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NOUS APPRENONS LE DECES DE GUY LAZAR
Le 27/03/2019
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Le 27/03/2019
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une page facebook de citations de philosophes
Le 25/03/2019
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L'arme contre les gilets jaunes
Le 22/03/2019
Vendredi, 22 Mars, 2019
Lionel Venturini et Laurent Mouloud
L’exécutif a décidé de solliciter les militaires de l’opération « Sentinelle » pour prêter main-forte, samedi, aux policiers dans le maintien de l’ordre face aux manifestants. Une décision historique et dangereuse, qui fait l’amalgame entre mouvement social et terrorisme.
Une réponse du pouvoir aussi inédite que dangereuse. La mission antiterroriste militaire « Sentinelle » sera donc mobilisée de manière « renforcée », samedi, dans le cadre de l’acte XIX des gilets jaunes, afin de protéger des bâtiments officiels et autres « points fixes ». Une façon de répondre à la demande de certains syndicats de police en décembre dernier. Mais comment imaginer qu’il n’y aura pas, d’une façon ou d’une autre, confrontation ? C’est pourtant ce risque énorme que prend l’exécutif, une semaine après les incidents sur les Champs-Élysées, qui se sont soldés par le limogeage de trois hauts fonctionnaires de la préfecture de police de Paris, le retour de la « doctrine du 8 décembre », avec force interpellations et lanceurs de balles de défense. À Didier Lallement, successeur du préfet Delpuech, Christophe Castaner a réclamé « une impunité zéro. La place des black blocs est en prison, pas sur les Champs-Élysées ». Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, avance que l’usage de l’armée se fait « conformément à la mission du dispositif » « Sentinelle ». Lequel répond à la menace terroriste. Donc, en toute logique…
L’initiative de déployer des soldats, si elle trouve des soutiens, tels François Bayrou ou Ségolène Royal, suscite des commentaires inquiets ailleurs. Pour Jean-Luc Mélenchon, « quelles que soient les circonstances, l’armée ne peut et ne doit assurer aucune tâche de police. Ce n’est pas son métier. Il n’y a pas d’ennemi...
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Lettre de cuba
Le 21/03/2019

Les nouveautés depuis le 14 mars 2019
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La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChères Amies, Cher Amis, Ces conséquences sont lourdes, et affectent le développement de l’île dans de multiples domaines. Ce blocus qu’imposent les Etats-Unis envers Cuba, contrairement à ce que peuvent croire certains, n’est pas levé, et n’a pas disparu, mais, au contraire se renforce ces derniers temps. Après une certaine embellie, avec le Président Barack Obama, qui sans y mettre un terme, avait quelque peu atténué les effets du blocus, les décisions récentes de l’administration des Etats-Unis, sous la direction de Trump, visent à en renforcer les effets. Encouragé par les évolutions en cours dans cette région, les Etats-Unis viennent de décider, à partir du 15 mars, de réactiver une loi, la loi Helms-Burton, adoptée en 1996, et dont le titre III, jusqu’ici non mis en œuvre, a pour objet de poursuivre devant les tribunaux états-uniens, tous ceux qui, et quelque soit leur nationalité, feraient des affaires avec les entreprises et les structures cubaines qui ont été nationalisées après la Révolution. Cette loi Helms-Burton, et notamment son titre III, est contraire au droit international. Elle n’avait, à l’époque, et donc aujourd’hui encore, que comme objectifs de faire plier le gouvernement de Cuba, en générant une pénurie qui entrainerait une révolte de la population cubaine afin d’en changer la gouvernance. Cette doctrine des Etats-Unis, appelée doctrine Monroe, est aujourd’hui réactivée avec la mise en œuvre de ce fameux titre III, qui fait que toute personne ou structure, de n’importe quel pays, peut mettre en œuvre les tribunaux des Etats-Unis pour obtenir un dédommagement lié à la nationalisation décidée à Cuba. D’autant que, à l’époque de la nationalisation, les autorités cubaines avaient établi, en conformité avec les règles du droit international, une indemnisation des biens nationalisés. Cuba a toujours proposé, et avait même prévu les éléments financiers et réserves pour cette indemnisation. Mais aujourd’hui, c’est bien de nouveau, une volonté de l’administration des Etats-Unis, sous la conduite de Trump, en réactivant cette loi, d’aggraver les conséquences du blocus. En effet, les entreprises qui travaillent avec Cuba, vont s’inquiéter de la mise en œuvre de cette loi et de son titre III, avec 206 entités cubaines pour l’instant citées, lesquelles touchent des secteurs importants de l’économie cubaine. L’objectif est donc bien de freiner, si ce n’est d’empêcher les investissements d’entreprises de tout pays à Cuba. Beaucoup de structures et d’organismes internationaux se sont déclarés contre cette loi Helms-Burton. C’est notamment le cas de l’Union Européenne. Il nous faut obtenir des déclarations fortes, voir des positions fortes pour que cette loi illégale ne trouve pas sa mise en œuvre. Notre association, Cuba Coopération France, qui œuvre pour le développement de la coopération entre la France et Cuba, agira avec détermination afin que cette loi illégale n’entrave pas nos projets qui ont pour objectif de développer les échanges entre nos deux pays, et pour le bien des populations. Je vous laisse découvrir les nombreux articles de notre site qui parlent de la réalité de Cuba. Bonne lecture. Michel Humbert, |
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