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AU REVOIR mon amis mon camarade

Le 25/02/2019

un grand  dirigeant du  journal  de  jaures  

Bonjour Roger,

 

Notre camarade et ami Roland Leroy, ancien dirigeant national du Parti communiste français et directeur de l’Humanité, est disparu cette nuit, au terme d’un long combat contre la maladie.

 

Cette nouvelle, que nous attendions malheureusement après les mois de souffrance contre laquelle il se battait avec courage, accompagné par sa femme Danièle, par sa famille et l’ensemble de ses amis, provoque une profonde émotion au sein du PCF, parmi ses militants et ses directions, comme au sein de la rédaction du journal L’Humanité, journal auquel Roland a tant donné. Cette profonde tristesse est à la mesure de l’apport de Roland Leroy au combat pour l’émancipation humaine, pour l’avènement d’une société débarrassée des dominations et de l’exploitation, pour un nouvel essor de la démocratie.

 

Fils de cheminot et cheminot lui-même, Roland Leroy avait dès ses plus jeunes années embrassé le combat contre le nazisme et l’Occupation, mené au sein du Mouvement des jeunes communistes de France dans la Résistance, où Roland anima avec courage la diffusion de la propagande.

Il se poursuivra après la guerre au sein du Parti communiste français, dont Roland deviendra d’abord le premier dirigeant en Seine-Maritime, son département auquel son image s’identifiera, puis progressivement au plan national, avec son élection au Comité central, au Bureau politique et au Secrétariat du PCF.

 

Il s’incarnera parallèlement avec l’Humanité, journal qu’il dirigea durant 20 ans, en lui faisant franchir les transformations indispensables, en lui permettant d’ouvrir ses colonnes à des personnalités de premier plan à l’échelle planétaire, à l’image des grands entretiens qu’il mena avec Houari Boumédiène, Rajiv Gandhi, Fidel Castro ou encore Michaël Gorbatchev. C’est sous sa direction aussi que l’Humanité érigera son nouveau siège à Saint-Denis, imaginé par Oscar Niemeyer.

Qui mieux que Roland pouvait ainsi mesurer les conséquences dramatiques pour le pluralisme, pour le débat d’idées dans notre société, des menaces pesant sur l’avenir de ce grand titre de la presse française qu’est l’Humanité ?

 

Roland mit cette même détermination à faire évoluer et grandir la Fête de l’Humanité, avec l’organisation notamment des premiers défilés de haute couture sur la grande scène de la Fête.

Car Roland Leroy était par ailleurs un homme de culture reconnu, avec sa contribution au Comité central d’Argenteuil en 1966 et avec la publication de son ouvrage « La culture au Présent » en 1972 qui fit date dans l’histoire du PCF. Roland contribua ainsi à affirmer une conception globale de la culture, devant être portée dans le combat politique, et à dessiner les contours de la nécessaire alliance entre la classe ouvrière et les intellectuels.

Il nourrissait sa réflexion de sa proximité, de son amitié étroite avec de grands créateurs, parmi lesquels Pablo Picasso et surtout Louis Aragon, dont il fut avec Michel Appel-Muller l’un des artisans majeurs de la Fondation créée après sa disparition.

Je me suis adressé ce jour-même à sa femme Danièle pour l’assurer, au nom de tous les communistes, mais aussi au nom des lecteurs, journalistes, diffuseurs de l’Humanité, de notre plus chaleureux et fraternel soutien dans ces tristes circonstances et lui dire combien l’héritage de Roland constituait un formidable legs pour les femmes et hommes aujourd’hui engagés dans le combat pour la libération humaine.

A Danièle, à François son fils, à ses beaux-enfants Laure et René, à ses petits-enfants Lenny, Jean-Baptiste, Adrien et Julien, j’adresse nos plus sincères condoléances et les assure de notre reconnaissance pour le combat et les idées que Roland nous laisse en héritage.

 

 

Fabien Roussel

Secrétaire national du Parti communiste français

 

Paris le 25 février 2019

 

lettre de cuba

Le 21/02/2019


Les nouveautés depuis le 14 février 2019

 


La lettre électronique Hebdo de Cubacoopération

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Chères Amies, Cher Amis,

Dans le domaine des relations internationales, et depuis la révolution victorieuse de 1959, Cuba a toujours agit pour promouvoir la paix, la solidarité, l’aide humanitaire, la coopération.

C’est pourquoi, malgré sa modeste taille comme pays, son insularité, son faible poids économique dans le commerce mondial, Cuba jouit d’un prestige important auprès de très nombreux pays du monde.

Evidemment la résistance de Cuba contre les attaques permanentes que l’île subit, et notamment de son puissant voisin, les Etats-Unis, avec un blocus criminel et extraterritorial qui dure depuis plus de 55 ans, est un exemple pour de nombreux pays qui souhaitent s’affranchir de tutelles qui entravent leurs développements.

Mais c’est aussi les relations de partenariat, de coopération et d’entraide que Cuba a su développer qui renforce ce prestige et l’autorité ainsi acquise au niveau mondial.

Les exemples sont multiples de l’aide et de l’apport que Cuba a pu apporter à de très nombreux pays, et qui expliquent la reconnaissance que ceux-ci peuvent avoir envers ce pays.

D’autant que cette aide avec cette coopération a toujours été proposée et offerte sans contrepartie d’ingérence dans les affaires intérieures des pays concernés, et même si certains de ces pays ne partagent pas les mêmes options politiques.

Les secteurs comme la santé ou l’éducation et la formation, où Cuba est aujourd’hui reconnue mondialement comme un pays d’excellence, notamment par les instances internationales comme l’ONU, l’OMS, l’UNESCO, sont ceux où Cuba peut apporter son aide et son savoir faire aux pays et aux populations qui en ont besoin.

Actuellement près de 50 000 cubaines et cubains, professionnel(le)s de la santé, soignent, opèrent, sauvent des vies, dans des dizaines de pays du monde. Cuba exporte donc ce qu’aucun autre pays ne peut faire à cette échelle, le droit à la santé pour tous et pour les plus modestes. Car le plus souvent les professionnels de santé cubains exercent dans des régions où les populations n’avaient pas de médecins.

L’opération MILAGRO, qui a permis de rendre la vue à des milliers de personnes, par opération de la cataracte, est un autre exemple de l’apport de Cuba.

Lorsque la terrible épidémie d’Ebola a frappé 3 pays d’Afrique, et à la demande d’ailleurs de l’OMS, Cuba a pu envoyer des dizaines de médecins, volontaires malgré les risques, afin de soigner et de participer à l’éradication de cette maladie.

Dans le domaine de l’éducation, et de la lutte contre l’analphabétisme, la méthode cubaine « Yo si puedo » a, à ce jour, permis d’apprendre à lire et écrire à plus de 10 millions de personnes dans le monde.

C’est bien cette coopération, où Cuba apporte son savoir faire et partage ses compétences qui renforce le prestige international de l’île. Et la notion de partage est importante, car contrairement à beaucoup, Cuba ne fournit pas ce qu’elle a en trop, mais agit de manière solidaire.

Pour la question de la paix dans le monde, Cuba a toujours défendu les échanges, le respect mutuel, la non intervention et l’auto détermination des peuples.

Cuba a œuvré pour que sa région soit une zone de paix, notamment avec la CELAC, Communauté des Etats Latino-américains et Caribéens, qui regroupe 33 pays du continent, et qui, à La Havane le 29 janvier 2014, a été déclarée comme Zone de Paix, basée sur le respect du droit international.

La CELAC reconnait « pleinement le droit inaliénable de tout Etat à choisir son système politique, économique, social et culturel » et s’engage à promouvoir au niveau international le désarmement nucléaire.

Au moment où des interventions extérieures se font jour pour interférer dans les affaires intérieures du Venezuela, qui est membre fondateur de la CELAC, il est bien de rappeler ces principes auxquels Cuba est particulièrement attaché.

Comme chaque semaine je vous laisse découvrir les nombreux articles de notre site, qui détaillent, grâce aux nombreux « journalistes » et traducteurs et traductrices qui y participent bénévolement (grand merci à toutes et tous), la réalité de Cuba.

Bonne lecture !

Michel Humbert,
Vice président de Cuba Coopération France

 

A PROPOS DES TAGS

Le 20/02/2019

 
  • A propos de la multiplication des tags antisémites.

A propos de la multiplication des tags antisémites.

Mardi 12 février 2019, par  Danielle Bleitrach , popularité : 95%
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Disons tout de suite que j’ai du mal à croire à cette prolifération de croix gammées comme un accès "spontané" d’antisémitisme, au même moment où certains tentent de nous convaincre que toute révolte populaire est marquée du sceau du populisme donc que des loups sont entrés dans Paris… Que la violence nous menace tous et ce en parfaite contradiction avec les faits et le nombre de morts, d’estropiés exclusivement du côté de ceux qu’on accuse de violence. Ce genre de campagne enveloppe trop bien à la fois ceux que l’on veut déconsidérer, les banlieues et les gilets jaunes devenus des "beaufs". Il s’agit peut-être de donner son axe à la campagne de Macron, ce sera lui ou les fascistes de Le Pen.


Le portrait de Simone Veil sur une boite aux lettres recouvert de graffitis antisémites, le 11 février 2019 à Paris.

Je vais vous dire ce que j’en pense de là où j’interviens. Je vais dire Nous les Juifs, parce que chacun sait non seulement mon origine mais mon allergie à l’antisémitisme et à toute forme de racisme, quel que soit celui qui se permet le moindre écart. Mais je crois que nous les juifs nous avons acquis à nos risques et périls un tel effet de marque dans ce domaine qu’il est aisé de nous utiliser. Ainsi, même en Pologne, il y a eu un gang qui pillait les synagogues pour le fric, rien que pour le fric et qui laissait pour égarer l’enquête quelques croix gammées de ci de là… Peut-être certains font-ils de même pour continuer à piller le peuple français. J’attends les résultats de l’enquête.

Je suis en train d’écrire mes mémoires et elles débutent par un dialogue avec Monika dans un voyage en Pologne. Il s’agit de mes origines, mais aussi de là où le siècle précédent saigne, d’où est partie la chute du communisme européen. Je constate que ce pays se vante d’avoir deux prix Nobel, excusez mon propos mais ce sont deux salauds de première : Begin et Walesa… De ce constat a jailli cette nuit cette méditation iconoclaste sur la question juive.

En pensant au texte collectif signé par Einstein et Hannah Arendt (1), entre autres, mettant en garde le monde contre l’apparition d’un fascisme juif en la personne de Begin, je souris malgré moi. Il n’y avait effectivement aucune raison pour que deux juifs allemands qui sortaient à peine de l’expérience hitlérienne supportent le moins du monde un fasciste fut-il juif. Peut-être que cela remonte plus loin encore, souvenez-vous de Döblin, juif allemand évolué découvrant l’univers hassidique en Pologne. Il n’y avait aucune raison pour que deux juifs allemands proches de Döblin aient quelques accointances avec un juif polonais qui se prenait pour un aristocrate polonais et en adoptait les visions rétrogrades contre d’autres sémites, je veux parler de Begin. Quand on étudie un peu son parcours, il est fasciste polonais jusqu’à la moelle, antisoviétique d’une manière qui laisse loin derrière lui Jean-Paul II. Il ne devient pas un fasciste juif, il l’a toujours été en tant que Polonais.

A propos de juifs polonais, ils ont subi une transition accélérée, ainsi des siècles me séparent de mon propre grand-père, qui, selon la coutume familiale, partout où il allait fondait une synagogue selon le rite polonais. Il croyait que la terre était plate et quand j’ai essayé de lui expliquer comment à partir de Copernic, on a pu envisager d’en faire le tour, il m’a demandé qui était ce Copernic. J’ai dû avouer qu’il s’agissait d’un moine polonais. Il s’est écrié « Et tu crois ces gens là ! ».

Son hostilité caricaturale à tout ce qui n’était pas juif, je l’ai bien souvent rencontrée, y compris chez ce rabbin, vaguement parent, déclarant « je suis pour les mariages mixtes ! » il faisait allusion aux ashkenaze et séfarades. Sauf dans de rares cas, il ne s’agit pas de l’hostilité de l’antisémite ou du raciste à l’égard de l’autre, mais d’une sorte de non existence, une coexistence où l’indifférence sur l’essentiel est la règle. J’ai rencontré quelque chose de semblable dans la conception de l’espace africain. Les morts sont là éternellement présents, et les chemins dans le vaste monde n’existent que si on peut faire halte chez un ami, un parent, un frère étant donné que les Africains sont frères, ça fait du monde. La manie du blanc, selon eux, d’aller n’importe où et en particulier là où il n’a rien à faire, leur parait étrange.

Ainsi, alors que je revenais de mon dernier voyage en Pologne, je revois cette femme, qui, comme moi, attendait l’ouverture d’un magasin Darty, boulevard Cantini à Marseille. Elle s’est adressé à moi et au bout de 5 minutes j’ai su que j’avais affaire à une juive. Elle était blonde, de ce blond oxygéné typiquement marseillais, mince et rien n’aurait dû m’alerter. Rien si comme d’habitude je savais… Je voulais vérifier mon intuition, je lui ai dit que j’arrivais de Pologne, du côté d’Auschwitz, etc… Et à ma question directe, elle a protesté « Vous faites complètement erreur, c’est mon mari qui est ashkénaze, moi je suis séfarade ». Et elle s’est embarquée dans une bizarre description de tous les lieux touristiques en Europe, les Ghettos, les synagogues, les cimetières… « prenez Livourne, me disait-elle, quand on pense à la réputation de cette ville, et bien il n’y a rien à voir, strictement rien ». Elle parlait bien sûr de la présence juive. Au nom de quoi nous sommes-nous reconnues ? Je l’ignore, mais le fait est. Mais cette reconnaissance mutuelle engendrait un espace et un temps tout à fait particulier. Je le répète comme les Africains qui eux aussi ont quelque raison de douter du caractère désintéressé de ceux qui s’adressent à eux. Mais qui eux aussi peuvent en tirer une espèce de vocation au sauvetage de l’humanité.

Prenez les discussions talmudiques, depuis toujours elles reflètent un questionnement sur la nature de notre "élection", Woody Allen réclamant d’ailleurs que de temps en temps on nous considère "en ballotage" : « Sommes-nous "élus" pour accomplir le destin du peuple juif ou le sommes-nous pour toute l’humanité ? ». Les chrétiens ne sont pas plus éclairés, quand déjà ils sortent de leur "peuple déicide", c’est comme Saint Augustin, Pascal, pour affirmer que les juifs sont la preuve de l’existence de Dieu. En gros, je résume, pour s’obstiner au nom de leur foi à vivre dans des conditions aussi ignobles, il faut vraiment que les juifs aient à témoigner de quelque chose. Mais poursuivent ces bons apôtres, devisant aimablement sur "notre" cas, ce sont des êtres trop vils pour voir la splendeur du Christ, donc ils continuent à l’attendre, ils l’ont raté. Selon cette logique, nous voilà condamnés éternellement à stationner dans une gare du Birobidjan qui ne mène nulle part malgré les panneaux indicateurs écrits en Yiddish où à chercher du côté du Sinaï un tombeau de Moïse qui n’existe pas plus. Freud avait résolu la question en disant qu’il valait mieux aller ailleurs que dans ce lieu où les religions monothéistes étaient condamnées à s’écharper et d’ailleurs, il a écrit un texte passionnant sur le fait que Moïse n’était pas juif, mais un prêtre égyptien disciple d’Akhenaton (2). Je crois que Freud, Hannah Arendt – dont les écrits sur les juifs constituent la partie la plus intéressante de l’œuvre – eux et tant d’autres, nous sommes bien convaincus qu’il n’y a aucune gloire à appartenir au peuple juif, mais qu’il est difficile d’oublier qu’on l’est, comme d’ailleurs de devenir psychanalyste si on ne l’est pas (3).

Alors pourquoi ne pas y renoncer quand on ne croit plus en Dieu en particulier. D’abord parce qu’on ne demande à personne de renoncer à être Breton ou Corse, et de se sentir redevable à ses parents. Mais même si on veut s’en débarrasser, tout le monde paraît avoir à cœur de vous le rappeler. Pour Freud, cette appartenance était une propension à la psychanalyse, vu qu’illico on devient un oracle en ce qui concerne tout le mal-être de l’humaine condition, un mythe sur pattes. Autant vaut s’en accommoder en prenant l’habitude d’assumer en cherchant toujours à partir de cette expérience initiale du ghetto un chemin vers l’universel. Le communisme semblait fait pour tout concilier et l’URSS, est apparu comme le Yiddishland pour l’humanité enfin unifiée après l’apocalypse.

C’est sans doute un moment historique, mais on peut dire qu’il dure… du moins dans l’esprit malade de ceux qui ont si peur du présent et de l’avenir qu’ils sont toujours "à rebours" pour nous y mettre dans les chambres à gaz qui selon eux n’ont jamais existé. Mais à côté de cela, il peut y avoir des petits escrocs qui jouent à bon compte avec la manière dont le nazisme a dû singer la révolution pour se faire accepter. Encore une de mes méditations du moment. Quand le capital ne sait plus quoi inventer pour perdurer, il imagine une révolution qui ne touche surtout pas au Capital. Dans ce cas-là la cible juive est inévitable comme celle du ventre des femmes devenu la garantie de la virilité masculine. Il est clair que si l’on en reste à ce niveau là, utiliser Simone Veil, la couvrir de tags et d’épithète haineuse remplit parfaitement le rôle que l’on donne à cette campagne.

Peut-être est-ce là le fond de ces mémoires dans lesquelles je ne cesse d’affirmer que le communisme pour moi a été certes une "prise de parti", mais aussi et surtout un choix de civilisation. Cette option n’est pas uniquement celle des Juifs ou des Africains, voir des Chinois ou encore des Cubains, je l’ai retrouvé chez bien des camarades. On adhère à un syndicat pour se défendre, mais l’engagement communiste avait aussi une dimension culturelle et anthropologique originale.

Danielle Bleitrach

(1) Il s’agit bien sûr de la célèbre lettre au New York Times du 2 décembre 1948.

(2) Il s’agit de l’homme Moïse et la religion monothéiste. Était-ce pour se dégager de cette appartenance qui effectivement prend parfois des allures de papier tue-mouche, je ne le crois pas. Avec un minimum d’intelligence on considère vite l’entreprise comme étant impossible et donc le plus simple est de tenter de rationaliser. Dans ce cas-là il s’agit plutôt de la position de Dieu ou celle de l’analyste.

(3) Vous remarquerez le désaveu que subit cette discipline depuis que la culture judéobolchevique en a pris un coup ou plusieurs. Ce sont des univers imbriqués les uns dans les autres.

 

CONTRE LE RASCISME

Le 19/02/2019


Chers camarades,
 
Le rassemblement contre l’antisémitisme aura lieu ce soir à 19h Esplanade des Droits de l''Homme.
 
Fraternellement

 

Fédération du Doubs du PCF
59 rue des Fluttes Agasses
25000 Besançon
T: 03 81 88 78 83 / F: 03 81 53 37 48
Mail: pcf.doubs@gmail.com

 

photos de rhodia en demolitio

Le 15/02/2019

 

 

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