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lettre de pattrik le hyaric
Le 15/07/2019
Traité entre Union européenne et le Mercosur
Qu’est-ce que l’accord avec le Mercosur ?
L’accord avec le Mercosur est un grand accord commercial avec les géants agricoles d’Amérique du Sud regroupés dans un bloc commercial qui rassemble le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay et le Paraguay. Il crée une vaste zone commerciale Union européenne - Mercosur qui englobera 800 millions de personnes. Dans cette zone 93% des produits sud-américains pourront rentrer sur le territoire européen sans restrictions et droit de douanes et 91% de produits européens pourront le faire dans l’autre sens. Il permettra aussi un accès facilité aux marchés publics sud-américains et services tels que télécommunications et transports.
Pour les exportateurs européens de services ou de produits industriels comme l’automobile, les machines-outils, ou la chimie c’est une bonne nouvelle, car ce sont à terme 4 milliards d’euros de droites de douanes en moins qu’ils auront à payer, c’est aussi autant de perdu pour les États sud-américains et la contrepartie demandée par le Mercosur est lourde de conséquences.
Par cet accord nous transférons une partie de notre souveraineté alimentaire au Mercosur et tournons définitivement le dos au modèle de l’agriculture paysanne qui sera soumis à une concurrence sud-américaine imbattable.
Il confirme une tendance entamée avec l’accord avec le Canada et le Japon : celui de la segmentation de notre agriculture. Nous aurons d’un côté une agriculture à haute valeur ajoutée avec des appellations européennes protégées (comme le Roquefort, le jambon de Parme, la Feta...) exportées plus facilement au Mercosur ; et de l’autre côté une agriculture de produits de base, les céréales, les viandes que nous sous-traitons aux géants agricoles en échanges de l’ouverture de leurs marchés.
La Commission a beau jeu d’annoncer que 351 appellations européennes seront légalement protégées dans les pays du Mercosur, mais pour tous les petits éleveurs français qui font des viandes de qualité sans être couverts par ces appellations c’est la fin face aux géants sud-américains, comme le groupe brésilien JBS, premier producteur de viandes au monde.
Au final on peut résumer cet accord à des voitures allemandes contre du bœuf brésilien élevé sur des pâturages conquis sur la forêt amazonienne.
Peut-on croire à la « vigilance » de Macron ?
Non car les concessions sur l’agriculture ont déjà été faites sur le bœuf il y un an lorsque le gouvernement français n’a pas bloqué l’offre de la Commission d’un quota de 99 000 tonnes de bœuf sud-américain sans droits de douanes. Les producteurs agricoles du Mercosur sont déjà très bien structurés pour l'export, donc ils pourront très rapidement occuper les marchés obtenus et les inonder. Face à cela les mécanismes européens de protection sont beaucoup trop lents, et les petits producteurs européens déjà trop fragilisés par la libéralisation des marchés agricoles. C’est leur mort assurée.
Pareil pour l’environnement, le Président Macron et la Commission peuvent clamer autant qu’ils le veulent que les parties signataires s’engagent à respecter les accords de Paris, les chapitres « développement durable » des accords de commerce de la Commission ne contiennent aucune obligation légale environnementale, contrairement aux parties commerciales. Enfin qu’attendre de son interlocuteur brésilien, Jair Bolsonaro élu avec le soutien de l’agro-business et dont les premiers actes au pouvoir ont été de défaire les protections environnementales et de faciliter la déforestation de l’Amazonie ?
Anti-démocratique ?
Côté sud-américain l’aboutissement des négociations est le fait de deux hommes. Jair Bolsonaro est arrivé au pouvoir au Brésil après un coup d’État judiciaire qui a enfermé Lula en prison avec le soutien des lobbys évangélistes et des gros producteurs agricoles. Mauricio Macri le président argentin va lui surement perdre les élections face à Christina Fernandez Kirchner et se hâte de signer cet accord avant de quitter le pouvoir.
Cet accord doit encore être validé par le Parlement européen et l’Assemblée nationale. Pour notre agriculture, pour la lutte contre la déforestation en Amazonie, pour le respect de la démocratie en Amérique du Sud comme en Europe nous devons l’arrêter.
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Le 15/07/2019

Les nouveautés depuis le 4 juillet 2019
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La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChères Amies, Chers Amis, Pendant les nombreuses années qui ont suivi la Révolution de 1959, l’économie cubaine pour la production de biens et les services à la population était d’Etat, les personnes y travaillant étant donc employées par l’Etat. Si cette forme d’organisation a été nécessaire dans le contexte difficile qui à suivi la Révolution, elle a aussi montré ces limites. Une motivation faible, un manque d’initiative, voir une certaine irresponsabilité, étaient les carences notables qui marquaient le fonctionnement des services rendus à la population, notamment dans les domaines du service à la personne et elles généraient une insatisfaction. Face à ce constat, le gouvernement a décidé de développer le travail en compte propre. C’est-à-dire une activité hors de celles gérées par l’Etat. Ce développement a été spectaculaire, puisque aujourd’hui, à fin mai 2019, plus de 605 900 cubaines et cubains travaillent en compte propre, c’est-à-dire à leur compte, en n’étant donc plus employés par l’état. 32% sont des jeunes, 35% des femmes, et même 10% sont des retraités. 65% se concentrent dans les grandes villes cubaines. Les activités les plus représentées dans le travail en compte propre sont l’élaboration et la vente d’aliments, le transport de charge et de voyageurs, la location de maisons et de chambres, et les services dans le secteur des télécommunications. D’autres domaines comme les services de beauté, coiffure, manucure, et la production et la vente d’articles de consommation sont aussi bien développés. La nouvelle constitution adoptée par la population cubaine fin 2018 a entériné cette forme de travail. Des règles aussi ont été adoptées afin d’encadrer ce travail en compte propre, avec notamment les secteurs autorisés, et la participation financière par les impôts à payer. Et c’est ce sujet qu’a abordé la Ministre du Travail et de la Sécurité Sociale, Margarita Gonzalez Hernandez, à l’occasion d’une session de travail et de débat de la Commission des Affaires Economiques de l’Assemblée Nationale Cubaine. Après avoir détaillé les nouvelles règles adoptées en décembre 2018 pour perfectionner le travail en compte propre elle a déclaré que « persistent des déficiences dans le système d’organisation et de contrôle de ces activités ». Ainsi si plus de 186 000 nouvelles inscriptions en compte propre ont été enregistrées entre décembre et mai, près de 77 000 ont disparu, soit de leur propre volonté mais aussi surtout pour non respect des obligations fiscales, le paiement des impôts. C’est bien les moyens des autorités dans le contrôle et l’accompagnement des activités qui sont pointées, et les autorités locales doivent déployer des efforts pour que ce secteur, aujourd’hui essentiel dans les services à la population cubaine continue son développement. Il s’agit donc de combattre l’indiscipline et les irrégularités, et aussi d’aider par une bonne formation ceux qui se lancent dans l’activité en compte propre. Au moment où le blocus imposé par les Etats-Unis se renforce, Cuba doit assurer le développement de son économie et des services rendus aux habitants. Le secteur d’activité en compte propre est un moyen décisif pour cela. Lors de notre prochain Forum de la Coopération que nous tiendrons pendant la Fête de l’Humanité les 13, 14, 15 septembre, nous pourrons échanger avec vous sur tous ces sujets. Nous reviendrons sur le programme et les thèmes que nous y aborderons avec la présence annoncée d’Abel Prieto, ancien Ministre de la Culture de Cuba. En attendant, je vous laisse découvrir les brèves et nombreux articles de notre site qui parle de la réalité cubaine. Bonne lecture ! Michel Humbert, |
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Le 15/07/2019

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La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChères Amies, Chers Amis, Pendant les nombreuses années qui ont suivi la Révolution de 1959, l’économie cubaine pour la production de biens et les services à la population était d’Etat, les personnes y travaillant étant donc employées par l’Etat. Si cette forme d’organisation a été nécessaire dans le contexte difficile qui à suivi la Révolution, elle a aussi montré ces limites. Une motivation faible, un manque d’initiative, voir une certaine irresponsabilité, étaient les carences notables qui marquaient le fonctionnement des services rendus à la population, notamment dans les domaines du service à la personne et elles généraient une insatisfaction. Face à ce constat, le gouvernement a décidé de développer le travail en compte propre. C’est-à-dire une activité hors de celles gérées par l’Etat. Ce développement a été spectaculaire, puisque aujourd’hui, à fin mai 2019, plus de 605 900 cubaines et cubains travaillent en compte propre, c’est-à-dire à leur compte, en n’étant donc plus employés par l’état. 32% sont des jeunes, 35% des femmes, et même 10% sont des retraités. 65% se concentrent dans les grandes villes cubaines. Les activités les plus représentées dans le travail en compte propre sont l’élaboration et la vente d’aliments, le transport de charge et de voyageurs, la location de maisons et de chambres, et les services dans le secteur des télécommunications. D’autres domaines comme les services de beauté, coiffure, manucure, et la production et la vente d’articles de consommation sont aussi bien développés. La nouvelle constitution adoptée par la population cubaine fin 2018 a entériné cette forme de travail. Des règles aussi ont été adoptées afin d’encadrer ce travail en compte propre, avec notamment les secteurs autorisés, et la participation financière par les impôts à payer. Et c’est ce sujet qu’a abordé la Ministre du Travail et de la Sécurité Sociale, Margarita Gonzalez Hernandez, à l’occasion d’une session de travail et de débat de la Commission des Affaires Economiques de l’Assemblée Nationale Cubaine. Après avoir détaillé les nouvelles règles adoptées en décembre 2018 pour perfectionner le travail en compte propre elle a déclaré que « persistent des déficiences dans le système d’organisation et de contrôle de ces activités ». Ainsi si plus de 186 000 nouvelles inscriptions en compte propre ont été enregistrées entre décembre et mai, près de 77 000 ont disparu, soit de leur propre volonté mais aussi surtout pour non respect des obligations fiscales, le paiement des impôts. C’est bien les moyens des autorités dans le contrôle et l’accompagnement des activités qui sont pointées, et les autorités locales doivent déployer des efforts pour que ce secteur, aujourd’hui essentiel dans les services à la population cubaine continue son développement. Il s’agit donc de combattre l’indiscipline et les irrégularités, et aussi d’aider par une bonne formation ceux qui se lancent dans l’activité en compte propre. Au moment où le blocus imposé par les Etats-Unis se renforce, Cuba doit assurer le développement de son économie et des services rendus aux habitants. Le secteur d’activité en compte propre est un moyen décisif pour cela. Lors de notre prochain Forum de la Coopération que nous tiendrons pendant la Fête de l’Humanité les 13, 14, 15 septembre, nous pourrons échanger avec vous sur tous ces sujets. Nous reviendrons sur le programme et les thèmes que nous y aborderons avec la présence annoncée d’Abel Prieto, ancien Ministre de la Culture de Cuba. En attendant, je vous laisse découvrir les brèves et nombreux articles de notre site qui parle de la réalité cubaine. Bonne lecture ! Michel Humbert, |
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Lettre de cuba
Le 27/06/2019

Les nouveautés depuis le 20 juin 2019
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La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChères Amies, Chers Amis, Le Président Donald Trump poursuit son objectif de destruction de la société cubaine : blocus aggravé, Loi Helms Burton, mesures visant à l’interdiction à la quasi-totalité de la population des États-Unis de visiter Cuba et de connaître sa population, sa culture… De par le monde, des voix s’élèvent pour protester et demander l’annulation de ces sanctions illégales, inhumaines, immorales, cruelles pour la population de l’Île. Ces voix se doivent de s’amplifier y compris dans notre pays, au plus haut niveau de l’État. Nous y prenons notre part. Mais comme le déclarait le Président cubain, si nous n’avons pas le pouvoir de décréter la fin du blocus, obstacle fondamental au développement du pays, nous devons nous concentrer sur ce qui dépend de nous tous : intelligence, créativité et efforts. Comment mieux utiliser ce dont nous disposons qui généralement est quinze ou vingt fois moins que ce qui est demandé, faire face et surmonter les difficultés engendrées par les mesures imposées par les États-Unis. Et cela sans évacuer les difficultés internes. Trouver des solutions sures et spécifiques à tous les problèmes, en surmontant ce qu’il n’a pas hésité à qualifier de « blocus interne ». Jointe à la défense, la tache fondamentale de la révolution aujourd’hui, c’est l’économie ». Développement de la production intérieure afin de limiter les importations, et répondre mieux aux besoins de la population, favoriser les investissements étrangers utiles, de promouvoir l’autosuffisance municipale. Et élaborer le plan national 2020 en partant des entreprises, publiques et privées ce qui nécessite un changement de mentalité. Et dans le même temps, avec la même volonté, nos amis cubains mettent en place leur nouvelle constitution ! D’une part rédaction et débats des députés dans toutes les provinces de la nouvelle loi électorale, qui sera soumise au vote de l’assemblée nationale le 13 juillet prochain, session qui sera précédée de la réunion de l’ensemble des commissions de travail les 8, 9 et 10 juillet. La nouvelle constitution prévoit entre autres que six mois après sa promulgation, une nouvelle loi électorale sera votée qui réglera l’élection future des députés à l’Assemblée Nationale (c’est-à-dire notamment leur nombre), l’élection de son Président, Vice-Président et Secrétaire, le Conseil d’État (nombre de membres) et le Président et le Vice-Président de la République. D’autres dispositions seront examinées et votées lors de la réunion du 13 juillet et qui concerne notamment la nouvelle organisation territoriale qui prévoit notamment un renforcement du rôle et des compétences des communes. Un travail sérieux, comme pour l’élaboration de la Constitution, un exercice démocratique grandeur nature. Je serais tenté de conclure en citant un proverbe qui je crois nous vient d’Afrique : « Les chiens aboient, la caravane passe ! » Bonne lecture, Roger Grévoul |
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Lettre de cuba
Le 20/06/2019

Les nouveautés depuis le 13 juin 2019
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La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChères Amies, Chers Amis, Comme nous l’avons souvent expliqué, l’éducation à Cuba est un domaine où ce pays fait la preuve que, même avec des moyens limités, quand il y a une grande volonté politique, il est possible d’offrir à chaque enfant la possibilité d’accéder, sans discrimination, au meilleur pour son développement personnel. Depuis la Révolution, les progrès ont été considérables, avec l’alphabétisation massive de la population, Cuba est un des pays du monde où il y a le moins d’analphabètes, et avec une école gratuite pour tous les enfants, jusqu’au plus haut niveau d’études. L’Etat cubain consacre d’importants moyens pour que dans chaque contrée du pays, tout enfant en âge scolaire ait un enseignant, ou une enseignante. L’école est obligatoire, et ainsi il peut y avoir dans des lieux reculés, un professeur pour quelques élèves, afin que chaque enfant reçoive la formation scolaire à laquelle il a droit, ce droit étant garanti par la constitution. Parfois il y a même un panneau solaire pour alimenter un téléviseur qui permet de recevoir la chaine de télévision cubaine, Canal Educativo, laquelle, chaque jour, du lundi au samedi, retransmet des programmes qui servent de support aux enseignants. En cette fin d’année scolaire les élèves et les étudiants passent les examens qui contrôlent les connaissances acquises. Ainsi, même au niveau primaire, les élèves ont un contrôle écrit et oral où ils reçoivent une évaluation, comme excellent ou très bien, par exemple…, si c’est un bon ou une bonne élève… Cuba a beaucoup investi dans le domaine pédagogique pour former des enseignants de très bon niveau. Face à un manque de vocation, ou aussi parce que les salaires étaient faibles avec le niveau d’études demandé, l’Etat a augmenté le salaire des enseignants, en le doublant. De même tout est fait pour attirer les élèves vers ce métier. Ainsi, dans une école primaire, à Aguada, dans la province de Cienfuegos, je m’étonnais de voir, pendant la récréation, des élèves jouer au professeur et aux élèves, avec les moyens du bord, bouts de cartons comme tables et planches pour le tableau. Une enseignante m’a expliqué qu’ils favorisaient ce type de jeu pour susciter des vocations… En ce moment se prépare la prochaine rentrée scolaire de septembre. Et hélas, là encore, le blocus imposé et renforcé par l’administration Trump, pose des difficultés à Cuba pour assurer de bonnes conditions matérielles à l’accueil des élèves. Ainsi pour le mobilier scolaire, Cuba est bloquée pour importer les matériaux nécessaires à sa fabrication. La priorité a été donnée aux entreprises de meubles afin d’assurer la réparation des mobiliers, en coordination avec les structures locales. De même Cuba a des difficultés pour acquérir des crayons, des craies, des peintures, des pâtes à modeler, le blocus impactant ces achats. C’est aussi le cas pour les téléviseurs et les ordinateurs indispensables dans chaque école. Du papier est nécessaire, mais lui aussi contraint par le blocus, pour produire les livres scolaires, avec un besoin pour la rentrée 2019-2020 de près de 32,7 millions de livres. A Cuba, tous les élèves portent un vêtement, identique suivant le grade scolaire, et qui est fourni, à prix très faible, aux parents à cette période de l’année. Cet uniforme, pratique ancienne à Cuba, permet d’éviter des différences d’habillement, même si la chaussure non fournie, permet elle de se démarquer parfois avec les marques célèbres que nous connaissons ! Là aussi, par manque de matières premières, et à cause du blocus, la fabrication des uniformes et leur mise en vente pour les familles ont du être retardées, et ceux-ci ne seront distribués dans les écoles points de vente qu’à partir du 1er juillet. A ce jour, 1,5 millions de vêtements sont déjà produits, et il en reste 2,2 millions à fabriquer pour atteindre les 3,7 millions de vêtements qui seront distribués aux familles, les points de vente étant même ouverts le dimanche jusqu’en septembre. Pour sa part la ministre de l’éducation, la Docteure Ena Elsa Velazquez Cobiella, a rappelé que pour la prochaine rentrée scolaire le pays comptera 5813 nouveaux maitres et professeurs diplômés, dont plus de 4000 venant d’écoles pédagogiques, et près de 1200 de l’université. Cuba dispose de 29 écoles pédagogiques, avec 2 nouvelles, et qui accueillent plus de 28 000 étudiants et étudiantes. On le voit, Cuba déploie d’importants efforts pour garantir le droit à une éducation de qualité pour tous ses enfants. Là encore, dans ce domaine, nous devons les aider, par la coopération, comme celle que développe notre association, Cuba Coopération France. Et aussi agir par une juste bataille afin de mettre fin au blocus qu’imposent les Etats-Unis. Je vous laisse découvrir les nombreux articles et brèves de cette semaine et vous en souhaite une bonne lecture. Michel Humbert, |
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