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non a la privatisation des barrage

Le 09/06/2019

 
Chère Madame, cher Monsieur,
 
L'Europe veut obliger la France à privatiser nos barrages ! Il y a trois mois, la Commission de Bruxelles a même envoyé à la France une "mise en demeure" pour la forcer à obtempérer.
 
Mais en réalité, rien n'oblige la France à suivre les injonctions de l'Union européenne !
 
C'est ce qu'un économiste vient d'expliquer dans Le Figaro : la France pourrait tout à fait s'opposer à Bruxelles, et garder le contrôle de ses barrages, en toute légalité : « soit au titre de la "réserve de sûreté" utilisée pour la gestion de l'eau qui alimente les populations ; soit au titre de l'"intérêt stratégique" pour la gestion de barrages qui déterminent la survie d'une région ».
 
Mais pour le moment, le Gouvernement maintient le cap de la soumission : soumission à l'Europe... et soumission aux multinationales, comme Vattenfall, Hyperdrola ou Total, qui convoitent nos barrages pour en tirer de juteux profits…
 
Si nous restons sans réagir, ils vont nous refaire le coup des autoroutes. Avec des conséquences encore plus graves dans le cas des barrages : non seulement, ils nous feront payer plus cher l'électricité... mais en plus, ils chercheront la rentabilité à tout prix, et c'est la sécurité des riverains qui en fera les frais !
 
C'est tout à fait inacceptable !
 
Il faut absolument garder le contrôle de nos barrages.
 
Pour cela, s'il vous plaît, signez la pétition : "Non à la privatisation de nos barrages !"
 
 
 
JE SIGNE LA PETITION
 
 
 
La résistance s'organise partout en France.
 
Dernier exemple : dans les Hautes-Pyrénées, un collectif vient d'être créé sous le nom "Gardons nos barrages".
 
Et dans la Vienne, quelques jours plus tôt, la communauté de communes Vienne et Gartempe a pris position officiellement contre la vente des barrages à des multinationales.
 
Dans ce combat, vous le voyez, les citoyens peuvent compter sur le soutien de nombreux élus.
 
67 000 personnes ont déjà signé la pétition "Non à la privatisation de nos barrages !". Vous aussi, rejoignez-les ! 67 000 personnes, c'est déjà beaucoup. Mais en réalité, c'est l'immense majorité des Français qui ne veulent surtout pas que les barrages soient livrés à des intérêts privés !
 
Le problème, c'est que beaucoup de Français ignorent que le Gouvernement, aux ordres de l'Union européenne, prévoit toujours de privatiser 150 barrages dans les années qui viennent.
 
Il faut absolument le faire savoir aux Français !
 
Alors, s'il vous plaît, signez la pétition.
 
 
 
JE SIGNE LA PETITION
 
 
 
Et ensuite, faites suivre ce message à tous vos contacts, pour les prévenir et pour leur permettre de signer eux aussi la pétition.
 
Et après, n'hésitez pas à partager la pétition sur les réseaux sociaux, pour donner encore plus d'ampleur à la mobilisation :
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Si chaque signataire comme vous parvient à convaincre un seul ami de rejoindre le mouvement, le compteur de la pétition dépassera bientôt les 130 000 soutiens !
 
Il est encore temps de sauver nos barrages. Mais pour forcer le Gouvernement à résister à l'Europe et aux multinationales, il faut que les Français expriment le plus massivement possible leur refus catégorique d'abandonner nos barrages à des intérêts privés.
 
On compte sur vous !
 

 

LETTRE DE Patrick Le Hyaric on n'a plus de deputé europein

Le 30/05/2019

 
Bonjour à chacune et chacun
 
 
 
Mon éditorial de la semaine pour L’Humanité Dimanche porte sur les résultats des élections européennes.
 
 
 
L'éditorial de L'Humanité Dimanche
 
 
 
Le combat continue ! 
 
La disparition du Parti communiste français du Parlement européen est un événement dont il faut mesurer tous les effets et conséquences. Sa présence depuis la création de cette instance en 1979 a permis, malgré les freins institutionnels et le carcan de traités, de faire progresser nombre de combats, et très souvent de révéler des projets négatifs pour la vie quotidienne dont les traités fondamentaux notamment Maastricht et le projet de constitution européenne dès 2004 ou la directive dite « Bolkeintein » par Francis Wurtz. La présence communiste et de ses alliés fut au long de ces décennies reconnue pour son apport dans les luttes sociales et internationalistes et son engagement, certes difficile, à protéger et fédérer le monde du travail et de la culture à l’échelle européenne. Les parlementaires communistes ont été des acteurs décisifs des combats contre tous les traités et directives qui ont consacré la libre concurrence et l’essor de l’intégration capitaliste de la construction européenne. Ils ont fait connaitre les rouages des institutions européennes, les plans qui s’y concoctaient entre Etats et puissances d’argent, offrant arguments et analyses pour les luttes sociales, politiques, environnementales, culturelles.
 
Je ne reviendrai pas ici sur le bilan des deux mandats que j’ai consacré avec toute mon énergie à représenter et défendre nos concitoyens dans cette instance. J’ai à chaque session parlementaire ou réunion de commission importante fait des comptes rendus (toujours disponibles en cliquant ici). Si beaucoup de combats ont été perdus à cause d’un rapport de force défavorable, beaucoup de nos positions, votes et propositions ont permis de faire progresser le débat européen et de peser sur des orientations favorables aux intérêts populaires. La présence des communistes français au Parlement européen était également un point d’appui pour de nombreux militants politiques, associatifs, syndicaux, et nombre d’intellectuels pourchassés dans leur pays, soucieux de tisser des liens avec les forces progressistes au cœur des institutions européennes. C’est à nos camarades palestiniens, kurdes, turcs, d’Amérique latine ou d’Afrique que je pense aujourd’hui qui ne bénéficieront plus, dans la prochaine mandature, du soutien qu’ils jugeaient précieux des parlementaires communistes français.
 
L’absence de représentation parlementaire communiste ne doit pour autant pas signifier l’abandon du combat européen. Il va falloir dans les prochains mois travailler à assurer une présence communiste sous une forme nouvelle et fournir une analyse régulière des enjeux européens en continuant à créer des ponts avec toutes les forces, notamment avec les parlementaires qui siègeront dans le groupe de la Gauche Unitaire Européenne, qui, bien qu’affaiblie dans de nombreux pays, continuent d’œuvrer à une alternative sociale, démocratique et écologique en opposant coopération et solidarité au règne de la concurrence et du profit. J’y consacrerai, avec d’autres, une part de mon temps et de mon engagement pour continuer à tisser le lien d’une histoire qui n’a pas dit son dernier mot.
 
Ces élections européennes ont des résonances importantes sur la vie nationale. Premier scrutin depuis la victoire de M. Macron, il est riche d’enseignements pour ajuster nos positions et préparer l’avenir. C’est avec un regard lucide sur notre échec collectif à rassembler les électeurs sur nos propositions qu’il va falloir analyser ce scrutin si singulier. Le débat doit être approfondi car la tendance à la baisse est régulière par palier depuis les années 1980.
 
Ce scrutin met plus que jamais au grand jour la profondeur de la crise politique qui se manifeste par un niveau élevé du refus de vote malgré un regain de dernières heures. La liste du président de la République ne représente que 11% des inscrits. Les forces politiques inscrites dans l’histoire du pays sont toutes en recul très sérieux dès lors qu’elle se situe en deçà des 10%. La question démocratique portée par le mouvement des « gilets jaunes » reste trop sous-estimée dans les combats populaires. Les causes de la division sanctionnée par tous les électeurs de gauche devront être réfléchies. Nous le leur devons et ils nous le réclament. Mais ceci ne peut faire l’économie, à l’heure prioritaire, d’une première analyse des bouleversements à l’œuvre en France et dans le continent. En effet nous assistons partout dans le monde à des mouvements de fond qui partout mettent en difficulté les forces progressistes et syndicales. La contre-offensive des néo-conservateurs nord-américains depuis Reagan ont aujourd’hui de terribles répliques incarnées dans des mouvements nationalistes et d’extrême droite.
 
Dans notre pays, les classes possédantes se sont soudées pour maintenir leurs positions de pouvoir et imposer leur vision du monde. La bourgeoisie française a une incroyable capacité, éprouvée à de nombreuses reprises, à serrer les rangs quand elle sent ses intérêts menacés. Elle l’a démontré une nouvelle fois dimanche dernier en se rangeant massivement derrière le parti présidentiel après sept mois d’un mouvement social et politique ambivalent, celui des gilets jaunes, d’une intensité inédite qui, en portant haut des revendications pour l’égalité sociale et fiscale, a affolé les classes possédantes et réanimé en conséquence le vieux « parti de l’ordre ». Elle a ainsi affaibli comme jamais le parti traditionnel de la droite qui était depuis plus d’un demi-siècle, sous divers noms, un pilier du paysage politique. Les régions les plus ancrées dans l’histoire contre-révolutionnaire ont ainsi affirmé leur soutien à la politique de destruction méthodique des solidarités nationales, des services publics, du droit du travail, des libertés publiques, toute dédiée au service des intérêts financiers pour pousser l’intégration de la France, ce maillon décisif, à la mondialisation capitaliste. Par la même occasion le positionnement politique du parti présidentiel, initialement placé sur les décombres du Parti socialiste, s’est singulièrement déporté vers la droite. S'il est vrai qu’il y a toujours « une classe derrière l’homme », nul doute que la politique gouvernementale au bénéfice des riches va encore s’amplifier avec en ligne de mire nos retraites, nos service publics, l’affaiblissement du parlement, la casse du statut de la fonction publique pour ouvrir ses mission au marché de l’emploi capitaliste et à ses règles. C’est donc un projet proprement contre-révolutionnaire que portent aujourd’hui les classes dirigeantes et qui, sur les sujets économiques et sociaux, ne tranche pas avec celui proposé par l’extrême droite.
 
Se dessine désormais, si ce n’est un « nouveau monde », un « monde nouveau » où les forces traditionnelles ont laissé place à un duo fomenté de longue date entre les extrêmes-droites et les libéraux. Il faut prendre la mesure de cette nouvelle donne politique et ses implications sur le clivage, toujours vivace dans les consciences et les pratiques, entre la droite et la gauche.
 
La percée de l’écologie politique est un événement considérable dont les conséquences durables sur le paysage politique ne sont, pour l’heure, pas établies, tant il est vrai que ce courant politique est traditionnellement porté par les élections européennes pour retomber comme un soufflet. Cependant, la destruction que nos sociétés envahies par la loi du profit opèrent sur la nature et le vivant suscite une saine et juste inquiétude qui peut être le vecteur d’une politisation nouvelle, notamment dans la jeunesse. L’enjeu principal réside dans notre capacité collective à lier le combat pour l’environnement à la justice sociale pour que l’inquiétude ne se transforme pas en angoisse ou en fatalisme, et n’aille pas non-plus fortifier les fondations du projet de l’extrême droite adepte d’une « écologie des peuples » de sinistre mémoire. Démonstration doit être faite de l’incompatibilité d’une politique écologique avec les traités de libre-échange et les guerres commerciales, et des dangers des récupérations par l’extrême droite des thématiques qui lui sont liées.
 
L’essor continu et l’homogénéisation nouvelle du vote d’extrême droite sur tout le territoire confirme la virulence du virus nationaliste et xénophobe. Il prospère à la faveur des chamboulements extraordinaires que le capital, dans sa dynamique néolibérale, impose aux sociétés : chômage de masse, précarité, délocalisation de la production, nouvelles stratégies impérialistes du capital qui ruinent des pays entiers, multiplication phénoménale des marchandises qui enlaidissent nos sociétés et asservissent les peuples par une consommation pulsionnelle tout en menaçant désormais la coexistence de l’Homme avec son environnement naturel. Malgré un rejet majoritaire du capitalisme, l’alternative au système ne parvient pas se frayer son chemin, et l’hypothèse de son dépassement ne semble pas imprimer dans les consciences et encore moins dans les votes.
 
L’extrême droite s’affirme partout en alternative, non pas au capitalisme, mais à la gestion par les élites libérales du capitalisme mondialisé. Ces dernières ont fait prospérer leur indécente richesse sur des inégalités et une géographie nouvelle qui ôte en permanence aux classes populaires, réduites au rôle de fantassins de la guerre économique, leur pouvoir de décisions, tout en travaillant à leur autonomisation à l’échelle mondiale. Le régime a-démocratique qui est celui des sociétés les plus développées rencontre des résistances qui ne parviennent pas à se traduire en une alternative sociale et solidaire mais qui, au contraire viennent nourrir les passions haineuses et inégalitaires, sans jamais remettre en cause la domination qu’exerce le capital et ses institutions sur nos vies. Incontestablement, l’extrême droite est devenue le réceptacle des souffrances d’une part très importante des milieux populaires qui choisit de s’exprimer par le vote. Ce fait d’une extrême gravité, devrait concentrer l’essentielle de nos analyses et de nos efforts, tant il est porteur de périls et tant il condamne la possibilité d’une alternative majoritaire portée par la défense des intérêts populaires, indispensable à tout processus de transformation sociale démocratique et écologique.
 
L’extrême droite représente une fraction des classes possédantes qui, à l’image de Mme Le Pen, de MM Bannon, Trump, Salvini, Orban, etc…, déploie une stratégie droitière-populiste qui flatte les instincts nationaux pour prendre les rênes du capitalisme et consacrer les inégalités. Mais l’histoire nous enseigne qu’il n’y a pas d’autre finalité à l’extrême droite que la guerre. Elle menace aujourd’hui d’ailleurs partout et les budgets militaires flambent au rythme de l’intensification des guerres commerciales et douanières, et de l’arrivée des extrême-droites dans les gouvernements. Il y a donc urgence à penser le dépassement de cette période historique (à partir des aspirations populaires à faire du neuf) pleine de menaces et à une prise de conscience générale des travailleurs et des citoyens de ses impasses funestes.
 
Le travail devant nous est colossal et ne peut s’effectuer qu’à condition que les motifs de divisions n’ensevelissent pas les positions communes. La qualité du débat doit être à la hauteur de notre responsabilité historique. C’est ce à quoi nos journaux l’Humanité et L’Humanité Dimanche doivent s’employer avec toute l’abnégation requise. C’est un service que nous devons à toutes celles et ceux qui sont inquiets et cherchent les voies de l’unité populaire et de l’émancipation humaine. Nous y reviendrons.
 
Dans ce contexte d’après élections, il y a de quoi être très inquiet par le rouleau compresseur en marche. A peine les urnes rangées que le prix de l’électricité augmente vertigineusement, que les promesses autour de Alstom-General Electric à Belfort ne sont que chiffon de papier, comme ceux de l’après Whirlpool à Amiens ou même d’Ascoval. Dans un autre registre, de nouveaux pas contre la liberté des journalistes à faire leur travail avec la convocation des journalistes du Monde à la DGSI. De ce point de vue, sur chacune de ces questions, les hauts scores de l’extrême droite sont bien utiles au pouvoir macroniste. Nous reviendrons sur chacun de ces enjeux.
 
 
Je vous souhaite une bonne semaine, en restant à votre disposition.

 

lettre de cuba

Le 30/05/2019

Les nouveautés depuis le 23 mai 2019

 


La lettre électronique Hebdo de Cubacoopération

Chères Amies, Chers Amis,

Cette semaine, parlons un peu de nous, de notre association de ses activités.

En avril dernier, nous étions reçus par les autorités de Cienfuegos à l’occasion du 200e anniversaire de leur ville. Nous vous en rendrons compte plus longuement prochainement.

Coïncidence heureuse du calendrier, le Député-Maire Eduardo Coll Rodriguez accompagné de Jesus Rey Novoa, chef des projets de développement local étaient pendant 10 jours et jusqu’à aujourd’hui en transit dans notre pays. Belle opportunité pour qu’ils se transforment en ambassadeurs, avec l’aide de notre association, et qu’ils déploient leurs pouvoirs de conviction, auprès de partenaires, anciens et nouveaux, afin de développer autant que faire se peut des projets concrets de coopération. Dans ce périple de plusieurs milliers de kilomètres, ils bénéficiaient notamment de la présence active et permanente de notre Président Victor Fernandez.

Un rapide survol des nombreux échanges ainsi que des premiers résultats.

Tout d’abord, à Vitry-sur-Seine où ils ont été reçus par Jean-Claude Kennedy, le maire de la ville et notre comité local qui s’est pleinement impliqué dans l’initiative culturelle et les manifestations qui ont eu lieu a l’occasion de la visite de l’artiste de renommée internationale, Santiago Hermès. Dans cette capitale du Street Art, il a pu déployer son talent à l’occasion de la Fête locale des Lilas, et réaliser une œuvre monumentale et des animations avec un groupe d’enfants. Le Maire de Vitry vu le succès remporté a décidé de l’inviter à nouveau l’article en septembre prochain.

Toujours dans le département du Val-de-Marne, le Maire de Bonneuil a reçu la délégation et s’est engagé à poursuivre les différents projets de coopération déjà en crous et pour certains réalisés.

Avec M. le Maire de Noisy-le-Sec, tout d’abord règlement d’un problème concret. La ville a rencontré des difficultés pour l’envoi d’un groupe de 10 jeunes adolescents dans le cadre d’un chantier solidaire. Avec notre soutien le problème sera réglé ! Et la municipalité examine dans quels domaines particuliers elle pourrait rapidement intervenir, pour un des secteurs prioritaires de la ville de Cienfuegos, bien évidemment avec notre appui.

Déplacement plus au sud-est, vers la ville-port de La Seyne-sur-Mer. Rendez-vous avec M. le Maire, en compagnie d’André de Ubeda, ancien délégué général de l’Alliance française à Cuba. Là aussi, accueil chaleureux et désir d’engager une véritable coopération avec Cuba, tenant compte des spécificités de la ville et des besoins de nos amis cubains. Avec l’aide d’André, possibilités de création d’un comité de CCF …

Ce lundi et mardi, participation au Colloque International « Bordeaux et Cuba. Des liens historiques aux coopérations innovantes » organisé dans le cadre des 40 ans de coopération entre l’Université de Bordeaux Montaigne et l’Université Oriente de Santiago de Cuba. Une journée et demie de conférences, débats, rencontres en présence notamment de la Présidente de l’Université, de la Consule Générale de Cuba, du Conservateur de la ville de Santiago de Cuba et d’intellectuels de grandes compétences. Les responsables de Cienfuegos ont présenté les cérémonies de l’anniversaire de la ville et leurs projets d’avenir. Le rédacteur de cet édito a parlé de l’expérience de l’association en matière de coopération.

Le Maire-Adjoint de la ville Marik Fetouh invité d’honneur à Cienfuegos lors de la célébration du 200e anniversaire avait tenu à recevoir en entretien privé le Député-Maire, Jesus Novoa et Victor Fernandez pour évoquer les suites qui pourraient être données en matière de projets à réaliser. Plusieurs pistes ont été envisagées notamment dans les domaines de la culture, du développement de la langue française, du sport en particulier de l’aviron. À la suite, une réception avait lieu à l’intention des participants au colloque et à la délégation cubaine. En marge de tout cela, une réunion informelle a permis de rencontrer une douzaine d’amis de Cuba, décidés pour la plupart à la création d’un comité de Cuba Coopération pour la Grande Aquitaine…à suivre.

Dernière étape avant le départ, entrevue avec M. le Maire de Montpellier, organisée par le secrétaire général de notre comité départemental Henri Sierra. J’apprends en consultant FACEBOOK que "les cités de Cienfuegos et de Montpellier ont décidé de construire des relations de coopération décentralisées sur deux sujets possibles : la culture et le développement économique local. CCF en sera le mobilisateur et le facilitateur du processus".

Le rapide et superficiel compte-rendu de ces rendez-vous de travail, démontre, s’il en était besoin les possibilités existantes dans notre pays pour développer les relations, les échanges, pour la réalisation de projets concrets utiles à la population cubaine.

Nous avons, en nos amis cubains, des interlocuteurs sérieux, compétents, dévoués, chaleureux. Merci cher Eduardo, cher Jesus pour ces dizaines d’heures que vous avez consacrées dans notre pays à nos côtés !

Notre association, ses comités, ses militants ont emmagasiné des acquis solides à déployer pour accompagner toutes celles et tous ceux qui souhaitent s’engager dans ce magnifique travail de coopération.

Roger Grévoul
Président Fondateur de Cuba Coopération France

 

lettre de cuba

Le 30/05/2019

Les nouveautés depuis le 23 mai 2019

 


La lettre électronique Hebdo de Cubacoopération

Chères Amies, Chers Amis,

Cette semaine, parlons un peu de nous, de notre association de ses activités.

En avril dernier, nous étions reçus par les autorités de Cienfuegos à l’occasion du 200e anniversaire de leur ville. Nous vous en rendrons compte plus longuement prochainement.

Coïncidence heureuse du calendrier, le Député-Maire Eduardo Coll Rodriguez accompagné de Jesus Rey Novoa, chef des projets de développement local étaient pendant 10 jours et jusqu’à aujourd’hui en transit dans notre pays. Belle opportunité pour qu’ils se transforment en ambassadeurs, avec l’aide de notre association, et qu’ils déploient leurs pouvoirs de conviction, auprès de partenaires, anciens et nouveaux, afin de développer autant que faire se peut des projets concrets de coopération. Dans ce périple de plusieurs milliers de kilomètres, ils bénéficiaient notamment de la présence active et permanente de notre Président Victor Fernandez.

Un rapide survol des nombreux échanges ainsi que des premiers résultats.

Tout d’abord, à Vitry-sur-Seine où ils ont été reçus par Jean-Claude Kennedy, le maire de la ville et notre comité local qui s’est pleinement impliqué dans l’initiative culturelle et les manifestations qui ont eu lieu a l’occasion de la visite de l’artiste de renommée internationale, Santiago Hermès. Dans cette capitale du Street Art, il a pu déployer son talent à l’occasion de la Fête locale des Lilas, et réaliser une œuvre monumentale et des animations avec un groupe d’enfants. Le Maire de Vitry vu le succès remporté a décidé de l’inviter à nouveau l’article en septembre prochain.

Toujours dans le département du Val-de-Marne, le Maire de Bonneuil a reçu la délégation et s’est engagé à poursuivre les différents projets de coopération déjà en crous et pour certains réalisés.

Avec M. le Maire de Noisy-le-Sec, tout d’abord règlement d’un problème concret. La ville a rencontré des difficultés pour l’envoi d’un groupe de 10 jeunes adolescents dans le cadre d’un chantier solidaire. Avec notre soutien le problème sera réglé ! Et la municipalité examine dans quels domaines particuliers elle pourrait rapidement intervenir, pour un des secteurs prioritaires de la ville de Cienfuegos, bien évidemment avec notre appui.

Déplacement plus au sud-est, vers la ville-port de La Seyne-sur-Mer. Rendez-vous avec M. le Maire, en compagnie d’André de Ubeda, ancien délégué général de l’Alliance française à Cuba. Là aussi, accueil chaleureux et désir d’engager une véritable coopération avec Cuba, tenant compte des spécificités de la ville et des besoins de nos amis cubains. Avec l’aide d’André, possibilités de création d’un comité de CCF …

Ce lundi et mardi, participation au Colloque International « Bordeaux et Cuba. Des liens historiques aux coopérations innovantes » organisé dans le cadre des 40 ans de coopération entre l’Université de Bordeaux Montaigne et l’Université Oriente de Santiago de Cuba. Une journée et demie de conférences, débats, rencontres en présence notamment de la Présidente de l’Université, de la Consule Générale de Cuba, du Conservateur de la ville de Santiago de Cuba et d’intellectuels de grandes compétences. Les responsables de Cienfuegos ont présenté les cérémonies de l’anniversaire de la ville et leurs projets d’avenir. Le rédacteur de cet édito a parlé de l’expérience de l’association en matière de coopération.

Le Maire-Adjoint de la ville Marik Fetouh invité d’honneur à Cienfuegos lors de la célébration du 200e anniversaire avait tenu à recevoir en entretien privé le Député-Maire, Jesus Novoa et Victor Fernandez pour évoquer les suites qui pourraient être données en matière de projets à réaliser. Plusieurs pistes ont été envisagées notamment dans les domaines de la culture, du développement de la langue française, du sport en particulier de l’aviron. À la suite, une réception avait lieu à l’intention des participants au colloque et à la délégation cubaine. En marge de tout cela, une réunion informelle a permis de rencontrer une douzaine d’amis de Cuba, décidés pour la plupart à la création d’un comité de Cuba Coopération pour la Grande Aquitaine…à suivre.

Dernière étape avant le départ, entrevue avec M. le Maire de Montpellier, organisée par le secrétaire général de notre comité départemental Henri Sierra. J’apprends en consultant FACEBOOK que "les cités de Cienfuegos et de Montpellier ont décidé de construire des relations de coopération décentralisées sur deux sujets possibles : la culture et le développement économique local. CCF en sera le mobilisateur et le facilitateur du processus".

Le rapide et superficiel compte-rendu de ces rendez-vous de travail, démontre, s’il en était besoin les possibilités existantes dans notre pays pour développer les relations, les échanges, pour la réalisation de projets concrets utiles à la population cubaine.

Nous avons, en nos amis cubains, des interlocuteurs sérieux, compétents, dévoués, chaleureux. Merci cher Eduardo, cher Jesus pour ces dizaines d’heures que vous avez consacrées dans notre pays à nos côtés !

Notre association, ses comités, ses militants ont emmagasiné des acquis solides à déployer pour accompagner toutes celles et tous ceux qui souhaitent s’engager dans ce magnifique travail de coopération.

Roger Grévoul
Président Fondateur de Cuba Coopération France

 

Le secretaire pcf m'ecrit

Le 28/05/2019

 

Bonjour Roger,

Je tiens à te remercier personnellement de ton engagement dans la très belle campagne électorale que nous venons de mener, avec notre liste « Pour l’Europe des gens contre l’Europe de l’argent ».

 

565 717 électeurs et électrices ont voté Ian Brossat. Ce résultat est évidemment décevant et en-deçà de nos attentes, mais nous pouvons être fiers de notre mobilisation durant des mois, aux côtés de nos candidates et candidats.

 

Avec eux, avec Ian Brossat qui a superbement incarné le visage que nous voulons donner à notre projet, avec Marie-Hélène Bourlard et nos député·e·s européen·ne·s sortant·e·s, nous avons semé des idées et des propositions qui font leur chemin. Nous avons porté les valeurs d'une gauche de combat, celles qui doivent redonner des couleurs à toute la gauche, et nous avons permis à notre parti de renouer ou conforter des liens avec les Français·e·s.

 

Au-delà des rangs du Parti, des syndicalistes, des artistes, des responsables associatifs, des élu·e·s locaux, des militant·e·s de gauche… se sont engagé·e·s publiquement pour notre liste, confirmant que nos propositions et notre démarche de rassemblement rencontrent un écho positif dans toute la gauche et dans le monde du travail.

Ce travail doit être poursuivi car, d'une part notre projet communiste est encore insuffisamment identifié et d'autre part, nous ne sommes pas parvenus à convaincre suffisamment les ouvrier·e·s et employé·e·s.

 

Nous devons cette belle campagne à nos candidates et candidats, qui ont incarné avec enthousiasme ce retour de notre parti dans un scrutin national, et à vous toutes et vous tous. Gardons en tête ces superbes meetings, toutes ces initiatives réussies !

 

Avec humilité mais aussi lucidité, nous allons désormais prendre le temps d’analyser tous les résultats, et en tirer les enseignements tous ensemble. Je t’invite d’ailleurs à participer à ce travail, dans ta section, pour que nos travaux soient le fruit de l’expérience et de la réflexion de toutes et tous.

 

Mais le contexte issu de ces élections nous conduit à ne pas rester l’arme au pied, bien au contraire.

 

D’abord parce que l’essentiel reste à construire pour redonner au Parti communiste l’influence qui doit être la sienne pour viser l’indispensable dépassement du capitalisme et des fléaux qu’il nourrit.

 

Ensuite parce que la situation politique en Europe et en France est lourde de dangers immédiats, avec le score très élevé de l’extrême-droite, avec la recomposition politique orchestrée par le Président de la République pour empêcher l’émergence de toute alternative de transformation sociale à ses politiques ultralibérales, et avec la faiblesse globale de la gauche et les obstacles à la construction de son unité.

 

Tout ce qui a été semé durant cette campagne doit être cultivé dès maintenant. Il est temps d'entrer dans le temps de la reconquête à gauche.


 

Les bras ouverts, continuons à tendre la main à toutes celles et à tous ceux qui n'en peuvent plus de cette France des riches, à toutes celles et à tous ceux qui veulent construire un espoir à gauche, une alternative au capitalisme.

 

Au plaisir de te retrouver bientôt dans l’action,

Bien fraternellement.

 

Fabien Roussel

Secrétaire national





http://www.pcf.fr/

 

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