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Lettre de cuba
Le 29/12/2018

Les nouveautés depuis le 20 décembre 2018
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La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChères amies, chers amis, Cuba, depuis sa révolution victorieuse de 1959, il y a 60 ans, est en permanence mise en cause pour la question des droits de l’homme et de la démocratie. C’est même le motif constamment mis en avant par les Etats-Unis pour justifier le terrible blocus, financier, commercial et économique, qui impacte lourdement le développement de cette grande île des Caraïbes. Pourtant je voudrais donner deux évènements d’actualités qui démontrent que, dans ce domaine des droits de l’homme et de la démocratie, Cuba n’a pas trop de leçons à recevoir, et notamment de tous ceux qui, s’érigeant en modèle, feraient bien de se pencher aussi sur leur fonctionnement et sur ce qui se fait à Cuba. Bien sûr, tout n’est pas parfait, car œuvre humaine, et, avec la pression internationale, il y a certainement encore des progrès à réaliser. Le premier événement est la révision de la constitution. Celle qui régissait la vie sociale du pays avait été adoptée par référendum en 1976. Les autorités cubaines ont proposé d’écrire une nouvelle constitution. Afin d’actualiser, et de tenir compte de l’évolution de la société cubaine, du contexte social, économique et international. Le projet, rédigé par une commission issue de la nouvelle assemblée nationale, a ensuite été adopté par les député(e)s. Puis du 13 août 2018 au 15 novembre 2018 une grande consultation populaire a été organisée sur ce projet. Et ainsi c’est plus de 8,5 millions de cubaines et de cubains, sur une population de 11,5 millions d’habitants, qui ont participé à cette consultation. Une participation étonnante, certainement unique, pour débattre, et analyser un nouveau projet de constitution. Au total c’est plus de 783 000 propositions, amendements, ajouts, modifications, suppressions qui ont été élaborés au cours de plus de 133 600 réunions. La participation pouvait aussi se faire par internet, et les cubains et cubaines résidant à l’étranger ont aussi pu participer. Le projet initial soumis à la population a été ainsi fortement chamboulé, et c’est une version très largement modifiée qui vient d’être adoptée, à l’unanimité des 583 député(e)s présent(e)s, par l’assemblée nationale cubaine le samedi 22 décembre. C’est donc ce nouveau projet qui va être soumis pour ratification à un référendum populaire le 24 février 2019. Et c’est donc l’ensemble de la population cubaine qui aura activement participé à l’élaboration de la nouvelle constitution qui va organiser la vie de la société de la grande île. Bel exercice démocratique. Le deuxième évènement que je tiens à signaler est en relation avec le système éducatif à Cuba. Une question majeure pour les droits de l’homme et de la femme. Dans un récent rapport, la Banque Mondiale a publié une analyse de la situation de l’éducation en Amérique Latine et dans la Caraïbe. Cette institution financière, peu encline à défendre Cuba, écrit pourtant dans son rapport : « aucun système scolaire latino-américain, à l’exception de Cuba, n’atteint les paramètres globaux », poursuivant que parmi les problèmes majeurs qui affectent l’Amérique Latine et la Caraïbe c’est l’éducation avec un niveau très bas en qualité qui impacte les développements et progrès plus élevés de ces pays. « Aucun corps des enseignants de cette région ne peut être considéré comme de haute qualité en comparaison avec les paramètres mondiaux », à l’exception notable de Cuba ajoute ce rapport. Voilà qui devrait aussi faire réfléchir les détracteurs de Cuba et ceux qui ne manque jamais de mettre en cause ce pays sur la question des droits de l’homme et de la femme. En cette fin d’année, je vous souhaite, au nom de notre association, Cuba Coopération France, de bonnes fêtes de fin d’année et une bonne lecture des articles publiés sur notre site relatant la réalité cubaine. Michel Humbert, |
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REUNION EXEPTIONNEL RETRAIT2 DE BESANCON
Le 21/12/2018
Jeudi 10 janvier 2019 à 13 h 30,
salle MILLERET
Dans le contexte de mobilisation sociale exceptionnelle : Gilets Jaunes mais aussi forte participation à nos initiatives de retraités (200 manifestants le 18 décembre en délégation à la mairie), il nous parait nécessaire de préparer ensemble en AG les prochaines initiatives, qu’elles proviennent du mouvement social ou à l’appel de notre organisation syndicale.
Nous voulons être à la hauteur du niveau de mobilisation !
Nous prévoyons d’inviter à la première partie de notre AG, en début d’après midi, quelques Gilets Jaunes afin d’échanger. Notre syndicat CGT prendra ensuite toutes décisions utiles. Nous devons poser nos revendications dans un cadre d’actions efficaces. C’est cette réflexion collective que nous proposons avant de terminer cet après midi par le partage de la galette des rois.
Pour le bureau du syndicat Le secrétaire Alain Genot et le secrétaire adjoint Michel Tournier
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Lettre de cuba
Le 20/12/2018

Les nouveautés depuis le 13 décembre 2018
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La lettre électronique Hebdo de CubacoopérationChères amies, chers amis, « Trabajo por cuenta propia – TCP » Travail à son compte. Tous ceux de nos lecteurs qui se sont rendus ces dernières années à Cuba ont eu l’occasion et souvent le plaisir de faire leur connaissance. Qui a loué une « casa particular », a pris un repas dans un « paladar », a tout simplement acheté un souvenir dans une des nombreuses échoppes, est entré en contact avec l’un d’eux. Un peu plus de 157.000 en 2010, ils sont actuellement 589.000 en 2018, soit 13% des personnes exerçant actuellement un métier dans le pays ; 171.000 sont des jeunes et près de 200.000 sont des femmes. Cette forme de travail non étatique, reconnue dans la mise à jour du modèle économique et social cubain, a généré des emplois, élargi les offres de consommation et a permis à l’État de se dégager d’activités non essentielles. Mais des illégalités sont apparues en même temps que le développement de cette forme de gestion, comme par exemple des sous-déclarations d’impôts et l’achat de matières premières et de produits d’origine illicite. Fin 2017 ces dérives ont conduit à réviser la réglementation afin de procéder à des rectifications. À partir de ce constat, une réflexion a eu lieu afin de perfectionner la politique du TCP et des normes juridiques ont été publiées en juillet dernier, pour une mise en œuvre en décembre. Durant cette période se sont exprimées des préoccupations, des critiques tant des intéressés que de la population dans son ensemble, qui ont conduit le Conseil des Ministres à ajuster plusieurs des aspects qui avaient été établis dans ces normes juridiques et qui étaient contestées. Des modifications importantes ont été adoptées, et de nouvelles autorisations d’ouverture suspendues temporairement fin 2017 ont été accordées. Ceci était la démonstration évidente de la volonté de la direction de l’État cubain de reconnaître le rôle des formes non étatiques de gestion en tant que complément de l’économie cubaine et de prendre en compte les opinions des travailleurs et de la population, en vertu du principe que le travail indépendant doit fonctionner dans l’ordre et la légalité. Dans le même temps la direction politique du pays a mis l’ordre du jour, le problème essentiel de l’amélioration de la gestion et de l’efficacité des entreprises publiques. UN AMI FIDELE DE CUBA VIENT DE NOUS QUITTER … Jean CORMIER, journaliste, écrivain, réalisateur est décédé ce lundi 17 décembre à l’âge de 75 ans. Grand reporter pendant près de 50 ans au quotidien Le Parisien, il était passionné de rugby et de cyclisme. Mais il avait aussi comme l’écrit Cathy Dos Santos dans l’Humanité, « un regard passionné sur le CHE et il s’était imposé comme l’un de ses biographes. Il connaissait jusqu’au moindre détail sa vie et son action. Il partageait avec le célèbre Commandante une même passion pour le rugby » Roger Grévoul |
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La pravda commente le congres du pcf
Le 18/12/2018
La Pravda rend compe du congrès du PCF Dans le contexte de l’exacerbation de la situation politique, Fabien Roussel est devenu le nouveau chef du parti communiste français.
Les contacts avec Anna Semionova, correspondante du journal Pravda ont permis d’expliquer la situation du PCF après son congrès, les discussions sur le parti et les conditions du rassemblement, les rapports avec Jean-Luc Mélenchon, que la pravda considère comme le leader d’un mouvement s’inspirant de la révolution française, révolution toujours très admirée en Russie...
Ces contacts ont conduit à la publication de cet article par la pravda..
Dans le contexte de l’exacerbation de la situation politique, Fabien Roussel est devenu le nouveau chef du parti communiste français.
’Est-ce une rébellion ?’ - ’Non, Sire, c’est une révolution !’ Le leader du mouvement d’opposition la France insoumise Jean-Luc Mélenchon s’est souvenu de cette phrase célèbre de la Grande Révolution française en analysant les événements tumultueux des trois dernières semaines. À ce propos, dans le contexte de l’exacerbation de la situation politique, Fabien Roussel est devenu le nouveau chef du Parti communiste français, dont la plate-forme lors du vote interne l’a emporté sur celle de la direction nationale du PCF dirigée par Pierre Laurent.
À travers les pages du journal ’Pravda’, Anna Semionova
06-12-2018
https://kprf.ru/international/capitalist/180935.html
Le pouvoir dans l’impasse
Développant de puissantes manifestations à travers le pays, le mouvement des ’gilets jaunes’ se généralise de plus en plus. Les grévistes et les manifestants n’exigent plus seulement la baisse du prix de l’essence. Les partisans du mouvement ont en effet élaboré tout un programme politique et social et envoyé un communiqué de 40 demandes au gouvernement adressées aux députés et à certains médias. Ils incluent l’interdiction d’augmenter les impôts, d’augmenter le salaire minimum, de réduire la période de retraite de 62 à 60 ans, de réduire le coût des fonctionnaires, de renforcer le contrôle sur l’immigration clandestine et bien plus encore.
La crise sociale dans le pays devient politique. Selon Paris Match, seuls 23% des Français évaluent de manière positive le travail du président, citant l’Institut français de l’opinion publique (IFOP). Il y a un rapprochement des ’gilets jaunes’ avec les rouges, c’est-à-dire avec les syndicats. Le journal “L’Humanité” a décrit en détail la situation dans le port industriel de Saint-Nazaire, où les dockers agissaient simultanément en tant que membres de la Confédération générale du travail (avec un gilet rouge) et en tant que représentants des “gilets jaunes”. Dans le même temps, les factions de gauche (communistes et « insoumis ») de l’Assemblée nationale sont activement en faveur de la préservation de la sécurité sociale, elles ont soutenu la grève du personnel des ambulances exigeant le maintien du prix de l’essence pour les véhicules médicaux.
Et puis soudain, des lycéens et des lycéens de différentes villes, notamment de Marseille, ont exigé le rejet de la réforme de l’enseignement supérieur. « L’Humanité » a placé une photographie de femmes âgées (en France, il n’est pas habituel de traiter les gens âgés de vieillards) avec les symboles du Parti communiste français, qui s’opposent à la réduction des retraites. Une femme de 80 ans serait décédée lors de l’écrasement de la manifestation dans le Vieux-Port de Marseille. Le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, a demandé une augmentation du minimum de subsistance et du salaire minimum. Même les publications de droite soulignent le mécontentement général dans un pays où ’les riches s’enrichissent et les gens s’appauvrissent’. Ainsi, le journal Le Monde qualifie les événements des derniers jours de révolution et rappelle à nouveau mai 1968.
Le journal Le Figaro attire l’attention sur le fait que des processus plus profonds sont à l’origine du mécontentement suscité par la réforme proposée par le gouvernement. Ils ont été prédits il y a plusieurs années par des économistes et des politologues renommés. Selon eux, au XXIe siècle, le fossé - géographique et social - se creuse entre les différentes couches de la société, à savoir entre le peuple et l’élite politique.
Il y a quelques années, Jean-Luc Mélenchon a attiré l’attention sur cette nouvelle réalité sociale et politique dans son ouvrage acclamé, Le Temps du Peuple, soulignant le fait de la confrontation moderne entre le peuple et les oligarques, l’élite financière internationale. Le politicien voit dans le choc des « gilets jaunes » et le gouvernement une manifestation de ce processus, la prise de conscience de soi d’une partie importante de la société, son auto-organisation et la formation d’une représentation collective.
’Emmanuel Macron et Edouard Philippe sont dans une impasse idéologique, humaine et historique’, a déclaré à la télévision Mélenchon le 4 décembre. - Vous ne pouvez pas regarder ce mouvement très puissant à travers le seul prisme des dégâts causés par les hooligans de l’Arc de Triomphe. Il a souligné qu’un processus révolutionnaire se développait dans le pays, la révolution civile, lorsque les gens passaient de la nécessité d’abolir la taxe sur les carburants à la revendication de l’adoption d’une nouvelle constitution.
En conséquence, le gouvernement, après une série de réunions avec les chefs de factions parlementaires et même avec des représentants des ’gilets jaunes’, est passé de la menace directe à la tactique de manœuvre. Ils ont même changé le vocabulaire. Le Premier ministre Edouard Phillippe a annoncé mardi 4 décembre l’instauration d’un moratoire sur la croissance des taxes sur les carburants pendant six mois. Cette mesure a été prise pour calmer les participants au mouvement de protestation. Le moratoire est « soutenu » par d’autres mesures visant à réduire les tensions sociales dans le pays. Edouard Philippe a notamment déclaré que cet hiver ’les prix du gaz et de l’électricité ne vont pas augmenter’. En outre, l’introduction de nouvelles mesures techniques de contrôle des voitures a été reportée de six mois.
« Il faudrait être aveugle et sourd pour ne pas entendre la colère de la population », déclara soudain le chef du cabinet. - Je comprends sa force et son sérieux. La source de cette colère est une profonde injustice. ’ Edouard Philippe a également annoncé que du 15 décembre au 1er mars, des ’consultations’ avec des représentants de la société civile et du gouvernement seraient organisées pour débattre du ’nouveau modèle économique et social’.
Si le Premier ministre n’a convaincu personne, deux possibilités se présentent : le remplacer ou dissoudre l’Assemblée nationale et convoquer de nouvelles élections. Ce n’est pas un hasard si l’idée d’un vote de censure envers le gouvernement est de plus en plus discutée au Parlement. Même des adversaires pas trop astucieux comprennent le mouvement politique. Le gouvernement annonce le report de la hausse des prix et des taxes jusqu’à la tenue des élections européennes de mai prochain. Ces élections sont très importantes pour la note d’échec du président Macron, qui, comme il semble à beaucoup de gens, n’est pas encore revenu de son sommet en Argentine. En tout cas, après avoir « admiré » les dégâts au centre de la capitale le 1er décembre, il a évité de trop se montrer.
La décision appartient au peuple !
Il se trouve que l’aggravation de la situation politique dans le pays a coïncidé avec le trente-huitième congrès du Parti communiste français, tenu à Ivry-sur-Seine les 23 et 25 novembre, au cours duquel le nouveau secrétaire national Fabien Roussel a été élu en remplacement de Pierre Laurent, qui est devenu président du conseil national du parti. Les préparatifs du congrès ont pris plus d’un an, il a commencé immédiatement après les élections à l’Assemblée nationale, tenues en juin 2017, un mois après l’élection du président du pays.
Alors que lors de la dernière élection présidentielle, le parti avait soutenu, comme en 2012, à l’apogée du Front de gauche, la candidature de Jean-Luc Mélenchon, qui avait recueilli près de 20% des suffrages au premier tour, lors des élections à l’Assemblée nationale, le PCF présentait le résultat le plus faible dans son histoire - 2,7% et formé avec peine un groupe parlementaire. Une analyse des raisons des échecs du parti, ainsi qu’une stratégie pour l’avenir et les tâches du renouveau, sont devenues des questions majeures de la préparation du congrès.
Lors du congrès, quatre plates-formes ont été développées. À la suite du vote interne des membres du parti, pour la première fois la plate-forme présentée par la haute direction du PCF n’a pas obtenu la majorité et en tête est arrivé le document « Pour un manifeste du Parti communiste du XXIe siècle », rédigé notamment par le président de la faction communiste à l’Assemblée nationale, André Chassaigne. Les auteurs de cette plate-forme prônent la revitalisation du parti. Les résultats du vote ont été confirmés lors du congrès. Le représentant de la plate-forme gagnante, Fabien Roussel, est devenu le nouveau secrétaire national du PCF.
Roussel est né le 16 avril 1969 à Béthune (Pas-de-Calais). Il a grandi au cœur du bassin minier, puis a poursuivi ses études à Champigny-sur-Marne en région parisienne, a rejoint le Mouvement communiste des jeunes (MJCF) et a commencé sa carrière de journaliste, tout d’abord dans L’Humanité, puis comme opérateur sur la chaîne de télévision France 3. En 2007, il dirigeait le département PCF du département de Nord, puis était élu à l’Assemblée nationale. Dès son enfance, il a été plongé dans une atmosphère communiste, et il a été prénommé en l’honneur du colonel Fabien, membre bien connu de la Résistance, communiste. Selon ses déclarations, il souhaite voir un parti renouvelé, caractérisé par un esprit de combat, défendant résolument les intérêts du peuple.
Anna Semionova, docteur en sciences historiques
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LA CGT BRTRAITE BESANCON
Le 17/12/2018
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RETRAITÉ-ES EN COLÈRE
DÉFENDONS NOS RETRAITES,
DÉFENDONS NOTRE SÉCURITÉ SOCIALE
Le 18 décembre sera votée au Parlement la loi retraite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2019(PLFSS) :
Jusqu’à maintenant nos pensions sont le fruit de cotisations sociales versées pendant nos vies actives, revalorisées chaque année selon une règle précise, le salaire moyen ou l’inflation.
Ce qui est prévu pour l’avenir, si nous nous laissons faire, c’est la suppression de la retraite, de la pension, remplacée par une « allocation sociale » revalorisée ou pas selon « le fait du prince ».
La revalorisation de nos pensions actuelles est prévue de 0,3 % pour 2019/ 2020 alors que les prix continuent d’augmenter, l’inflation est prévue à 1,7%.
C’est aussi la privatisation de la sécu, car supprimer les cotisations salariales c’est supprimer la sécu, les allocations chômage, les retraites. C’est voler aux salariés une partie de leur salaire, le salaire socialisé. Macron nous reprend d’une main ce qu’il donne de l’autre…
Ce qui a diminué le pouvoir d’achat des retraités :
Le gel des pensions depuis
2014.
La suppression totale de la moitié de la part fiscale pour les personnes vivant seules ayant élevé au moins un enfant.
La CASA de 0,3 %.
La CSG nous fera perdre deux mois de pension sur 2018,2019,2020.
La revalorisation des pensions de 0,3 % alors que l’inflation est annoncée à 1,7 %.
Les retraités sont maltraités et pressurés.
Et pendant ce temps-là les riches s’enrichissent grâce à :
La suppression de l’ISF impôt sur la fortune soit 4,5 milliards.
La « flat tax » sur les revenus des actions passe de 45 % à 12,5 %.
La suppression de « l’exit taxe » qui luttait contre l’évasion fiscale soit 70 milliards d’euros par an.
La baisse de l’impôt sur les sociétés jusqu’à 25 % en 2022.
La baisse des cotisations patronales maladie de six points en 2019.
Les riches sont cajolés et s’engraissent.
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