter son aide et son savoir faire.

Son école de médecine, l’Ecole Latino-Américaine de Médecine (ELAM) a formé et forme des dizaines de milliers de médecins qui repartent ensuite exercer leur savoir dans leur pays. Elle est reconnue comme une des plus performantes.

Pendant près de 21 ans Cuba a fait ce qu’aucun pays n’a fait : la grande île, malgré le blocus et les difficultés en résultant, a accueilli et soigné, gratuitement, 26500 enfants, filles et garçons, touchés par la catastrophe nucléaire de Tchernobyl.

Ce ne sont pas des paroles, des discours, des leçons données un peu facilement, mais des actes concrets, pour sauver et soigner des jeunes enfants qui venaient de Russie, de Biélorussie, d’Ukraine.

Ce fait exceptionnel a été et est toujours ignoré des grands donneurs de leçons et des médias. Et pourtant n’est ce pas cela qui montre une vraie solidarité envers ceux qui en ont besoin ?

Aujourd’hui les Etats-Unis font pression sur les pays qui reçoivent l’aide médicale cubaine pour qu’ils l’abandonnent. Ainsi le Brésil, au ordre de l’administration Trump, a fait partir les médecins cubains, et depuis, de nombreuses contrées d’Amazonie n’ont plus de médecins car ils étaient les seuls à soigner au plus près les populations isolées.

Et, plus fort, les Etats-Unis avaient mis en place un programme appelé Parole, pour dévoyer et acheter les médecins cubains, avec bien sûr des crédits énormes pour y arriver, programme abandonné sous l’administration Obama et réactivé maintenant.

De même, toujours dans une bonne gestion de champion des droits de l’homme, ils font tout pour bloquer l’importation à Cuba de médicaments indispensables sur lesquels ils ont la main.

Et dans le même temps, une médecin de Guadeloupe me disait il y a deux jours qu’ils attendaient dans ce département français d’outre mer l’arrivée de médecins cubains pour palier le manque de professionnels de santé.

Je pourrais multiplier les exemples qui éclairent que dans ce domaine de la santé, concernant directement les droits de l’homme, Cuba n’a vraiment pas de leçon à recevoir, et que beaucoup de pays seraient inspirés de développer la même approche, et la même solidarité.

Une raison de plus de nous battre au côté de Cuba, pour obtenir la fin du blocus qui entrave si fortement son développement.

Comme chaque semaine je vous laisse découvrir les nombreux articles de notre site qui relatent la réalité cubaine, et je vous en souhaite une bonne lecture.

Michel Humbert
Vice président de Cuba Coopération France

 

lettre de pattrik le hyaric

Le 04/03/2020

Bonjour à chacune et chacun,

Quel irrespect ! Quelle morgue ! Décidément, rien n’arrête plus ce pouvoir ! Samedi dernier dans la matinée, le Conseil des ministres s’est réuni en urgence soi-disant pour débattre du dispositif à mettre en œuvre pour faire face au coronavirus. Le ministre de la Santé et des Solidarités qui est aussi le ministre de la contre-réforme des retraites en rend compte avec, à ses côtés, la porte parole du gouvernement. Celle-ci ne porte aucune parole. Aucun mot. Seul parle le ministre remplaçant de Mme Buzyn sur un seul sujet : l’épidémie de coronavirus. Pas un mot sur les retraites dont il a la charge. Mieux : le compte rendu officiel du Conseil des ministres ne fait aucune mention d’une discussion et d’une délibération au sujet de l’utilisation de cet article 49-3.
 
Pourtant, dans un arrêt datant de 2016, le Conseil constitutionnel fait obligation de transparence. Voici l’extrait du texte « l’exigence constitutionnelle réside dans une simple délibération préalable du Conseil des ministres : il faut et il suffit que le sujet ait été évoqué au cours du conseil, ce que le procès verbal et par nécessairement la communiqué de presse doit retracer ». Au lieu de donner cette information dès le début de l’après midi, le pouvoir a laissé saturer les médias en continu et d’autres de la communication sur l’épidémie. Cela peut se comprendre.
 
Mais quelque chose était caché. Un autre virus. Non pas Covid-19 mais 49-3. Ainsi, par surprise et plusieurs heures après le Conseil des ministres, le Premier ministre, au crépuscule de ce samedi se précipite à l’Assemblée nationale et dévoile son projet de coup d’État social contre le Parlement. Même les députés de sa majorité furent surpris. Pour détruire l’élément essentiel du pacte social français que sont les retraites solidaires par répartition, une camisole de force, veut tenir silencieuse l’Assemblée nationale. Sans vote, en escamotant purement et simplement le débat, une part constitutive de la République sociale conquise après plus d’un siècle de luttes et inventée par un gouvernement dans lequel siégeaient communistes et gaullistes, serait sur le point de partir en fumée.
 
Les conséquences négatives en seront lourdes pour tous nos concitoyens de toutes catégories comme pour les générations à venir. Loin d’être un signe de force, l’utilisation de ce couperet, l’article 49-3, vient prolonger et « parfaire » encore un fiasco gouvernemental à nul autre pareil. Celui d’un pouvoir incapable de répondre aux questions que posent les citoyens, relayées par les oppositions parlementaires ; qu’il s’agisse de la valeur du point au moment de toucher sa pension, de l’égalité femmes-hommes, de la reconnaissance de la pénibilité, comme de la date de départ en retraite ou de l’invention d’une retraite basée non plus sur les salaires mais sur un prétendu « revenu moyen » inexistant. 
 
Le bâillon vient compléter la fermeture de la commission spéciale de l’Assemblée, une étude d’impact plus que douteuse et un dispositif qui demandait aux députés à la fois de se prononcer en ignorant les résultats de la conférence de financement et de se dessaisir de leurs prérogatives sur un texte d’une importance capitale comportant 29 ordonnances ! Ordonnances que M. Macron critiquait avant de les décider lui-même puisqu’’il déclarait le 25 novembre 2016 qu’il ne croyait pas « une seule seconde à la réforme par ordonnances » ; mais, ça, c’était avant... ! Aujourd’hui, depuis son palais, loin des clameurs de rejet, il frappe doublement. D’abord, il dénie au parlement son rôle de législateur. Ensuite, il fait fi du peuple.
 
Une majorité de nos concitoyens s’oppose au texte, aucun syndicat n’approuve, plus de 70% des français se prononcent contre l’utilisation de cette machette anti-parlementaire et 67% réclament une consultation populaire.
 
Le Conseil d’État avait pourtant mis en garde contre le recours aux ordonnances qui « fait perdre la visibilité d’ensemble qui est nécessaire à l’appréciation des conséquences de la réforme et, partant, de sa constitutionalité et de sa conventionalité ». Rappel à l’ordre on ne peut plus sévère.
 
Il s’agit, indéniablement, d’un coup d’État social. Ses auteurs le paieront très cher. Au-delà, la démocratie elle-même va durement en souffrir. Il n’y a pas d’unité véritable de notre République sans le ciment de la sécurité sociale, sans le liant de la solidarité et de la juste répartition des fruits du travail, contre son accaparement par les rapaces de la finance. Les seuls à soutenir le pouvoir dans sa vaste entreprise de guerre sociale.
 
Le combat pour l’intérêt général n’est pas terminé. La mobilisation s’organise. Des motions de censure seront présentées au vote du parlement. La loi « organique » de ce projet ne pourra plus être adoptée selon l’ordre constitutionnel du 49.3. Le pouvoir n’en a plus le droit. La censure populaire massive peut soutenir les motions parlementaires dans une multiplicité d’actions. Et le vote du 15 mars, à l'occasion des élections municipales, peut être le moyen avec l’utilisation du bulletin de vote où figurent des candidats communistes d’une puissante censure de gauche dans les urnes. 
 
 
Municipales

Déjà la campagne électorale des élections municipales était très peu médiatisée. Très peu ou pas de débat sauf sur la situation de Paris qui retient l’attention des grands journaux et des radios et télévision.
 
Ajoutons que le niveau des débats est placé sur les enjeux de la droite extrême : on ne parle plus de choix entre grands projets sociaux, démocratiques ou environnementaux ; l’accent est mis sur la sécurité et la propreté comme si ces enjeux ne dépendaient pas des moyens du service public et de choix plus généraux.
 
La quinzaine qui s’annonce, avec la crainte de la progression de l’épidémie qui ralentit voire fait arrêter la campagne électorale, sera préjudiciable au débat démocratique. Elle peut même conforter de l’abstention. La vigilance s’impose donc.
 
 
Montée de l'extrème droite en Europe
 
J’ai consacré mon éditorial de la semaine dans L’Humanité Dimanche aux attentats racistes et xénophobes qui ont endeuillés l’Allemagne. Plus généralement, à la peste brune qui infeste le continent européen.
 
Elle est chaque jour alimentée par des campagnes des partis de droite et du parti présidentiel reprenant des thèses de l’extrême droite et le refus d’écouter la majorité populaire qui refuse la contreréforme des retraites ou encore ce qui est négocié dans le dos des citoyens.
 
C’est le cas du contenu de la nouvelle réforme de la politique agricole commune en discussion à la Commission européenne et au Parlement européen.
 
C’est aussi le cas des négociations secrètes entre la Commission européenne et l’administration de M. Trump pour un nouveau projet de libre-échange transatlantique contre notre agriculture et la sécurité sanitaire, la sécurité environnementale et l’emploi agricole.

 

deux combats la reforme et le virus

Le 02/03/2020

le  coronavirus  moins  dangereux   

que  la  reforme  des  retraites  

je choisis  la  priorité  la  plus 

destructive en perte  de  vie 

en  manifestant  a  plus de  cinq  milles 

 

pour le retrait de cette mauvaise reforme

Le 02/03/2020

a  besançon
Mes camarades,
Rassemblement aujourd'hui à 17h30 devant la préfecture de Besac , pour dénoncer le passage en force du 49/3 au sujet des retraites.
Comme on pouvait s'y attendre après soi-disant de 2 ans de concertation, le gouvernement qui est aux abois, montre une nouvelle fois son côté autoritaire, et le mépris qu'il a pour la grande majorité de la population qui est contre ce projet.
D'autres choix de société sont possibles.
Faisons battre en retraite ce gouvernement.
Fraternellement. José Aviles

 

carmen et la crise

Le 01/03/2020

http://www.youtube.com/embed/tj6qta_9PaM?rel=0

 

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