vertu1
SOUVENIR D4UNMILITANT OUBLIE
Le 30/07/2019
j'ai milité avec Gilbert Vicky à menuiserie Fauveau entre de 1954 à 1955 périodes où les patrons bisontins voulaient imposer le travail aux pièces; comme je savais être le mieux payé dans l'entreprise en accord avec Gilbert nous avons diffusé ma feuille de paye, et avec l'union locale de Besançon et le responsable du bâtiment Michel Guillemin nous avons imposé " travail égal salaire égale " position que la Cftc ou Cfdt voulait le travail aux pièces et qui finir par rejoindre la position de la cgt, Gilbert était un convaincu le patron l'appréciait, lui ancien chef de district de la Sncf; je fu licencier à la suite de plusieurs grèves locales du bâtiment il n'a à cette période rien manqué luttes pour la paix et pour l'emancipation du monde ouvrier
la photo a une réunion des retraités de Besançon et une autre pour la venue de Kroutchef en France il savait faire la distinction entre la cgt et le Parti politique ce qu'appréciaient les syndiqués cgt
1963 : grandes grèves dans le secteur minier. il manifestait au premier rang
1953 : grandes grèves dans la fonction publique, perceptibles aussi dans le privé, contre le projet du gouvernement de retarder l'âge de la retraite pendant l'été. Le projet est retiré ; pour la retraite il n'était pas le dernier à chaque fois que je trouvais dans la rue pour manifester je le trouvais au milieu de tous GILBERT souvent voulait que nos souvenirs de la période de l'occupant nazi et nos luttes nous obligent à les consignés dans la memoir collective
DEUX DATE QUI ON MARQUEES MA VIE 16 juillet 1936 mort de mon père sous son cylindre et le dimanche 26 septembre 1943 l'annonce de l'arrestation du groupe guy Mocquet je sus que MON AMI Fertet en faisait partie je me suis jamais remis de son exécution
Gilbert VICKY
Né en 1925, il quitte l’éco-le (obligatoire jusqu’à 14 ans) en 1939. Son certificat d’étude en poche, il entre en apprentissage en menuiserie. Les écoles techni-ques n’existant pas ou peu à cet-te époque, on faisait son appren-tissage « sur le tas » chez un pa-tron.
Il travaille à Pontarlier à l’entreprise de menuiserie Mocky. Ses genoux défaillants (il posait beaucoup de parquet) l’obligent à chercher ailleurs. A Besançon, ouvrier d’entretien aux Monts Jura, il prend vite sa carte à la CGT et milite dans le bâti-ment.
C’était un militant de base, toujours volontaire pour les distributions, les collages, le « boitage ». Sportif, il courrait le 10 000 m sur les stades dans les années 1940. Ses pointes remises au « crochet », il continue à parcourir des centaines de kilomètres à pied avec ses petits escarpins de compéti-tion, à tel point qu’il connaissait comme personne les coins et recoins des deux villes qui lui étaient chères : Pontarlier et Besançon.
Il formait avec Gisèle sa femme un couple généreux. Ils connaissaient tout le monde au marché de Palente et les primeurs du marché des tilleuls chaque semaine n’hésitaient pas à brancher leurs appareils électriques sur son compteur au 2è étage de son immeuble. On a tous apprécié sa bonne humeur, son dévouement et son action pour la classe ouvriè-re.
Salut Gilbert nous te remercions
Guy JODON
ce texte gilbert l'aurait diffusé
LICENCIEMENT ABUSIF,
AMI PATRON FAIS TOI PLAISIR.
Très cher patron, la tête d'un de tes employés ne te revient plus. Tu aimerais bien bouter hors de ton entreprise, cet affreux syn-dicaliste qui ne manque jamais de râler à chaque fois que tu t'autori-ses quelques bien compréhensi-bles libertés avec le Code du tra-vail ?
Mais voilà, ce rabat-joie est un excellent professionnel. Le bougre reste correct et tu n'as rien à lui reprocher dans son travail.
Qu'à cela ne tienne ! Le gouver-nement a encore pensé à toi.
Grâce aux Ordonnances, les prud'hommes n'ont plus grand chose à dire. Les indemnités pour licenciement abusif sont plafon-nées. Tu peux donc savoir dès maintenant le coût maximum d'une mise à la porte, sans motif sérieux.
Sur le site internet du gouverne-ment, à l'adresse : www.service-public.fr/simulateur/calcul/bareme-indemnites-prudhomales
il te suffira d'entrer l'ancienneté de l'employé et la taille de ton entre-prise (plus ou moins 11 salariés) et tu sauras combien ça pourra te coûter. Tu verras, le risque est devenu très raisonnable. Dans bien des cas, on aurait tort de s'en priver...
Alors, on dit merci qui ?
Merci Bérangère !..
Et toi, petit employé qui prête un peu trop l'oreille aux propos du syndicaliste, va donc voir toi aussi le site de notre service public. Tu pourras calculer combien vaudrait ton propre licenciement. Puis tu compareras la somme avec le chiffre d'affaires de ta future ex-entreprise. Tu verras qu'il y a de quoi rabaisser ton caquet.
En pensant à tous les chômeurs qui attendent dehors, tu compren-dras vite où est ton intérêt. Alors, si ton patron sort un peu trop sou-vent des clous, pardonne-lui. Après tout, ce n'est qu'un être hu-main. Tu peux bien en accepter les défauts.
De toute façon, tu ne peux pas t'en débarrasser et nous n'avons pas prévu de sanctions automati-ques en cas de mauvais compor-tement de sa part. Mais tu peux toujours rêver...
Commentaires textes : Écrire
SOUVENIR D4UNMILITANT OUBLIE
Le 30/07/2019
j'ai milité avec Gilbert Vicky à menuiserie Fauveau entre de 1954 à 1955 périodes où les patrons bisontins voulaient imposer le travail aux pièces; comme je savais être le mieux payé dans l'entreprise en accord avec Gilbert nous avons diffusé ma feuille de paye, et avec l'union locale de Besançon et le responsable du bâtiment Michel Guillemin nous avons imposé " travail égal salaire égale " position que la Cftc ou Cfdt voulait le travail aux pièces et qui finir par rejoindre la position de la cgt, Gilbert était un convaincu le patron l'appréciait, lui ancien chef de district de la Sncf; je fu licencier à la suite de plusieurs grèves locales du bâtiment il n'a à cette période rien manqué luttes pour la paix et pour l'emancipation du monde ouvrier
la photo a une réunion des retraités de Besançon et une autre pour la venue de Kroutchef en France il savait faire la distinction entre la cgt et le Parti politique ce qu'appréciaient les syndiqués cgt
1963 : grandes grèves dans le secteur minier. il manifestait au premier rang
1953 : grandes grèves dans la fonction publique, perceptibles aussi dans le privé, contre le projet du gouvernement de retarder l'âge de la retraite pendant l'été. Le projet est retiré ; pour la retraite il n'était pas le dernier à chaque fois que je trouvais dans la rue pour manifester je le trouvais au milieu de tous GILBERT souvent voulait que nos souvenirs de la période de l'occupant nazi et nos luttes nous obligent à les consignés dans la memoir collective
DEUX DATE QUI ON MARQUEES MA VIE 16 juillet 1936 mort de mon père sous son cylindre et le dimanche 26 septembre 1943 l'annonce de l'arrestation du groupe guy Mocquet je sus que MON AMI Fertet en faisait partie je me suis jamais remis de son exécution
Gilbert VICKY
Né en 1925, il quitte l’éco-le (obligatoire jusqu’à 14 ans) en 1939. Son certificat d’étude en poche, il entre en apprentissage en menuiserie. Les écoles techni-ques n’existant pas ou peu à cet-te époque, on faisait son appren-tissage « sur le tas » chez un pa-tron.
Il travaille à Pontarlier à l’entreprise de menuiserie Mocky. Ses genoux défaillants (il posait beaucoup de parquet) l’obligent à chercher ailleurs. A Besançon, ouvrier d’entretien aux Monts Jura, il prend vite sa carte à la CGT et milite dans le bâti-ment.
C’était un militant de base, toujours volontaire pour les distributions, les collages, le « boitage ». Sportif, il courrait le 10 000 m sur les stades dans les années 1940. Ses pointes remises au « crochet », il continue à parcourir des centaines de kilomètres à pied avec ses petits escarpins de compéti-tion, à tel point qu’il connaissait comme personne les coins et recoins des deux villes qui lui étaient chères : Pontarlier et Besançon.
Il formait avec Gisèle sa femme un couple généreux. Ils connaissaient tout le monde au marché de Palente et les primeurs du marché des tilleuls chaque semaine n’hésitaient pas à brancher leurs appareils électriques sur son compteur au 2è étage de son immeuble. On a tous apprécié sa bonne humeur, son dévouement et son action pour la classe ouvriè-re.
Salut Gilbert nous te remercions
Guy JODON
ce texte gilbert l'aurait diffusé
LICENCIEMENT ABUSIF,
AMI PATRON FAIS TOI PLAISIR.
Très cher patron, la tête d'un de tes employés ne te revient plus. Tu aimerais bien bouter hors de ton entreprise, cet affreux syn-dicaliste qui ne manque jamais de râler à chaque fois que tu t'autori-ses quelques bien compréhensi-bles libertés avec le Code du tra-vail ?
Mais voilà, ce rabat-joie est un excellent professionnel. Le bougre reste correct et tu n'as rien à lui reprocher dans son travail.
Qu'à cela ne tienne ! Le gouver-nement a encore pensé à toi.
Grâce aux Ordonnances, les prud'hommes n'ont plus grand chose à dire. Les indemnités pour licenciement abusif sont plafon-nées. Tu peux donc savoir dès maintenant le coût maximum d'une mise à la porte, sans motif sérieux.
Sur le site internet du gouverne-ment, à l'adresse : www.service-public.fr/simulateur/calcul/bareme-indemnites-prudhomales
il te suffira d'entrer l'ancienneté de l'employé et la taille de ton entre-prise (plus ou moins 11 salariés) et tu sauras combien ça pourra te coûter. Tu verras, le risque est devenu très raisonnable. Dans bien des cas, on aurait tort de s'en priver...
Alors, on dit merci qui ?
Merci Bérangère !..
Et toi, petit employé qui prête un peu trop l'oreille aux propos du syndicaliste, va donc voir toi aussi le site de notre service public. Tu pourras calculer combien vaudrait ton propre licenciement. Puis tu compareras la somme avec le chiffre d'affaires de ta future ex-entreprise. Tu verras qu'il y a de quoi rabaisser ton caquet.
En pensant à tous les chômeurs qui attendent dehors, tu compren-dras vite où est ton intérêt. Alors, si ton patron sort un peu trop sou-vent des clous, pardonne-lui. Après tout, ce n'est qu'un être hu-main. Tu peux bien en accepter les défauts.
De toute façon, tu ne peux pas t'en débarrasser et nous n'avons pas prévu de sanctions automati-ques en cas de mauvais compor-tement de sa part. Mais tu peux toujours rêver...
Commentaires textes : Écrire
a qoi sert nos impots
Le 25/07/2019
autres taxes soit 93 euros sur 1000 euros
1000 EUROS DE depense public charge de la dette 572 euros armement 66 euros
Commentaires textes : Écrire
lettre de cuba
Le 25/07/2019

Les nouveautés depuis le 18 juillet 2019
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La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChères Amies, Chers Amis, Lorsque vous lisez ces lignes, ce 25 juillet, c’est demain, le 26 juillet, que Cuba célèbrera sa fête nationale. Le 26 juillet est une fête nationale à Cuba car c’est le 26 juillet 1953 qu’eut lieu l’attaque de la caserne de la Moncada, évènement qui marque le début des luttes révolutionnaires qui viendront à bout de la dictature de Batista le 1er janvier 1959 et dont Cuba fête cette année le 60e anniversaire. La caserne de la Moncada est alors la principale place forte de la région de Santiago de Cuba. Les 123 jeunes assaillants, sous la conduite de Fidel Castro, qui a 26 ans, veulent profiter de l’effet de surprise pour lancer leur attaque, une nuit de carnaval en cette période estivale de cette ville de l’orient de Cuba. L’attaque est un échec, face aux 400 soldats de la caserne, et la moitié des assaillants est tuée. Fidel Castro est arrêté et il sera condamné à 15 ans de prison après avoir, comme jeune avocat, assuré lui-même sa défense, avec une plaidoirie qui garde encore aujourd’hui une grande acuité : « Je vous avertis que tout ne fait que commencer. Si dans vos âmes il y a encore un brin d’amour pour la patrie, pour l’humanité, pour la justice, alors écoutez-moi avec attention. Je sais que vous allez me contraindre au silence pendant de nombreuses années. Je sais que vous ferez tout en votre pouvoir pour cacher la vérité. Je sais que la conspiration contre moi visera à ce que je passe à l’oubli. Mais ma voix ne s’éteindra pas pour autant : elle prend toujours plus de force dans ma poitrine lorsque je me sens seul et elle apporte à mon cœur toute la chaleur que lui nient les âmes lâches. Lorsque vous jugez un accusé pour vol qualifié, Honorables Juges, vous ne lui demandez pas combien de temps il est sans travail, combien d’enfants il a, quels jours de la semaine il a mangé et ceux où il n’avait rien à manger. Vous ne vous préoccupez pas du tout des conditions sociales de l’environnement dans lequel il vit. Vous les envoyez en prison sans plus de considération. Par contre, vous ne voyez pas les riches qui mettent le feu à leur commerce et à leur boutique pour réclamer des polices d’assurance, même si, dans ces feux, des êtres humains y périssent. Ils ont suffisamment d’argent pour payer des avocats et corrompre les juges. Vous envoyez en prison le malheureux qui vole parce qu’il a faim, mais aucun, des centaines de voleurs qui s’emparent de millions à l’État, ne passera une seule nuit derrière les barreaux. Vous mangez avec eux à la fin de l’année dans quelque lieu aristocratique et ils ont ainsi votre respect. Je terminerai ma plaidoirie d’une manière peu commune à certains magistrats en ne demandant pas la clémence de ce tribunal. Comment pourrais-je le faire alors que mes compagnons subissent en ce moment une ignominieuse captivité sur l’île des Pins ? Je vous demande simplement la permission d’aller les rejoindre, puisqu’il est normal que des hommes de valeur soient emprisonnés ou assassinés dans une République dirigée par un voleur et un criminel. Condamnez-moi, cela n’a aucune importance. L’histoire m’absoudra. » Sous la pression populaire, Fidel Castro sera amnistié et exilé en 1955. Il créera ensuite le mouvement du 26 juillet, et le M-26, comme il sera appelé, deviendra le principal foyer des guérilleros anti-Batista, jusqu’à la victoire finale de janvier 1959. Et c’est ainsi que le 26 juillet deviendra la fête nationale à Cuba. Que ce petit rappel historique ne vous empêche pas de découvrir les nombreux articles de notre site qui parlent de la réalité actuelle de Cuba. Bonne lecture et bonnes vacances pour ceux qui y sont ! Michel Humbert, |
Commentaires textes : Écrire
ALBERT LAURENT M4A ENVYER CE POEME
Le 20/07/2019
A tous les jeunes qu'on a connus… avant
Et qui sont des vieillards... maintenant !
A toutes ces filles jadis si coquettes
Maintenant en maison de retraite.
Pour nous souvenir, prenons un instant
Tant qu'il en est vraiment encore temps !
A tous ces garçons, hier si charmants
Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants,
A toutes ces filles en mini-jupettes
Ridées désormais comme des poires blettes,
J'envoie ce message important
Pour nous moquer un peu de nos tourments.
On vieillit, on vieillit,
On est de plus en plus raplati, raplati.
On a la mémoire comme une passette
On a du mal pour enfiler nos chaussettes.
On est tout rabougri, déjà amorti,
On oublie même parfois ses anciens amis.
A tous mes virtuels correspondants
Qui sont chaque jour devant leur écran
A tous mes amis qui, par internet,
M'envoient souvent des "blagounettes",
Je souhaite qu'encore longtemps
Nos échanges soient récurrents.
Amitiés à tous !
Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se rappeler
que c'est un privilège refusé à beaucoup
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